Posté en tant qu’invité par Doc:
Ben moi, quand je fais la trace ce qui est rare, je préfère profiter de celle des autres…J’me débrouille toujours pour laisser un souvenir odorant sur la trace quand il y a des manches à raquette qui me suivent…
Aux personnes en raquettes!
Posté en tant qu’invité par sr:
m’étonne !!!
Posté en tant qu’invité par sr:
Ah là par contre je suis d’accord avec toi
Posté en tant qu’invité par J2LH:
sr a écrit:
m’étonne !!!
Si tu ne le savais pas je ne fais que de la raquette, pas de ski, ceci explique sans doute cela.
Posté en tant qu’invité par Beone:
Aaaaaah (satisfaction) !
La neige tombe, les skieurs rouspètent contre les raquettistes et ce bon vieux J2LH revient se battre bec et ongles pour défendre son activitée chérie contre les méchants trolls de skirando.
Il ya des signes qui ne trompent pas: l’hiver est bien de retour !!!
Beone
Posté en tant qu’invité par Cyril du Monêt’:
Pic Blanc du Galibier, 10 décembre 2006. Je suis en raquettes.
J’ai fait la trace sur près de 200m de déniv (en m’appliquant pour les skieurs derrière).
Pour faire la trace, j’ai doublé 2 personnes d’un certain age en ski. A la faveur d’une de leur pause avant que je les double, j’en entends un dire un truc du genre « putain, le mec derrière en raquette détruit la trace ». Le mec a tenté de faire le fier le temps d’une conversion et a ensuite rapidement enquillé ma belle trace. Bien sûr, c’est largement moins fatiguant !!! Est-ce que je me fache pasqu’il a suivi ma ligne et fait 2 rails dans mes traces « spécial raquettes »?
Non, ce serait être étroit d’esprit. D’ailleurs, si ma trace ne lui plaisait pas, il n’avait qu’à en faire une autre (ce feignant ) !!!
Ensuite, arrivé à la traversée de la route du Galibier, j’ai attendu les collègues et d’autres skieurs me sont passés devant. J’ai repris le chemin de neige ainsi dessiné (en prenant soin, comme l’a rappelé Bubu, de mettre un pied sur la trace et un autre en amont).
Et vous croyez qu’on m’a remercié pour la trace ? ;-))
Posté en tant qu’invité par coin-coin:
Vous êtes un peu durs avec les raquettistes unijambistes…
Posté en tant qu’invité par tetof:
Un superbe marronier qu’il fait plaisir à lire.
Y a de la neige.
Posté en tant qu’invité par marmouset:
Montagne = liberté. Oui mais la liberté a toujours des limites, nottament :
« La liberté des uns s’arrête là où commence celles des autres »
Chacun est libre d’apprécier et de profiter de la montagne à sa manière mais quand se posera-t-on la question : est-ce que mon comportement peut géner les autres?
Des exemples : téléphone portable, pissettes dans les traces, groupes très bruyants…
Raquettes ou skis essayONonsde ne pas penser qu’à nous et de rester courtois.
Bon hiver à tous.
Posté en tant qu’invité par SDDDRO:
Yeahhhh!
Bon, j’essaierai d’être là pour la centième réponse.
Bon sang que ça fait du bien! Lire ce genre de post, avec les réponses, les « vieux » noms que j’ai découvert l’an dernier et qui sortent de l’hibernation estivale (!?) bien méritée… Alors que les premières chutes de neige blanchissent les sommets…Ca y est, l’hiver arrive.
Sinon, je ne vais pas me répéter, voir le thread de l’an dernier, mais moi je défendrai bec et ongle tous les raquettistes que je verrai en prendre pour leur grade sur ce forum.J’ai presque réussi à lire tout ce qui précède (c’est-y pas beau…) et, oui, on est souvent bien content, même à skis, de voir des traces et de les suivre. Je ne vois toujours pas ce qu’il y a de si criminel à marcher sur les traces des skieurs. En tant que skieuse, j’ai déjà eu du mal à suivre des traces empruntées (ou inaugurées) par des raquettistes, et bien j’ai dévié, là! Un mètre en dessus ou en dessous, je ne vois pas ce que ça change?on n’est pas sur des rails quand même, c’est justement tout l’intérêt de la rando.
Alors je m’en vais signaler aux chamois de passage, aux éventuels dahus paumés et aux lagopèdes de sortie qu’il faut qu’ils fassent gaffe aux traces.Parce qu’ils risqueraient de se faire insulter s’ils percent l’immaculée trace rectiligne et idéalement placée, dans tout le versant de la montagne, pour le skieur et rien que pour lui.
Mais bon, il y croit, K2, à ce qu’il raconte? Ou il est juste comme nous, content de voir la neige, en train de piaffer, et il manifeste par son message sa joie du retour de la saison? A voir les réponses, je suis rassurée: le second degré y domine, et ce marronnier d’hiver est le bienvenu. Alors trève de véhémence, il n’y a qu’une seule chose raisonnable en ces circonstances: la surenchère.
Allons-y donc!
1.Celui qui tient tant à sa trace, c’est pour une raison bien simple: il veut GAGNER DU TEMPS. Parce qu’avec les « rails », on l’abat de dénivelé. Quand il faut faire sa trace ou dévier parce que celle qui existe est abîmée, ça va moins vite.
De là à dire que critiquer ainsi le raquettiste est un symptôme devant faire rechercher un syndrôme « khôlan-pipet’ » (pour employer l’orthographe réformée)…Et c’est parti pour le second marronnier?
2. Si l’hypothèse ci-dessus se confirme, alors il faut vérifier le matériel. Quelqu’un qui veut aller vite, souvent (si j’en crois ma culture skirando, récente et imparfaite encore), il est en TLT! Le diamir, plus orienté « Zôtre » (concept contemporain du khôlan-pipet’), serait moins vindicatif envers le raquettiste. Allez, des bonnes volontés pour le troisième marronnier TLT/diamir?
Rahh, quand je vous disais que ça faisait du bien!
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par jack:
merci pour la rigolade
Posté en tant qu’invité par jack:
merci pour la rigolade
Posté en tant qu’invité par Charles:
Purée, j’ai peut être été trop timoré en prédisant 100 posts: 71 messages en une journée ça laisse entrevoir le super-banco ça! Allez, j’en remet une petite couche pour avoir vite fait les 100 messages.
De toute façon, les raquettistes y z’ont qu’à rester sur les pistes damées, ça leur évitera de faire des conneries.
Posté en tant qu’invité par Michel:
Charles a écrit:
De toute façon, les raquettistes y z’ont qu’à rester sur les
pistes damées, ça leur évitera de faire des conneries.
Pistes damées payantes, donc entretenues et surlesquelles veillent des pisteurs qui interdisent la dégradation des traces == voilà le progrès.
Posté en tant qu’invité par François:
pourquoi K2?
grand ballon serait peut être plus adapté si pas capable de faire ou refaire une trace…
Posté en tant qu’invité par sr:
non mais je suis un peu dur a la « comprenotte » ceci explique cela
Posté en tant qu’invité par jc:
Y’en a marre de ces skieurs qui pourissent mes traces de raquettes…
Posté en tant qu’invité par J2LH:
jc a écrit:
Y’en a marre de ces skieurs qui pourissent mes traces de
raquettes…
Finalement ça montre quand même la supériorité de la raquette sur le ski cette histoire. Les skieurs, enfin certains, sont génés par les traces de raquettes mais on n’a jamais vu un raquettiste se plaindre sérieusement de la trace des skis, preuve que les raquettes peuvent s’adapter à des situations plus variées que les skis.
Posté en tant qu’invité par JCG:
Allez je relance !!
Lu sur un compte-rendu skitour :
« Nous avons choisi de monter par la crete jusqu au cairn coté 2542m car une trace avait été partiellement faite la veille en raquetes par des surfeurs ! merci. »
8-b
Posté en tant qu’invité par K2:
Bon et bien finalement cette réaction à chaud n’aura pas fait fondre l’énergie des commentaires en tout genre: urine dans la trace, héliportage, fusil à l’épaule, tapettes à mouche, animaux traceurs… C’est fou de voir à quel point les réactions peuvent partir dans tous les sens de la caricature alors qu’il ne s’agit que de règles de bonne conduite pour bien fonctionner ensemble. M’enfin, vu la nature et le nombre des réactions, on n’est pas prêt de se mettre d’accord tout de suite. Et on continuera comme moi à faire sa propre trace pour éviter les dégâts de tous ceux qui nous rakettent. Même si, comme le dit Flo, brasser dans 50 cm de poudre, ça sèche un peu pour la descente!