Certes. Mais Henry n’avait que très peu de courses à son actif , c’était un grimpeur en falaise. Vincendon était jeune aspi, bon rochassier, mais sans réelle expérience hivernale.
Mais bon, c’est un autre sujet.
Ascension Mont blanc sans guide
Troll ou pas, qu’importe, là n’est pas la question : merci de rester dans le sujet. Les (trop grosses) digressions sont supprimées sans discussion.
Je suis d’accord concernant les vidéos de Will Gadd! Je suis aussi tombé dessus quand j’ai voulu initier un ami à la cascade de glace et j’ai moi-même appris pas mal de petits points qui m’ont bien aidés.
Une interview récente de Benjamin Vedrines sur les erreurs à éviter lorsqu’on se lance dans l’ascension du Mont-Blanc ou dans une autre course d’alpinisme avec peu d’expérience.
La condition physique, c’est parmi tant d’autres
Cf interview de la chaîne Neo sur Instagram
Attention j’ai dit pour le cramponnage, pas le reste. je suis d’accord que pour enrayer les chutes en crevasses à part les manip de base rien ne remplacera la pratique/ experience.
Internet c’est bien, mais rien ne vaut l’apprentissage à l’ancienne
… par fax
A mon avis la gestion de situation accidentelle ne s’acquiert en général pas par l’expérience, parce que heureusement on y est rarement confronté.
Mieux vaut anticiper le jour J par une formation et des exercices ds le cadre d’un stage.
Typiquement, pour la chute en crevasse, mieux vaut faire de vrais exercices ds une vraie crevasse (ou une grosse congère, c’est pareil), pour se rendre compte de la difficulté en cas de vraie rupture de pont de neige : et pour tenir, et pour remonter.
J’ai bcp + peur de cette situation depuis que je me suis formé. Avant, je croyais naïvement que ca ne poserait pas de pb puisque en tant que spéléo je sais remonter sur corde…
C’est à dire porter une clim sur le dos ?
Bonjour,
Tout d’abord merci pour vos messages plus que motivants par votre vision du verre à moitié vide. Ma maman m’a toujours dit de voir le verre à moitié plein, et je l’écoute.
J’ai fait et terminé avec mon coloc, l’ascension du Mont Blanc la semaine dernière. Certes, au vu de vos conseils, avec un peu plus d’entrainement que prévu, mais sans guide, sans c’est possible tant que la motivation et la confiance et sois est présente.
Ce message est plus pour motiver chacun d’entre vous, pas dans l’alpinisme mais dans la vie de tous les jours, le pro et le perso, croyez en vous, si vous vous donnez les moyens vous allez réussir. Je ne. prétend pas être un coach de vie ou n’importe quoi, juste un grand ado, ou un jeune adulte, mais plutôt un grand ado, qui n’ai jamais douté de moi, et c’est donné le plus de moyen possible pour réussir.
Je vous souhaite à tous une belle continuation dans vos projet pro, et votre vie perso, croyez en vous et vous ne serez jamais déçu.
Amen!
Bonjour
Un peu de description de l’ascension serait la bienvenue ,itinéraire ,moyens utilisés ,photos. Etc etc
En montagne (et ailleurs) c’est bien de douter parfois. Tant mieux si ça s’est bien passé mais ce n’est pas une raison pour encourager les autres à faire pareil.
Oui, c’est bien d’encourager les gens à faire de la montagne, mais il ne faut pas croire que tout se passe tjrs bien : mauvais temps, crevasses, conditions de neige.
Qd tt est bien, c’est de la rando, il suffit d’être en forme. Qd ca accroche… l’accident de la Dent Blanche nous le rappelle tragiquement.
En tous cas, vous ne l’avez quand même pas fait en novembre. Et finalement, vous l’avez fait en une journée? Et par les 3 Monts?
Question déjà posé…on attends la réponse
Bel exemple de bais du survivant!! Avec en plus les sous entendus foireux, manque plus que la petite musique typique des comptes réseaux sociaux de motivation pour parfaire le tableau…
Vous avez pu faire le Mont Blanc et en revenir vivants, et là dessus j’en suis heureux. Comme à chaque demande loufoque de ce type ma principale crainte est de voir l’hurluberlu qui pose la question se faire mal. Ce n’est pas le cas ici et j’en suis ravi!
Néanmoins il ne faut en aucun cas considérer que cet état de fait vous donne raison, vous avez principalement eu de la chance!
Les remarques que nous avons tous pu faire sur ce sujet ont contribué à limiter le niveau de la connerie que vous alliez faire, vous n’êtes pas partis en novembre, vous vous êtes peut être un peu plus préparés… Pourtant votre réussite et retour sans casse tient elle à cela ou plus à un alignement de conditions favorables? Que se serait il passé si la météo avait tourné rapidement de façon imprévue, si l’arête des bosses avait été bleue béton, qu’un membre de la cordée se soit mis à taper son meilleur MAM sous Vallot?
La motivation et la confiance en soi sont une bonne chose quand ils aident à s’engager dans la préparation nécessaire et à analyser avec le recul nécessaire un projet. Les utiliser comme excuse pour se lancer sans la moindre expérience dans un truc qui peut vite requérir un vécu alpin pour éviter le drame c’est au minimum de l’aveuglement, au pire de la bêtise.
Ce qui me rassure dans ces propos c’est que ce sont ceux de quelqu’un qui avait juste besoin de cocher un truc pour se sentir avancer dans la vie, pas de quelqu’un qui veut faire de la montagne, et que ça implique donc une faible probabilité que vous vous remettiez en danger de la sorte.
Par contre il est absolument indispensables que ceux qui lirait ce genre de message comprennent que ce n’est absolument pas représentatif et que croire que partir faire le Mont Blanc sans expérience et sans guide est « normal et cohérent » est un énorme erreur!
Je trouve le fait de ramener le mont blanc à un défi mental, un dépassement de soi dangereux. Certes la motivation entre en jeu mais c’est loin d’être le seul facteur de réussite me semble t il. Des moyens de se dépasser sans se mettre en danger il doit y en avoir un certains nombre non? Je suis sur qu’on peut même faire profiter son dépassement au profit d’association plutôt que de promouvoir des mauvaises pratiques.
Je me permets d’ajouter: en quoi consistait l’entraînement? A skis où raquettes où à pieds? Sommets gravis auparavant?
Biais du survivant ???
Et toi seb « biais du pilier de bistro »
Face à un jeune sans expérience qui se renseigne puis qui revient dire ce qu il s est passé hors du bar.
Tu Ne connaîs pas l entraînement mis en place, l expérience du gars, la façon de faire sur site. Et émets direct un gros jugement tout en finesse, en lui disant que c est un inconscient et un blaireau. Tout au moins un chanceux.
N hésite pas, reprends des cacahouètes!
Biais de sens critique ?
Qui va croire que des débutants en alpinisme aient pu faire le Mont Blanc la semaine dernière ?