Alain Robert a trouvé un successeur

A mains nues !!! Pas possible… À mains nues !!!
C’est un scandale ! Il aurait pu au moins mettre qq chose pour cacher ces mains que je ne saurais voir.

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Et maintenant, il va falloir passer toute la façade au gel hydroalcoolique!

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J’espère qu’il avait au moins un masque…

C’est marrant car à part avec des gants spéciaux ou du « sparadrap » pour les fissures, il me semble qu’on escalade toujours à mains nues…passée une certaine difficulté il devient je pense difficile de grimper avec des gants ou des moufles…

Peut être que cette expression vient de l’opposition avec l’escalade avec piolets.
En tous cas, je pense que ça aurait encore moins plu à total si l’exploit avait été réalisé de la sorte.

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Bonjour,

Je pense que l’expression « à mains nues » signifie « sans matériel, sans outil » (à l’origine, il me semble que c’était « sans arme »), donc sans baudrier, sans corde.

Bernard

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Peut-être aussi à rapprocher avec le livre de René Desmaison « La montagne à mains nues »

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Oui on disait déjà la même chose il a quelques années du regretté Patrick Edlinger

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Bonjour Bernard, oui oui tout à fait d’accord.
Mais c’est cette manie qu’a « le grand public » à dire à mains nues quand quelqu’un fait de l’escalade…

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Tu as le « quelques » très large. Je crois que c’est une expression qui est née sous la plume d’un journaliste lors du choc qu’a été pour le grand public la diffusion de « la vie au bout des doigts » il y a bien 40 ans. :wink:

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La nudité a quelque chose d’évocateur, de provocateur. Ca titille l’imaginaire. Un grimpeur à mains nues ? fichtre, il est sacrément gonflé le gars.
Etre nu face à l’adversité, face à soi-même… sans artifice, sans fard, sans tricherie, à poil et de bon poil.
Dommage d’ailleurs que l’escalade à fesses nues ne trouve pas ses lettres de noblesse, ce serait tellement plus excitant pour tout le monde. Les mains n’ont jamais fait bander personne

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Egalement Montagne pour un homme nu: livre de Pierre Mazeaud

J’ai toujours considéré que l’expression « escalade à mains nues » était utilisée dans les annes 80 pour souligner la différence avec l’escalade artificielle (avec pitons, étriers, bivouacs en paroi, etc), qui a largement été médiatisée dans les années 50 à 70.
A la fin des années 70, pour le grand public, un exploit en escalade était le parcours d’une paroi déversante en artif. Pas besoin de preciser que c’etait de l’artif, c’etait implicite.
L’expression « escalade â mains nues » permet de preciser en 3 mots qu’on se situe dans un autre registre que l’artif. Et parler d’escalade libre ne devait pas être assez explicite pour le non grimpeur.

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c’était pas de l’artif. Dans les années 50-60 la notion de libre n’existait pas. Ils grimpaient. Point. Tirer au clou c’était normal. Les images de grimpeur qui circulaient dans les médias grand public, c’était les alpinistes avec 10 kilos de pitons accrochés au baudard. D’où le choc quand les films de Janssen sont passés un samedi aprem de 82 aux « carnets de l’aventure » avec Edlinger grimpant avec un mini-short rouge et un sac à pof pour tout équipement.

Bon, je conçois que le terme « escalade à mains nue » fasse débat
Par contre, je m’attendais à ce que Paul et Mick s’expriment sur le solo, sur l’escalade urbaine, la médiatisation, le vogicisme etc…
Voire les inquiétudes d’Alain Robert pour la suite de sa carrière, et l’impact de ses exploits pour son combat contre la chute (des cheveux…).
C2C n’est plus ce qu’il était m ptite dame!

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Sans rien vouloir retirer à l’exploit en lui même.
Niveau escalade, c’est du genre chiant et rébarbatif.
Toujours le même pas… effectué des dizaines et des dizaines de fois d’affilée.

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Un an et demi d’escalade :

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Jusqu’à maintenant ça allait
Mais là ça devient très désagréable.
Pfff…

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Je me suis souvent posé la question pourquoi Alin Robert était le seul à faire ca, et suis d’avis parce que c’est très difficile et dangereux.

Que son exposition médiatique n’est pas entrainé plus de vocations, ca montre à mon avis le niveau mental, physique et technique de dingue qu’à Alian Robert et que le niveau d’entrée dans cette pratique est extrême.

Et cela fait des émules apparemment:

Du coup souhaitons à Alain, Léo, Alexis et aux suivants une longue vie et des belles ascensions urbaines.

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