Apparemment le dtn de la ffcam n’approuve pas la démarche.
Attention avec les mots un peu fort : la calomnie. Je ne sais pas a qui cela s’adresse [modéré]
Je demande au vrai thomas une explication
Alpinisme : un besoin de formation bien réel ?
Je vais pas le plaindre ce pauvre gars d’avoir eu une idée débile.
Par contre ici ni juge ni procureur je suis d’accord mais dans la vraie vie ça existe alors attention quand même de pas pousser trop loin
messieurs, je propose que nous attendions sagement la réponse de OA. Même s’il ne nous doit aucun compte, ne pas répondre serait un désavoeu de sa part, sachant que ses clients lisent probablement ce fil de discussion, et auront des comptes à lui demander.
la seule question étant finalement: a-t-il a ce jour une convention avec la ffcam.
78637737737: je pense que tout le monde a bien cerné ta position, merci de ne pas monopoliser le sujet. Et pour ton info, j’ai sous les yeux la convention signée pour 2021.
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J’en ai juste assez d’entendre des gens me dire qu’ils maîtrisent des techniques parce qu’ils ont vu un tuto sur youtube.
Ils ne maîtrisent mais croient savoir. C’est juste dangereux
Alors oui je critique ouvertement tout ce qui met en avant l’apprentissage de salon
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C’est justement ce qui n’est pas clair. A toi d’adapter ton site internet.
Concernant ton expérience perso, elle est vraiment trop limitée pour donner des conseils de la manière dont tu le fais.
A aucun moment cette info n’est clairement visible sur ton site.
Ton affaire sent l’embrouille et la magouille, et c’est le noeud du problème.
Fais ce que tu sais faire, et laisse faire ceux qui savent mieux que toi!
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78637737737: tu es en train de supprimer tes messages. C’est peine perdue, j’ai un export pdf
oui car tout ceci m’a donné envie de m’inscrire à sa formation.
je préfère donc quitter le site et lui laisser la plus belle image possible de son travail en ne laissant pas de commentaires qui n’engagent que mes impressions de son oeuvre.
Si il a envie de parler, il peut le faire sans que ses fans et abonnés le fassent pour lui.
je n’aime pas ce qui est véhiculé sur le forum.
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oui car tout ceci m’a donné envie de m’inscrire à sa formation et j’espère que tout ce qui aura pu être dit sur son compte ne lui portera pas trop de tord
j’ai bien aimé lire sur le site de ffcam que je connaissais pas:
"Thomas Minot, fondateur du blog [Objectif Alpinisme], a conçu une formation en ligne, d’une durée de 7 mois, qui pourrait vous intéresser (et sur laquelle les licenciés FFCAM bénéficient d’un tarif préférentiel). Elle vous apprendra tout ce que vous n’avez pas le temps d’apprendre sur le terrain et qui est indispensable pour accéder à l’autonomie. Mais elle vous permettra aussi de réviser ou d’apprendre toutes les techniques qui sont enseignées dans les stages d’initiation et de progression… 50% de la course se fait à la maison : apprenez à vous préparer pour ne plus avoir de surprises en montagne !
Chaque module technique a été validé par la FFCAM, ainsi que par deux guides de haute montagne, formateurs à l’ENSA".
Je suis donc maintenant convaincu qu’il subit un lynchage post production et qu’il est porté atteinte à son honneur et sa réputation, je continue à penser que c’est un mec génial.
je préfère donc quitter camptocamp, et resté un fan et abonné de sa chaine
Je n’ai pas la réponse, la question n’a pas été abordée avec le DTN. Plus probablement un retard à l’allumage entre les décideurs et le webmaster, mais effectivement ça fait tache. Je viens de lui signaler.
On a bien compris pour qui roule @anon49718059. Je ne serai pas surpris qu’il y ait même une proximité bien plus grande qu’annoncée avec Objectif Alpinisme (IP identique ?). Son anonymat viscéral ne plaide pas dans un autre sens et son soutien inconditionnel est plus lourd que positif, et plutôt contreproductif eu égard aux révélations.
Alors j’ai été mécène de camptocamp, et quand j’ai vu que tous les coups que je me prenais sur le forum pouvaient nuire à ma réputation et à mon chiffre d’affaire, j’ai demandé à ce que mon compte soit supprimé. Je veux bien aider financièrement un site d’intérêt général, mais ce n’est pas pour avoir en retour un image négatif pour ma société.
Je n’ai strictement aucun lien avec OA, j’ai regardé ces vidéos comme des dizaines de milliers d’autres personnes sur youtube, et sa démarche correspond au type de contenu que je cherche, rien de plus.
Comme vous n’avez pas cesser de le démolir, j’ai bien volontier démonté des arguments illégaux, et je souhaite me dissocier de toutes les personnes qui lui ont porté du tord.
je trouve son travail admirable, et je n’ai rien à redire sur le fait qu’il commercialise un contenu pédagogique comme cela se fait dans quantité d’autres domaines et les livres conseillés régulièrement sur le site « le guide de la montagne » développe les mêmes sujets que ses vidéos et j’ai bien compris que les professionnels qui travaillent sur le site ont des doutes sur la qualité des vidéos, j’en ai bien pris note, et je ne prendrais pas pour argent comptant tout ce qui est dit sur ces vidéos.
Non. Je ne crois pas.
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Conceptuellement je m’interroge sur l’idée d’un tel monopole. Il me semble qu’il existe des pratiquants qui, sans avoir le niveau en ski ou en escalade requis pour passer l’aspi, ou sans avoir de diplôme à proprement parler, ont tout de même beaucoup d’expérience et un niveau de connaissances techniques et de sécurité qui n’a pas forcément à envier à celle d’un guide (je ne parle évidemment pas de Thomas d’Objectif Alpinisme). J’ai l’impression qu’en termes de responsabilité, la transmission de cette connaissance contre rémunération, du moment qu’elle est bien délimitée en expliquant abondamment qu’elle ne suffit pas à envisager une course seul, est bien différente de la responsabilité d’accompagner quelqu’un sur une course.
Un exemple un peu bateau mais pour illustrer mon propos. Imaginons une personne non-guide, non DE ayant une connaissance encyclopédique des différents nœuds. Imaginons de plus que cette personne trouve que les vidéos disponibles sur internet sont trop éparpillées, pas toujours très bien filmées ou expliquées pour voir la confection des nœud, et décide de lancer une application web avec des vidéos produites par ses soins, accompagnées d’explications sur avantages, inconvénients, et une sorte de « cursus » pour apprendre ces nœuds et les réviser. Disons que cette application est payante, une dizaine d’euros pour l’exemple. Est-ce qu’il faut une règlementation pour interdire cette possibilité ?
Vous allez me dire que ce ne sont que des nœuds, et que là on parle aussi de manips de sécurité plus techniques correspondant à un engagement différent, et vous auriez raison, mais je connais des alpinistes qui ont un niveau de connaissance très élevé sur de nombreuses techniques, et beaucoup d’expérience, sans avoir forcément le niveau 6c/7a à vue en escalade…
Est-ce que le législateur devrait imposer un monopole de l’offre pédagogique théorique contre rémunération aux accompagnateurs ?
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Le sujet de ce fil, c’est « Alpinisme, un besoin de formation bien réel ? » et pas « Quel pseudo soutient qui ? »
Pour information, le pseudo 78637737737 n’a rien à voir avec celui de Thomas_OA.
Des messages ont été supprimés, merci de rester dans le thème maintenant.
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bonjour, effectivement
cependant, il y a une question qui reste ouverte, et dont la réponse d’OA est attendu sagement:
« messieurs, je propose que nous attendions sagement la réponse de OA. Même s’il ne nous doit aucun compte, ne pas répondre serait un désavoeu de sa part, sachant que ses clients lisent probablement ce fil de discussion, et auront des comptes à lui demander.
la seule question étant finalement: a-t-il a ce jour une convention avec la ffcam. »
Mais là on revient sur un contexte d’accompagnement non ? C’est bien différent.
Dans mon exemple des nœuds je précisais « accompagnées d’explications sur avantages, inconvénients », ce qui englobe l’idée du domaine de validité que tu évoques et je n’en démords pas, il y a des alpinistes ayant un grande expérience, et un niveau de connaissance technique élevé, qui peuvent transmettre cette connaissance avec beaucoup de pédagogie, sans forcément pour grimper 6c à vue.
J’ajouterais que la conséquence mal faire un nœud, sans même parler de ses limites, c’est aussi la mort… donc où s’arrête la règlementation par le législateur ? Doit-on par exemple interdire l’édition et la vente de livres sur la réalisation de nœuds s’ils ne sont pas écrits par des accompagnateurs de montagne et haute montagne ?
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Et comment tu assures que les connaissances d’une personne sont solides, et sa capacité à enseigner ?
Ça sert à ça un diplôme 
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Ça toujours existé. Il y a dans notre microcosme, y compris sur c2c, des gens qui ont une expérience phénoménale, une liste de course à faire pâlir bon nombre des vedettes connues. De la même façon, j’ai en tête des noms de très forts alpinistes (dans les années '80/'90) qui ne sont jamais parvenus à réussir le proba, comme des anonymes peu aguerris qui ont étonnamment réussi et sont devenus d’excellents guides très pédagogues, même s’ils n’emmèneront jamais des clients dans la face Nord de l’Eiger.
C’est systématique en cas d’accident mortel ou entrainant des ITT. Mais la jurisprudence montre que ce sera toujours celui qui est reconnu le plus compétent qui va devoir rendre des comptes, et plus on est diplômé, plus on prend cher.
Dans ce cas ne faudrait-il pas envisager un diplôme distinct ? Et ça ne répond pas à la question de la vente d’un livre sur des techniques d’alpinisme qui ne serait pas écrit par quelqu’un ayant un diplôme, je crois qu’il y a déjà des exemples (My, Myself, and I de Andy Kirkpatrick sur l’autoassurage, dites moi si je me trompe mais il me semble qu’il n’a pas de certification / diplôme) et on dirait que ça ne pose pas le même problème. Est-ce que c’est juste une question de support ?
Je titille les limites du truc parce que la législation, c’est un peu une bombe nucléaire, une loi une fois mise en place ne sera généralement pas retirée plus tard, surtout dans des domaines « de niche », et il faut penser aux effets du second ordre que ça peut avoir au delà de l’intention initiale.
Il me semble qu’il y a une différence entre vendre un livre, même avec des conseils techniques, et des formations en alpinisme par un non professionnel de la montagne, et qui a une expérience très limitée.
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