C’est aussi l’argument des motards en trial. En fait, c’est totalement anecdotique. C’est effectif très localement dans le centre de la France par certains… Mais pour permettre leur propre pratique si tu les interroge un peu.
Et surtout, le VTTae est plus le fait de population urbaine et peri-urbaine, pas de celle qui entretient des sentiers, mais plutôt de celle qui les abandonne quand il y a trop de ronces.
Concernant le prix, je constate aussi que le moyen de gamme est autour de 1500 euros pour un XC. Et ce, depuis longtemps. Mon premier VTT « serieux » était à 1400€ chez Commencal début 2000, le suivant à 1700€ chez Canyon en 2017 (je l’ai en fait acheté 800€ d’occase en 2020).
Les poids, les durée de vie, les rigidités et les souplesses pour rouler, la stabilité des réglages dans le temps … Même pour le cycliste tout à fait moyen que je suis s’en ressent terriblement.
Et pour les durées de vie, rien que retrouver une patte de dérailleur d’un D4 ancien, c’est impossible = vélo poubelle.
Je l’ai bien constaté ayant animé des colo itinérantes en VTT autour de 2000, deux heures toutes les nuits sur les vélos (une vingtaine, plutôt bas de gamme évidemment) pour les rendre un minimum fonctionnels pour le lendemain ! Avec des gamins de treize à quinze ans qui n’étaient pas sensés appuyer aussi fort que moi sur les freins et les pedales !
Et concernant le partage, on a l’exact inversé sur un sentier d’enduro à Theys qui est emprunté par gavé de piétons qui ne comprennent pas pourquoi le sentier est si raide ! Alors qu’un autre sentier de randonnée bien balisé trait jaune pas très loin fait le job pour eux ! Ben c’est super chiant de composer avec eux … Mais bon, that’s life, ils sont là, faut faire avec - ce qui dans mon cas de vététiste de faible niveau, sur les freins donc, n’est pas trop problématique. @did7, la surfréquentation, c’est toujours à prisme variable.