La sécurité, c’est une approche globale. Espérer que se traîner avec un gros sac garanti la sécurité, c’est nimps. Le sac et donc le poid, la forme, la préparation, les cdts, la stratégie… c’est un ensemble. Par ailleurs, le poids du sac et du matériel n’a jamais fait son utilité en cas de coup dur. Les Diamir constituent un bon exemple : 500g de plus qui ne serviront à rien en cas de coup dur. Idem pour un baudrier à 400g versus 150g. Mais chacun se rassure comme il le souhaite.
La rando, on peut bien évidemment en mourir. J’ai en tête que la randonnée est plutôt dans le haut du podium des accidents et des décès parmis les différentes pratiques en montagne, notamment à cause du nombre de pratiquant.
Qd j’ai traversé la Corse rapidement mais en autonomie (alimentation et couchage), une part de l’allègement à simplement consisté à partir sans tente ni sursac. Juste de l’inconfort de marcher sous la pluie la nuit au lieu de dormir.