Vous pensez quoi de cette réintroduction de l'ours?

Posté en tant qu’invité par Shar:

ya des gars qui sont a plein temps depuis 20 ans pour le suivre , l observer, l etudier, etc …
et qui le voit tout juste une ou deux fois par ans (et encore)… et certains osent réveillez des craintes ancestrales de l ours attaquant les enfants et les vielles (qui vont chercher l eau au puit tant qu on y est)

comme je suis honnete je suis obliger de reconnaitre que je sais plus lequel ours m a donné tort au dessus d Arreau ou il a ete visible (et visable!!)par tous…

autre chose: avant de lui imputer des mort de betail on a qu a commencer par garder nos betes et ne pas se contenter d aller les voir tous les 15j.
combien ont crevé lamentablement juste parcequ elles s etaient bléssée a une pate, qu elles etaient aller se foutre a des endroits foireux, s’etaient casser la gueule sur un névé, etaient bloqquée au fond d un ruisseau… etc …
combien sont laissées a l automne en haut parce que c est chiant d aller les chercher une par une et vont crever dès les premier froids (y en a qui descendent a ce moment la je sais)
j en ai meme trouver une bloquée comme une c… au milieu d une station !!!

Posté en tant qu’invité par Shar:

d un autre coté il est vrai que bcp de ceux qui soutienne cette reintroduction sont des « ecolos » qui vivent en villes et voient plus dans nos montagnes un « zoo » géant ou ils vont passer leur w-end pour oublier leur ville qu un endroit ou des gens essaient de (sur)vivre.

mais ils y amene pas mal de thune même si on passe notre temps a se moquer d eux (y en a des bien drole quand même, genre ceux qui veulent voir un nid d’isard, si si c est veridique!!)

comme quoi pour moi la question est complexe et je sent qu on va pouvoir continuer a s etriper joyeusement au cours des repas!!!

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Posté en tant qu’invité par tetras:

La biodiversité, c’est comme une pyramide. Tout en bas, la base est constitué être producteur de matière organique (plantes, algues, phytoplancton). l’étage suivant se retécie, il est composé de consomateur primaires, qui consoment la matière organique des producteurs (chevreuil, écureuil, élan, …) ces consomateurs primaires sont eux même consomés par les consomateur secondaire, en nombre encore plus réduits. on distingue parmi eux les prédateurs, qui peuvent aussi être des proie (fouine, renard, brocher…) et les super-prédateur , qui sont encore en plus petit nombre et qui eux, n’ont pas de prédateur (ours, loup, homme).

Chaque niveau est consomé par le ou les niveaux supérieur. A l’intérieur de chaque niveau il n’y a pas de prédation. Pour autant, les êtres se livre un combat sans merci pour s’arracher leur ressource vitale et finisse par s’organiser de manière stable (mais fragile), ce qu’on appelle un écosystème. Ainsi les arbres d’une forêt s’organise en différente strate pour profité de la lumière, chamois et bouquetin ne broutent pas la même herbes, et les super prédateurs se partagent l’étroit sommet. Celui est aujourd’hui trop petit pour acceuillir à la fois l’ours, le loup et l’homme.

Il y a donc plusieur solution :

1/ Etre seul au sommet

2/ Tentrer d’entaser tout le monde à la pointe de ce sommet, alors que l’on sais qu’il n’y a pas la place (ce que l’on fait actuellement)

3/ reduire notre emprise sur ce sommet : reduire la population d’homme, ne plus manger de viande pour passer au rang de consomateur primaire (ne pas confondre avec les consomateur primaire que l’on voit le samedi à Carrefour)

4/ agrandir la place disponible au sommet : pour cela il faut agrandir la base de la pyramide. C’est a dire qu’en favorisant une forte diversité de producteurs, on permet une augmentation du nombre de consomateur (en nombre d’espèce et en nombre d’individus par espèces) et donc la diversité et la quantié de super prédateur peuvent aussi augmenter.

Il ne faut donc pas se contenter de favoriser la biodiversité dans les endroit ou on ne vit pas, (les parc nationaux) mais sur l’ensemble du territoire : Il faut oublier les plantations monospécifique (une seule éspèce, comme les forêts d’épicéa ou de peuplier) il faut oublier l’agriculture intensive au profit de petit chanps coupé de haies, de bosqué… autremendit, il faut produire autrement les ressources que chacun de nous consomme. Celà revient à changer de mode de vie en consommant différament. Hé oui, c’est dure, parce que c’est à nous de faire des efforts, et pas au berger, au pécheur, ou à l’agriculteur.

En résumé, pour permettre aux ours de survivre, il ne faut pas écraser leur voisins, mais agrandir le canapé dans lequel il sont assis. C’est à chacun de nous d’agir à la base.

Posté en tant qu’invité par Cl@ude:

J’ai joliment expliqué mais ça ne tient pas debout. Tu mélanges tout. Si tu veux être crédible, évite de faire un hors-sujet toutes les deux phrases.

Posté en tant qu’invité par tetras:

Développe, je comprend pas ce que tu veux dire.

Posté en tant qu’invité par Akim Nefud:

jo a écrit:

Noir , blanc ou a rayures,
la couleur de la peau n’est qu’une parure,
notre vraie couleur est celle de notre coeur.

Akim Nefud, je sais pas ton coeur, mais tes mots sont couleur
caca.

c’était de l’ironie, nigaud!