Posté en tant qu’invité par Alex:
salut Bubu,
ça pose quand même un gros problème, ces « exceptions ».
Un exemple vécu : février 2004, vallon d’Ambin :
Une navette en bus monte les skieurs de fond, les raquettistes et les randonneurs à skis à la chapelle de ND de la Délivrance. Reste ensuite un long fond de vallée pour atteindre le Planay où se trouve un refuge et quelques maisons, point de départ de plusieurs randonnées à skis. Oh surprise, je vois partir 3 randonneurs à skis et leur guide, SANS SAC. Les sacs étaient gentiment transportés par une motoneige sur les 6km à plat qui menait au refuge. Eh bien quand tu viens de faire une superbe randonnée de 2 jours sans voir un seul homme, ça refroidit…
Où mettre la limite ?
Pour la petite histoire, un des randonneurs avait oublié ses peaux et a dû redescendre dans la vallée ;o)
Alex
Bubu a écrit:
La loi interdit la circulation des engins motorisés dans le
milieu naturel, sauf dérogation bien sûr. En gros la loi ne
veut interdire que la circulation d’engins motorisés à titre de
loisir, de nombreuses activtés professionnelles peuvent obtenir
ces dérogations.
Donc les dameuses et les motoneiges des pisteurs sont dans leur
droit. Si on ne veut plus de dameuse, il suffit de ne plus
aller en station, au prix de la dameuse et maintenant du
gasoil, il ne doit pas falloir bien longtemps pour les voir
disparaitre (mais peut être que depuis le temps elles ont été
promues à l’état d’espèce du milieu montagnard et seront donc
protégées comme espèce en voie de disparition par la commission
européenne :-).