belle performance, je salue surtout la volonté nécessaire pour l’entrainement et pour la réalisation de ce genre d’exercice.
Mais, comment dire, c’est son plaisir, son jeu à lui, peut-être un moyen de vivre en montagne par la montagne plus tard, en tout cas une cohérence avec cet objectif. Tant mieux pour lui, mais je ne me sens pas concerné, sauf par le fait que ça se passe en montagne : à son âge, mon problème était de m’alourdir pour être plus « saignant » comme pilier de rugby ! Identification radicalement impossible, donc, mais acceptation sereine de la différence et sympathie pour la perf parce que c’est une belle perf !
J’y vois surtout une illustration du fait qu’il y a une infinité de pratiques de la montagne possibles, et que c’est l’avantage de la liberté que chacun et chacune trouve et fasse ce qui lui plaît. À chacun son Everest !