Quel enthousiasme que voilà…fait plaisir à voir!
Bon le fil du post est assez long et il commence à se former des boucles.
On réexplique des sujets traités plus haut dans le fil.
La cotation du vol en soit puisque c’est le sujet qui interpèle pour l’heure, ne semblait pas être une nécessité et d’ailleurs déterminer une cotation pertinente pour le positionner sur une échelle de difficulté, particulièrement délicate.
En effet, plus haut dans le fil, les caractéristiques de rigueur d’une échelle de cotation avaient été abordés, laissant de côté les approches descriptives pour favoriser une cotation quantitative.
Il va sans dire que chacun aime à faire partager son expérience de la chose…et c’est précisément pour cette raison qu’on milite pour la création d’un onglet.
Je vous propose de raccrocher sur la dernière mouture de cotation présentée en son temps ci-après.
Hello TLMD
On fait un petit résumé?
Pour aboutir on va donner à notre ami alpinipentiste des infos claires de sorte à ce qu’il se perde pas trop!
Disons 2 axes:
- Les données quantifiées faites de données mesurables pour:
a. Les décos possibles du sommet ou dans l’environnement immédiat sur les divers versants…ceux.ci permettent de connaitre:
-Pente
-Nature du sol
-Expo: Barre; Ligne d’arbres; Crevasses
-Longueur: 10; 20; 30; 40; 50
b. Les attéros recommandés selon les versants, en fonction des décos.
-Coordonnées selon références ( par ex.axes 600-200 pour les Cartes nationales et heu…je sais pas pour les IGN, mais les cartes en relief des topos C2C peuvent surement supporter une étiquette pour signaler l’attéro préconisé))
-Pente
-Nature du sol
-La finesse type pour y parvenir ( distance horizontale divisée par dénivelé )
c. Les infos sur les danger spécifiques:
-Cable de treuillage, Ligne HT,
-Période d’interdiction de survol ( protection des animaux etc.)
-Espace aérien ( éventuellement un lien fixe vers la FSVL et la FFVL qui permet de s’orienter vers la gestion des espaces aériens)
2.Les informations qualifiées sous forme texte dans le compte rendu de sortie.
-Appréciation sur la difficulté des décos et attéros
-Information sur les décos possibles durant l’itinéraire en cas de retraite et les refuges possibles.
-Information sur l’aérologie et les conditions de vol rencontrées
-Toutes informations utiles.
Evidement selon les humeur, les psychologies des un et des autres on aimerai plus de ceci ou de cela, ou différemment et bien sur mieux…
Tout comme pour les autres activités de montagne on aime prendre des risques…plus ou moins, mais toujours on le croit…de faon calculée.
Alors…pourquoi signaler les attéros préconisés?
Et bien parceque le vol de retour c’est une course en soi qui a un point de départ et on l’espère un point d’arrivée…on imaginerai pas partir en course sans savoir ou on aboutit…et bien là c’est un la même chose.
Et si c’est « LE JOUR » et qu’on défonce le plafond et qu’on fini à Nice en partant de Samoëns et bien tant mieux…mais c’est pas tous les jours !
Pourquoi ne pas indiquer les décos possible le long de l’itinéraire de montée?
Parcequ’on l’a fait à pied et qu’on a pu repérer les dégagements possibles.
Parceque les conditions de vents change dans la journée et le déco sympa de 9h30 n’est peut-être plus praticable à 13h45
Parcequ’en fin de compte si c’est vraiment trop mauvais on peut toujours redescendre à peid! Les buts…ça fait mal au cul, mais mieux vaut regretter de pas avoir pris l’air plutôt que de regretter de l’avoir prit!
Même si une cotation doit être synthétique, chiffrée et simple…
La vraie information, celle qui rend vivant une topo, c’est celle qui sera mise en ligne par vous…en format texte.
C’est là que s’exprimera le vécu, c’est là que se feront les vocations, sous vos plumes, grace à vos photos, vos ressentis partagés…ouaip ça…ça sera cool…enfin sera sera…serait en bon français.