Avec grand plaisir oui!
Vivement que le rêve de voler devienne réalité pour moi…
Avis à tous les montagnards parapentistes
Posté en tant qu’invité par Dom68:
Posté en tant qu’invité par Schnegg:
Super
Les voiles sont de plus en plus légères ozone parle de sortir une voile montagne de 1,4 kg donc il est tout a fait concevable de partir faire une grosse course et de descendre en volant !!!
Je pense meme que la pratique va ce généraliser !!
Posté en tant qu’invité par Laurent456:
Très bonne idée !!!
[quote=« Schnegg, id: 1264423, post:144, topic:103646 »]Super
Les voiles sont de plus en plus légères ozone parle de sortir une voile montagne de 1,4 kg donc il est tout a fait concevable de partir faire une grosse course et de descendre en volant !!!
Je pense meme que la pratique va ce généraliser !![/quote]
Non je pense qu’il faut se modérer, au début du parapente le matos était justement léger, les sellettes super simples, on s’est mis à croire que plus personne ne redescendrait en marchant…et puis on s’est rendu compte que bien trop souvent vent trop fort ou mal orienté, pour descendre en volant il faut bien choisir son jour et son orientation. Donc qu’après que le parapente soit parti dans la direction du vol libre et du matos plus élaboré et plus lourd, c’est chouette de voir revenir des voiles plus légères mais performantes aussi. Mais malgré ça l’incertitude du vent en montagne fait que ça reste infiniment plus simple de décoller d’un site que d’un sommet, donc que la pratique se développe c’est bien, se généralise je crois pas trop.
Cela dit vive les vols rando !
EMMANUEL
En effet…en grimpe si tu pars dans une voie trop dur, tu t’en rends vite compte et après un bon vol, tu te fais descendre sur la corde…enfi si tu t’es pas fait mal.
Là, une fois que t’es en l’air…si ça se passe mal…
Les statistiques sur l’accidentologie de parapente en montagne est très difficile à trouver.
Pour les C.A.S. les cas sont peu nombreux dans l’absolu, manque évidement le rapport au nombre des pratiquants.
Encore ce dernier point pour aller dans le sens de Vol4807, c’est que l’air on ne le voit pas, donc la compréhension de l’aérologie est un facteur déterminant pour cette pratique.
La généralisation ne sera pas une réalité assurément. Mais une visibilité plus grande de cette pratique, ça peut aider à en délimiter les joies et les risques.
[quote=« vol4807, id: 1264828, post:146, topic:103646 »]
[quote=« Schnegg, id: 1264423, post:144, topic:103646 »]Super
Les voiles sont de plus en plus légères ozone parle de sortir une voile montagne de 1,4 kg donc il est tout a fait concevable de partir faire une grosse course et de descendre en volant !!!
Je pense meme que la pratique va ce généraliser !![/quote]
Non je pense qu’il faut se modérer, au début du parapente le matos était justement léger, les sellettes super simples, on s’est mis à croire que plus personne ne redescendrait en marchant…et puis on s’est rendu compte que bien trop souvent vent trop fort ou mal orienté, pour descendre en volant il faut bien choisir son jour et son orientation. Donc qu’après que le parapente soit parti dans la direction du vol libre et du matos plus élaboré et plus lourd, c’est chouette de voir revenir des voiles plus légères mais performantes aussi. Mais malgré ça l’incertitude du vent en montagne fait que ça reste infiniment plus simple de décoller d’un site que d’un sommet, donc que la pratique se développe c’est bien, se généralise je crois pas trop.
Cela dit vive les vols rando !
EMMANUEL[/quote]
Bonjour,
J’étais alpiniste (tout à fait moyen !) bien avant de devenir parapentiste et je fais des vols en montagne depuis que j’ai commencé le parapente il y a 24 ans maintenant.
Il ne faut ni surestimer ni sous-estimer la difficulté des vols en haute montagne.
Il faut bien sûr avoir acquis une réelle autonomie par rapport à l’activité : savoir choisir un emplacement de décollage, gérer un plan de vol en fonction de l’aérologie et du relief survolé, choisir et assurer un atterrissage en terrain parfois non aménagé (absence de manche à air par exemple) et savoir renoncer au vol et redescendre à pied si les conditions sont foireuses au sommet ou en-dessous.
Mais les vols en haute montagne se programment lorsque les conditions météo sont « béton » (conditions anticyloniques et vent faible à nul en altitude).
Comme on monte en même temps que les alpinistes, on arrive au sommet, et on en décolle, tôt le matin avant que les conditions aérologiques de milieu de journée ne s’établissent (les brises de vallée peuvent devenir fortes à partir de 11 h du matin, mais on est en général déjà posés depuis longtemps !).
J’ai réalisé des dizaines de vols en haute montagne (Mont Blanc, Mont Blanc du Tacul, Dôme du Goûter, Aiguille du Midi, Aiguille Verte, Grandes Jorasses, Ecrins, Pelvoux, Ailefroide Orientale, Pic du Rif, Pic Jocelme, Pic Coolidge, Cime du Vallon, Grande Ruine, Grand Paradis…), toujours dans des conditions calmes et tranquilles.
A part le gaz important que l’on a rapidement sous les pieds (parfois plus de 2000 m !), il n’y a en général pas de difficulté technique particulière à réaliser de tels vols.
On se fait autrement plus « secouer » en l’air sur un site « classique » et « officiel » au printemps en milieu de journée dans les Alpes du sud !
Donc ces vols ne sont pas « ordinaires », mais ils ne sont pas plus exigeants en terme d’expérience que beaucoup d’autres.
Et ils procurent des émotions absolument exceptionnelles 
Il n’est absolument pas nécessaire d’être un « cador » du parapente pour les effectuer !
Mais il ne faut pas être débutant non plus bien sûr…
Amicalement.
Marc Lassalle
Trop envie de retourner voler, même si je ne sais pas encore le faire par moi-même 
L’hiver semble vouloir pointer le bout de son nez…
Le ski va reprendre ses droits.
Nous avons eu un automne particulièrement sec et chaud.
Du coup beaucoup de vols en attendant la neige.
Un grand merci à tous les contributeurs de la section Vol et montagne et une mention toute spéciale à Pierre.
J’encourage tous nos amis de la région de Grenoble, de Briançon et de tous les coins ou ça vole de référencer leurs vols.
Vous souhaite à tous un super hiver avec plein de poudre et de moments magiques sur les lattes.
Là c’est sûr on a moins envie de redescendre par la voie des airs 
. Mais même en hiver, si la neige est pourave, un ptit vol à ski ça fait toujours du bien…
c’est le B. A. BA de toute pratique autonome en parapente, sinon autant s’acheter un révolver pour jouer à la roulette russe :rolleyes:
C’est pour moi une excellente idée,
renseigner les pratiquants pourra donner des idées de vols, des infos sur les lieux de décollage avec les dangers, les pièges, savoir qu’il existe par exemple une petite rubalise indiquant le sens du vent au sommet X est toujours intéressant.
J’adhère.
Didier
[quote=« bonyeti74, id: 1326379, post:154, topic:103646 »]…savoir qu’il existe par exemple une petite rubalise indiquant le sens du vent au sommet X est toujours intéressant.
Didier[/quote]
Bonjour,
Soyons un peu sérieux : il n’y a jamais de rubalise (ou « flamme ») installée à demeure au sommet d’une montagne.
En randoparapente ou en paralpinisme les pilotes en ont toujours sur eux pour bien visualiser la direction et la force du vent.
Ils doivent pouvoir analyser eux-mêmes les conditions de vent au sommet afin de gérer en sécurité leur décollage.
De même pour les vols montagne il n’y a pas (en général) de manche à air à l’atterrissage pour savoir d’où vient le vent et c’est au pilote de savoir le déterminer lorsqu’il est en l’air.
Cela s’appelle simplement l’autonomie…
Amicalement.
Marc Lassalle
**
non, le poisson d’avril ce que mes sortie n’y sont pas!!!
C’est ça j’ai gagné?
+1
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Très contente de cette rubrique!!!
Merci
Posté en tant qu’invité par ludolagoutte:
Posté en tant qu’invité par Guy…:
Cette rubrique va en effet, m’ être utile rapidement et en tant que débutant je pourrais peut être déjà y consigner
Les vols faciles que je fais dans le Vercors ???
Dites moi?
Guy