Moi je connais un belgo-suisse qui s’en est rendu comte après le décollage.
Le gars, il a quand même un sens de l’humour qui me plaît : base jump tomorow?
Bétisier de la montagne
Oui je confirme 
jai un pote DE qui apprend à ses clients de commencer par passer la corde par lanneau du haut. au pire si on oublie on se retrouve encorde à la taille. Sinon j’ai aussi fait de la couenne… 5 mois d’arrêt du sport cest dur. Surtout quand on compense au whisky. …
Vu qu’on peut raconter ses conneries dans la bonne humeur je rajouterai:
Sortie à ski: « hey, il me semble qu’on peut descendre par là, je crois que c’est le couloir que j’ai vu du bas, ça débouche » puis après avoir sacrifié un piolet pour descendre en rappel des goulottes (parcque remonter c’est trop fatiguant) finir par dire « ouai je suis désolé je croyais que c’était là mais en fait on était 3km à coté ». -----> Ne JAMAIS descendre des couloirs à vue sans être certain qu’il mène quelque part.
Ou bien alors: « j’ai bien étudié le topo de la voie, l’approche est facile faut passer un peu dans le versant par là en haut »… 30min plus tard…« euh la sente qu’on suit elle est quand même bien expo!? » « ah ouai en fait ca doit être une sente de chamois je vais relire le topo »
–> L’approche fait partie d’une voie, les chemins d’accès ne se devine pas.
Ou encore: « cette arête est cotée en 3-4 on fait ça vite fait en corde tendue, je pense dans 4 heures on est en bas »… 6h et 15 longueurs plus tard « bon faudrais qu’on se mette à réellement faire de la corde tendue parcque là il y a le soleil qui se couche ».
–> Quand on est nul mieux vaut avoir de la marge
Au final si tu fait pas de bêtises t’apprend jamais!!!
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Partir ,porté par l’inconscience de la jeunesse mais pas très réveillé ,dans les 800m de Cordier/Roc/Grepon,laisser tomber ,en changeant les pompes ,un soulier dans la roture,aller visiter en se faisant mouliner dedans un magnifique palais de glace ,mais sans trouver le fond ni la chaussure ,tirer par acquis de conscience quelques longueurs dans "subtilités"sans que le coeur y soit vraiment,l’esprit trop occupé par la horreur qui allait suivre:la descente jusqu’au Montenvers le pied gauche dans un chausson…
Comme les autres j’en ai fait beaucoup de communes avec toi.
J’en retiens deux:
- Partir faire le cigare des Viollins, tomber dans l’eau à la traversée du ruisseau, retourner à Briançon louer une paire de grosses, partir à Cervières, se rendre compte que le vendeur a donné deux pieds droits (ou gauche, je ne sais plus), redescendre en trombe faire l’échange au magasin, remonter rejoindre les copains, louper les cascades dans le blizzard, errer un peu dans le brouillard, les retrouver, et finir par prendre un pain de glace dans le nez à 3m du sol.
- Remonter un névé de 30m en baskets pour accéder à la voie, en taillant des marches avec une pierre. Ça s’est quand même fini plus mal que toi puisque j’ai eu droit à un tour d’Alouette III…
Partir de Valence à Monetier les Bains pour un week-end de ski annoncé pourri (météo et nivo), en disant que ça sera pas si pire que ça.
Passer le Lautaret sous la neige.
Se rendre compte que finalement, c’est aussi pire qu’annoncé.
Finir au bains de Monetier
Et rentrer par Gap parce que le col du Lautaret a fermé pendant qu’on pique-niquait une fois sorti des bains.
J’imagine qu’il y a pire 
À propos de bains, lors d’un raid à ski, dans un refuge, véritable refuge-hôtel en pleine montagne avec douches, je vais dans une douche d’où sortait une dame qui m’a dit que je pouvais en profiter, l’eau était bien chaude… je me suis retrouvée toute savonnée, l’eau coupée ! Il fallait prendre un jeton à l’accueil
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Haha on a fait la même ce printemps ou presque… la météo était superbe et les conditions propices à un beau tour de la meije. Mais 2 heures après le départ mes nausées nous ont fait faire demi-tour et on a fini aussi aux bains…
Il ne cuisine pas mal: il ne cuisine pas 
En fait tu as raison de t’abstenir : c’est beaucoup moins risqué finalement 
En effet ce n’est pas en cuisinant qu’il m’a séduite ; même si il est responsable à 50% des nausées sus-citées.
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De mon point de vue, sa responsabilité doit même pouvoir se monter à 100%, si on y pense bien…enfin, d’après ce que j’ai compris en tout cas 
Oh bah j’assume ma part de responsabilité quand même !
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Moi, j’appelle plutôt ça avoir le c** bordé de nouilles !!
Merci pour ces anecdotes !
C’est rigolo comme sujet, alors à quoi pourrais-je penser ?.. Je suis petite joueuse par rapport à vous !
Cf @Goethe la course d’arête de la mort en pantalon (neuf) de boulot, le mini-malaise au milieu, le cablé coincé, et au retour au lieu de dépose : les marmottes qui avaient mangé mes provisions pour les jours à venir (bon, du fait du malaise on a pas continué les 2 jours suivants donc pas de conséquence…)
- Oublier la totalité de la bouffe pour les 2 jours au parking côté français, s’en rendre compte au trou du cul de la piste après un tunnel fantôme, versant Espagnol… (heureusement un super partenaire avait de la bouffe pour 1 régiment)
- Le partenaire qui oublie le sandwich le 1er jour et le second il me dit tout content « hey j’ai pas oublié le sandwich aujourd’hui, par contre le baudrier m’attend sagement à la voiture » il a fait des rappels avec une belle sangle dans le derrière ça lui a servi de leçon
- Se faire tremper les pompes le 1er jour, sur un sentier inexistant recouvert d’herbes dégoulinantes de la pluie de la veille, avoir les pieds rincés en 2h, Continuer la (longue) journée ainsi et pour le lendemain, mettre les pieds dans des sacs plastiques pour pouvoir faire la 2e course du we !)
- Le binôme qui fait pas gaffe au matos qu’on lui prête et qui se retrouve avec une paire de crampons semi-autos sur des pompes ne les acceptant pas (x2)
- Se planter d’hure de réveil et donc se lever une heure plus tot que prévu (pas grave en soi, il faut juste un partenaire non rancunier !!)
Et certainement d’autres mais ma mémoire défaille…
Merci pour ce sujet, c’est bien l’fun !
Faire une longue voie avec un inconnu, lui proposer de faire une longueur en tête par politesse … une fois arrivé à son relais, constater que je n’étais attaché au relais que par le petit câble métallique du reverso… bon, ça va, c’était que la 4ème longueur, on était pas si loin du sol que ça 
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Monter camper sur le Glacier Blanc et avoir oublié son duvet. Les nuits sont assez fraîches là haut au printemps… donc passer une bonne partie de la nuit à gratter de la neige dans l’abside pour se faire du thé, le plus silencieusement possible pour ne pas réveiller le copain qui dort bien au chaud dans son duvet, lui… et passer l’autre partie de la nuit à avoir super envie de faire pipi !
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Camper dans la combe maudite, après avoir fait le roi de Siam, s’ouvrir un magret fumé pour fêter le Grand Cap prévu le lendemain et se découper le doigt (mon binôme pas moi) en coupant la première tranche…
Du coup, pas de grand Cap ?
aïe, aïe, aïe…