Posté en tant qu’invité par Papours:
@freddy 39 et 38, je suis désolé mais contrairement à ce que vous dites me concernant, il me semble que c’est vous qui débloquez : je n’ai jamais dit que Dollo débarque ici mais bien qu’il débarque" DANS CETTE DISCUSSION". Relisez et calmez vous un peu…
Vous confondez tous les deux forum et discussion du forum et vous me le reprochez avec une vulgarité et une brutalité complètement déplacées et ridicules… Mais surtout, on s’en tape de mon niveau en informatique, moi le premier, et vous n’imaginez pas à quel point !
Concernant mon nom et mon pseudo, je n’ai pas rempli mon profil parce que ce n’est pas ma tasse de thé (en terme de temps passé, de contrainte technique…etc…), je préfère écrire et dire ce que je pense et il me semble que sous pseudo, c’est admis de tous (les gens sensés et honnêtes).
A cause du temps que ça met et comme ça marche une fois sur deux, je n’aurai pas commencer à écrire ici s’il y avait eu ce frein là.
Je ne souhaite pas que Dollo publie mon nom à longueur de pages pour plusieurs raisons que je ne peux et ne veux étaler ici mais que toute personne sensée (encore une fois) pourra comprendre. Vous feriez pareil dans la même situation, c’est évident et je ne suis pas du genre à étaler autre chose que des idées sur la toile.
Alors, oui, très facile de trouver mon nom et prénom sur internet, mais quel intérêt sinon l’intimidation comme cherche à le faire celui qui cherche à tout prix à les afficher ici ?
Lui a choisi d’étaler son nom, pas moi, qu’il assume.
Pour finir, ceux qui critiquent mon choix, écrivez donc votre pseudo et votre vrai nom et prénom sur le même message avant de vous permettre de hurler.
Une fois ce point fait sur les attaques personnelles peu réjouissantes, est-il possible de revenir au sujet de cette discussion ? Comment réagir face aux dérives de Dollo sur kairn.com qui le cautionne et entraine avec lui (je répète, « pour le grand public ») une sale image pour le monde de la grimpe.
Je rappelle que Louis DOLLO excuse voire anticipe toutes les exactions les plus graves des anti-ours comme par exemple engager en 2013 une battue contre un ours (il n’y en n’a que 22 à 25), de surcroit, celui que porte les derniers gènes des ours pyrénéens originels.
C’est une incitation à commettre un délit. C’est couvrir un acte non seulement illégal mais en plus, moralement abjecte.
On n’est plus là dans la nécessité d’entendre deux sons de cloche, on est dans du dérapage complet… et ce n’est pas la première fois.
Chez Kairn, ils savent bien qu’ils n’arrivent pas à « modérer » Dollo comme ils le voudraient (je sais qu’ils s’en sont plaint et le reconnaissent eux-mêmes), mais il le laissent faire car ils n’ont personne d’autre sous la main. Font-ils le moindre effort pour en trouver un autre ?
Bref, ils se foutent complètement des dégâts que ça peut causer que Dollo diffuse de telles choses, tout ce qui compte, c’est que la boutique tourne sans se poser la question de changer de chroniqueur. Pourquoi ? Mais parce qu’ils s’en tapent de la nature. Ils ne vont quand même pas changer une équipe qui gagne (ou qui croit gagner) pour des ours ou des forêts quand même ! Un peu comme Bruno l’a excellemment démontré ici en ce qui le concerne. Même mentalité d’un autre âge. Mais chez Kairn, ça se cache sous une chronique « milieu naturel » très fournie grace à DOLLO. Et oui, il a le temps, lui…
Ca s’explique : chez Kairn ils croient faire du journalisme, mais aucun ne vient de ce milieu là et n’en comprend les enjeux. Ils ne comprennent pas la déontologie de base de ce métier, ce n’est pas leur formation (l’un sort d’une école de commerce, l’autre est informaticien, Dollo est retraité sans rapport avec le journalisme et militant anti-ours et anti-nature, une autre est alpiniste… etc…) mais ce qui est pitoyable, c’est que la déontologie, faute d’être leur formation (ou peut toujours se former !) n’est pas leur préoccupation.
Bref, Kairn est une illustration de ce que permet internet pour le meilleur (plein de choses)… ou pour le pire.
C’est important de continuer à faire savoir comment ils choisissent de fonctionner si on est un tant soit peu responsable.