Aidez moi a gravir le pic de belledone

Parce-que l’époque a changé, on fait les courses de neige en hiver/printemps et plus en été, qu’en décembre quand il fait 15 °C on peut grimper sur du rocher sec, en juillet/août on préfère presque rester chez soi pour éviter les pierres et la canicule.

Je vais suivre ce conseil

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Faudrait déjà nous dire ce que tu sais faire…

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Un petit clin d’oeil hors sujet au passage …
Lors de ce stage évoqué plus haut, j’avais découvert un autre truc : un CRS (certes du secours en montagne) pouvait être hyper sympa et très gentil !
Quand je vous dis que ce stage fut surprenant !!!

Didier, si tu par hasard tu me lis … Salut !

Ton idée initiale était le Grand Pic de Belledonne : pas d’hésitation, FONCE !
Tu nous dit avoir de l’expérience en ski de rando et être en forme, donc l’approche ne te posera aucun problème (idem d’ailleurs pour le Gioberney au départ de St Christophe). Et puis marquer un but, parfois avant même de chausser les crampons, comme ça a pu m’arriver, c’est également très formateur.

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Ah voilà ça c’est le genre de réponse que j’aime !
Merci pour l’encouragement :+1:

Gr 54 7 jours en bivouac ( survie en Finlande/Canada pendant quelques mois, et de multiples randonnée de haute montagne hiver/été ) , excellente forme physique, pied montagnard, fait de escalade de temps ben temps. beaucoup d’engagement et de volonté mais très peu d’expérience en pure alpinisme voir aucune

Il y a plein d’itineraires en ski de rando ou il est necessaire de laisser les skis et prendre crampons-piolet pour sortir au sommet (souvent sans avoir besoin de s’encorder). Je te conseil de commencer par ça.

L’Aiguille du Goleon au dessus de La Grave, par exemple.

Si tu as la caisse et un niveau correct à ski tu peux tenter la Grande Sassiere aussi. Pas vraiment de l’alpi mais bon…

Pas loin de Grenoble, oui oui…

Si tu ne sais pas progresser en solo en crampons dans une pente raide en neige dure, ou dans du mixte raide (en gros des ressauts en 3 à moitié recouverts de neige/glace), oublie les trucs style Grand Pic de Belledonne.
Recherche des sommets dont les difficultés rocheuses sont déneigés, pour avoir les mêmes conditions qu’en été.
Sur l’approche, tu pourras t’exercer au cramponnage (si les conditions l’imposent), mais si tu butes sur l’approche, la retraite sera facile, et ce ne sera pas au milieu des difficultés.

En effet la grande sassiere a l’air sympathique et très faisable en hiver, mais c’est un peu trop loin de Grenoble pour 4 jours

L’aiguille du Goleon pas proche non plus, mais si j’arrive à trouver un moyen de transport pour accéder pas trop loin ça peut être super en effet

Enfin bref toutes autres propositions est bonne à prendre
Et Je vous remercie tous pour votre gentillesse

Tu devrais faire une formation alors.
L’alpi c’est assez différent de la grimpe sportive.
Tu apprendrais les bonnes bases pour marcher en crampon sur la neige raide, la glace, l’évolution en cordée de 2 avec anneaux de buste, arrêt de chutes en pente de neige, descente en rappel, assurage au demi cab, assurage en terrain non équipé ect…

Bien sûr tu peux aussi apprendre tout ça tout seul en te faisant ta propre expérience mais c’est pas la façon la plus facile.

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Ouai nan désolée les Centres de formation c’est pas trop mon délire n’y la vision que je me fait de la montagne.
Et les bases sont déjà présente. Il manque juste les lieux :+1:
Mais merci !

Pour progresser en sécurité sur glacier ça ne s’invente pas il faut apprendre les bases.

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Quand tu dis que « les bases sont déjà presents » est-ce que ça veut dire que tu déjà faire:

« marcher en crampon sur la neige raide, la glace, l’évolution en cordée de 2 avec anneaux de buste, arrêt de chutes en pente de neige, descente en rappel, assurage au demi cab, assurage en terrain non équipé ect… »

Si non tu vas mettre toi et tes compagnons de cordée en danger inutile.

Les ‹ centres de formation › ne sont pas si chiants que ça: dans un premier temps il s’agit d’un stage de quelques jours (CAF, UCPA, autre club) pour te faire apprendre des bases. Après tu seras beaucoup plus serein quand tu pars en montagne en autonomie. Ironiquement, un tel stage de donnera aussi les competences de bien lire un topo et comprendre les cotations qui indiquent la difficulté d’un itineraire proposé.

Si non, il faut trouver un ami plus experimenté qui te fera apprendre. Ca marche souvent mieux que les stages, sous condition que l’ami en question est réellement competent. Mais j’imagine que si tu connaissais quelqu’un comme ça, tu l’aurais déjà contacté.

Puisque tu es en Vercors, as tu fait les arêtes du gerbier ?
JE ne sais pas trop ce que ca donne en hivernale, mais c’st une excellente course pour débuter

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Oui mais ça n’est pas encore réellement un automatisme.
L’idée de payer une formation pour pouvoir accéder à un sommet me dérange.
Maintenant le sujet pausé
Il manque plus que choisir un sommet pas trop loin de Grenoble …
Où Cette histoire ce finira surement au grand pic de Belledonne

Déjà fait !
( En décembre )

Pourrais tu nous donner une liste de courses que t’as fait recemment?

La surenchère me paraît aussi vaine que stérile. On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif.

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Le français n’est pas une langue maternelle pour moi, donc c’est peut-être pour ça, mais je vois pas la ‹ surenchère › dont tu parles, même si je crois d’avoir compris le sens de ton message.