Posté en tant qu’invité par tetras:
La biodiversité, c’est comme une pyramide. Tout en bas, la base est constitué être producteur de matière organique (plantes, algues, phytoplancton). l’étage suivant se retécie, il est composé de consomateur primaires, qui consoment la matière organique des producteurs (chevreuil, écureuil, élan, …) ces consomateurs primaires sont eux même consomés par les consomateur secondaire, en nombre encore plus réduits. on distingue parmi eux les prédateurs, qui peuvent aussi être des proie (fouine, renard, brocher…) et les super-prédateur , qui sont encore en plus petit nombre et qui eux, n’ont pas de prédateur (ours, loup, homme).
Chaque niveau est consomé par le ou les niveaux supérieur. A l’intérieur de chaque niveau il n’y a pas de prédation. Pour autant, les êtres se livre un combat sans merci pour s’arracher leur ressource vitale et finisse par s’organiser de manière stable (mais fragile), ce qu’on appelle un écosystème. Ainsi les arbres d’une forêt s’organise en différente strate pour profité de la lumière, chamois et bouquetin ne broutent pas la même herbes, et les super prédateurs se partagent l’étroit sommet. Celui est aujourd’hui trop petit pour acceuillir à la fois l’ours, le loup et l’homme.
Il y a donc plusieur solution :
1/ Etre seul au sommet
2/ Tentrer d’entaser tout le monde à la pointe de ce sommet, alors que l’on sais qu’il n’y a pas la place (ce que l’on fait actuellement)
3/ reduire notre emprise sur ce sommet : reduire la population d’homme, ne plus manger de viande pour passer au rang de consomateur primaire (ne pas confondre avec les consomateur primaire que l’on voit le samedi à Carrefour)
4/ agrandir la place disponible au sommet : pour cela il faut agrandir la base de la pyramide. C’est a dire qu’en favorisant une forte diversité de producteurs, on permet une augmentation du nombre de consomateur (en nombre d’espèce et en nombre d’individus par espèces) et donc la diversité et la quantié de super prédateur peuvent aussi augmenter.
Il ne faut donc pas se contenter de favoriser la biodiversité dans les endroit ou on ne vit pas, (les parc nationaux) mais sur l’ensemble du territoire : Il faut oublier les plantations monospécifique (une seule éspèce, comme les forêts d’épicéa ou de peuplier) il faut oublier l’agriculture intensive au profit de petit chanps coupé de haies, de bosqué… autremendit, il faut produire autrement les ressources que chacun de nous consomme. Celà revient à changer de mode de vie en consommant différament. Hé oui, c’est dure, parce que c’est à nous de faire des efforts, et pas au berger, au pécheur, ou à l’agriculteur.
En résumé, pour permettre aux ours de survivre, il ne faut pas écraser leur voisins, mais agrandir le canapé dans lequel il sont assis. C’est à chacun de nous d’agir à la base.