Posté en tant qu’invité par Pascalou:
E t quand c’est-y que j’pourrais comprendre, Ô Grand Manie Tout?
Petit Scarabee
Bon aller, faut que j’y aille, j’ai un semesterarbeit qui m’attend
Posté en tant qu’invité par Pascalou:
E t quand c’est-y que j’pourrais comprendre, Ô Grand Manie Tout?
Petit Scarabee
Bon aller, faut que j’y aille, j’ai un semesterarbeit qui m’attend
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
Bon aller, faut que j’y aille, j’ai un semesterarbeit qui
m’attend
Moi c’est un gratin de pates…
Posté en tant qu’invité par wild beaver:
yéyé a écrit:
Récemment arrivé dans les Alpes, la montagne fait désormais
partie de ma vie.
c’est un peu une évidence!
Avant c’était la mer.
Peut être que d’ici quelques années t’auras les deux en même temps!
On peut se faire plaisir sans risquer sa vie à chaque pas.
Sans prendre de risques inutiles, vraiment inutiles.
Oui, mais qui est en mesure de juger que ceci ou cela est ou pas « risqué »?
Bonnes courses.
ben, justement, je vais chez Carrefour ce soir
ciao
Posté en tant qu’invité par Jérôme Tanon:
Je suis dans le Gervasutti et je me suis dit que ce passage complèterai le sujet :
"Dans le monde des alpinistes, malgrès les admirables exploits de nos pionniers, une sorte de prévention contre l’alpinisme hivernal est encore répandue. On a peur des difficultés, du froid, et surtout du manque de confort dérivant du fait que les refuges-hotels sont nécéssairement fermés.
Mais l’alpiniste fort et sûr de lui devrait au contraire rechercher et préférer l’ascension hivernale, par ce que, plus que toute autre, elle lui permet de mesurer ses forces en les confrontant aux rigueurs de la montagne, obligé qu’il est de lutter sans répit, jour après jour, complètement isolé, et sans possibilités de réapprovisionnement.
En outre, dûement utilisés, les skis permettent aujourdh’ui de transormer les longues et fatigantes marches d’approche en traversées agréables et en descentes fantastiques, dans le décors des hautes montagnes et des neiges éternelles.
…de plus, le danger objectif des chutes de pierres fréquentes reste éliminé. La neige et le froid, ennemis habituels de l’alpiniste, sont en l’occurence ses alliés et maintiennent les blocs dans leurs alvéoles de glace, les empéchant de se tranformer en projectiles redoutables."
Dsl pour l’ortographe !
Posté en tant qu’invité par Tétras:
Sors de ta boite de conserve Dav. En montagne, chacun est libre de fixer ses propres règles. Si tu a peur du froid, reste au coin de ta cheminée avec ton chat. Si tu est contre le secours en montagne, ne t’avise pas de les appeller quand tu aurra un accident l’été. Profites de la montagne comme tu l’aime, mais n’empèche pas les autres de l’apprécier différemment.
Posté en tant qu’invité par Julien:
Salut Jérome je pense que tu as bien répondu. Il est vrai que moi, après avoir fait de magnifique voies, je restais en admiration fasse à cette montagne plus jolie que jamais après une chute de neige mais aussi très cruel. C’est pour cela que je me suis perfectionné en montagne, apprenant à chaque fois de nouvelles technique, me retrouvant fasse à quelques situations difficiles mais à chaque fois, j’arrivai par instint à trouver la bonne décision. Et je pense que l’on est un vrai alpinisme après avoir dompter la montagne en hiver. Malgrés mes 17 ans, cette saison d’hiver, sera je l’espère marquée par de belles réalisations.
Ciao, Jérome
Posté en tant qu’invité par Nostalgique:
Formid! :):):):):) Les grandes heures du forum. Séquence nostalgie. Qu’est-ce qu’on se marrait.
Posté en tant qu’invité par OLIBLEAU:
« Vous ne savez pas de quoi vous parlez » : citation de feu Mitterrand à un journaliste qui, ne sachant rien sur à peu près tout, a fait fort en séduisant notre sphinx national…
SOS statistiques sur les accidents : au secours, les pro de la montagne !
Les stats, j’en ai consultées pas mal sur des décennies de vieux « Montagne et Alpinisme » et autres revues et comme tout le monde, j’écoute la radio et me tiens un peu au courant de l’actualité.
La plupart des accidents graves de montagne en hiver sont le cas de skieurs hors piste avec, de plus en plus, sur les pistes, de graves traumatismes et des décès dus au ski « je fonce sans regarder ».
En été, le gros des pépins provient de la rando. Il faut moins de 2 secondes pour chuter de haut et cela arrive bien bien plus souvent sur des sentiers caillouteux ou herbeux et à des non-alpinistes qu’en situation de grimpe.
Et quand on examine le destin fatal des « grands » que voit-on ?
Des chute dans crevasse, avalanche, corniche ou glace qui décroche, chute de pierre, perte dans la tempête (non prévisible comme ce fut le cas au Freny en 1961), accident de rappel avec ou sans erreur etc.
Qui peut m’avancer le nom d’un grand de la grimpe mort dans l’accomplissement de son art ?
Preuss ? D’après Buzzati, qui connaissait plutôt bien cet univers, la thèse la plus probable est celle d’un brusque changement de temps : un vent violent aurait emporté le grand grimpeur à la descente. Ce n’est pas une erreur technique ou même une imprudence de sa part.
Godefroy Perroux mort en cascade : ni erreur de technique ni imprudence ; la glace s’est rompue, trompant l’un des meilleurs experts mondiaux. La météo nationale avec ses ordinateurs ultra puissants se trompe presque tout le temps depuis que le réchauffement climatique met la panique dans les modèles les plus sophistiqués…et l’on en voudrait à « God » de s’être une seule fois trompé en « sentant » cette matière qui était comme un prolongement de lui-même ?
Alors quel est ce mauvais procès fait aux rarissimes amateurs d’hivernale ? (en comparaison avec le volume des grimpeurs de saison).
Dernière comparaison pour notre procureur du Net : est-ce plus dangereux de s’aventurer seul ou en cordée isolée dans une hivernale (qui offre le plus souvent une glace de qualité permettant d’évoluer vite) ou de processionner à je ne sais combien de cordées, l’été, dans des classiques ?
MDR !!
Oh non, je ne vais pas ressortir les chiffres ce matin mais sauf erreur il y a en gros autant de morts en alpi qu’en rando chaque année pour évidement beaucoup moins d’alpinistes que de randonneurs.
Patrick Bérault par exemple.
Posté en tant qu’invité par Pil:
Lionel Terray, Angelo Dibona, etc.
Lafaille, Béghin,…
Posté en tant qu’invité par olibleau:
MDR !![/quote]
MDR = Veut dire ?
Oh non, je ne vais pas ressortir les chiffres ce matin mais sauf erreur il y a en gros autant de morts en alpi qu’en rando chaque année pour évidement beaucoup moins d’alpinistes que de randonneurs.[/quote]
Vais rechercher chiffres disponibles
Patrick Bérault par exemple.[/quote]
J’ai écrit : " dans l’accomplissement de son art "
Bérault : accident de corniche
Beghin : accident de rappel
Lafaille : on ne sait pas
Terray : glissade sur pente herbeuse
Dibona : ne me souviens pas ; vais voir dans mes archives
On pourrait rajouter Lachenal : crevasse en ski
Gervasuti et Comici : accident de rappel
Claudio Barbier : erreur de manoeuvre en nettoyant une voie
Boivin : parapente
Ce que je voulais dire, c’est qu’hormis des cas très rares (au point que je n’en ai pas en mémoire bien qu’amateur d’histoire de l’alpinisme), les grimpeurs, surtout les grands, meurent soit dans une activité connexe comme le ski, soit dans le cadre d’un danger objectif, soit dans une manoeuvre. Dans tous les cas, il s’agit d’accident et pas la conséquence d’une chute en situation de grimpe qui serait due par exemple à une surestimation du niveau requis. L’hivernalisme ne constitue pas à cet égard une prise de risque exagérée. Chaque type de grimpe, chaque lieu, chaque moment présente un ensemble de facteurs. Le risque s’évalue au cas par cas à la fois de façon objective et subjective, de sorte qu’on ne peut pas généraliser et hiérarchiser le danger.
Posté en tant qu’invité par Pil:
Exactement, tous dans l’accomplissement de leur art, comme tu dis ! C’est un tout.
Dibona, dans un rappel.
Que je suis Mort de Rire si tes sources d’informations c’est principalement la radio pour te tenir « un peu » au courant de l’actualité comme tu dis (la télé c’est pas mieux)
Personne ne se permettrait de dire qu’il s’agissait d’une prise de risque exagérée. Il n’en reste pas moins vrai qu’il sont morts dans leur pratique, « dans l’accomplissement de leur art » comme tu dis. Et qu’ils ne soient pas morts dans des situations extrêmes montre bien qu’il n’y a pas besoin de se mettre dans une situation extrême pour être dans une situation comportant un risque certain.
Posté en tant qu’invité par benoit 001:
T’as rien compris je crois, tu parles sans savoir , et puis de quel droit critiques-tu les alpinistes ? Les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Tu aimes peut être le foot le tennis ou le turling baton c’est ton choix alors respecte celui des autres. Tu parles au nom des sauveteurs mais le sais-tu que ça nous fait plaisir d’intervenir pour aider les gens ! Bien sûr que l’on prend des risques mais c’est le métier. et tu parles de budget des secours : tu sais combien ça coûte les soins donnés aux personnes atteintes de cancer à cause du tabac ou de l’alcool ? tout ca pour pour fumer du bitume ou boire de l’anis. tu me fais penser au gens qui disent " allez encore un mort en montagne , il pouvait pas rester chez lui celui là ". 'u me mets hors de moi avec tes propos le mieux c est que tu restes chez toi a siroter un jus il ne t’arrivera rien comme ça.
benoit qui en a plein le cul des gens comme toi
Stp, précise à qui tu t’adresses, là on peut facilement penser que c’est à moi.
Posté en tant qu’invité par l ancien:
l hiver c est comme l ete, l alpinisme est une activite ou le besoin d estime de soi ou des autres est une source de motivation et ou plein de gens se la pete! le phenomene n est pas nouveau .ceci etant chacun a le droit de se geler les couilles pendant que d autres vont se la couler douce dans les calanques!mais si avant si tu etais trop faible tu etais vite mort ,aujourd hui l helico est vite la et meme des "stars"en ont profité. ce qui fait marrer maintenant c est le nombre de secours sans accident pour des grimpeurs indemnes !
Posté en tant qu’invité par Egalitaire:
LES DAMES AUSSI ONT LE DROIT DE SE GELER LES COUILLES?
ALORS, TOUT EST BIEN, L’EGALITE DES SEXES EST ENFIN UNE REALITE.
Posté en tant qu’invité par l ancien:
[quote=Egalitaire]LES DAMES AUSSI ONT LE DROIT DE SE GELER LES COUILLES?
ALORS, TOUT EST BIEN, L’EGALITE DES SEXES EST ENFIN UNE REALITE.[/quote]
il va de soi que se geler les miches n est pas interdit et elles sont de + en + nombreuses a vouloir montrer qu elles en ont !
Posté en tant qu’invité par gymli:
Patrick Bérault par exemple.[/quote]
J’ai écrit : " dans l’accomplissement de son art "
Bérault : accident de corniche
Beghin : accident de rappel
Lafaille : on ne sait pas
Terray : glissade sur pente herbeuse
Dibona : ne me souviens pas ; vais voir dans mes archives
On pourrait rajouter Lachenal : crevasse en ski
Gervasuti et Comici : accident de rappel
Claudio Barbier : erreur de manoeuvre en nettoyant une voie
Boivin : parapente
Ce que je voulais dire, c’est qu’hormis des cas très rares (au point que je n’en ai pas en mémoire bien qu’amateur d’histoire de l’alpinisme), les grimpeurs, surtout les grands, meurent soit dans une activité connexe comme le ski, soit dans le cadre d’un danger objectif, soit dans une manoeuvre. Dans tous les cas, il s’agit d’accident et pas la conséquence d’une chute en situation de grimpe qui serait due par exemple à une surestimation du niveau requis. L’hivernalisme ne constitue pas à cet égard une prise de risque exagérée. Chaque type de grimpe, chaque lieu, chaque moment présente un ensemble de facteurs. Le risque s’évalue au cas par cas à la fois de façon objective et subjective, de sorte qu’on ne peut pas généraliser et hiérarchiser le danger.[/quote]
evidemment que l’hivernale est une prise de risques de plus. Tu veux en parler à Goussault ? il serait jamais mort l’été
et depuis quand les rappels, les corniches ne font plus partie de l’alpi ?