Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
en versant sud il y a des
secteurs plus que sauvages et d’un grand intérêt…
définis « sauvage » pour voir.
Vos avis sur nos massifs alpins
Posté en tant qu’invité par strider:
Mic’hel a écrit:
en versant sud il y a des
secteurs plus que sauvages et d’un grand intérêt…
définis « sauvage » pour voir.
quand on monte au bivouac rainetto ou quand on va au bivouac de l’Estelette, ou encore quand on va vers l’éperon de la tournette, je crois qu’on peut se passer de la définition, face au pouvoir de l’évidence.
Posté en tant qu’invité par clyde:
En moyenne, les alpinistes français habitent plus près (en temps) des Pyrénées que de l’oberland. Certes ce site n’est pas que pour les francais mais je pense que tu pourrais ajouter les Pyrénées à ta liste car ce qui nous (m’) interresse, c’est l’interrêt d’un massif, qu’il soit alpin ou non. D’autant que pour ce qui est de l’interet pour un randonneur, un alpiniste ou un grimpeur, c’est bien supérieur à des massifs comme le Queyras, le Dévoluy, la Chartreuse ou Belledonne.
Pour ce qui est des alpes, Je crois bien que la Corse fait partie de la chaine Alpine.
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
quand on monte au bivouac rainetto ou quand on va au bivouac de
l’Estelette, ou encore quand on va vers l’éperon de la
tournette, je crois qu’on peut se passer de la définition, face
au pouvoir de l’évidence.
Manque de bol, je connais pas ces coins, donc la definition reste indispensable! allez lance toi. Je promets, je rigolerai pas ;o)
Posté en tant qu’invité par Nico:
strider a écrit:
- MASSIF DU MONT BLANC (+AIGUILLE ROUGE + BEAUFORTAIN)
Une critique par rapport à ce découpage que l’on trouve dans C2C : pourquoi associer systématiquement le beaufortain au Mont Blanc alors que ces massifs sont si différents : ces doux alpages si propices à la rando à ski desquels sortent de beaux sommets rocheux comme la Nova ou la Pierra Menta.
Résultat : va trouver une course dans le beaufortain noyée au milieu des innombrables courses du Mt Blanc !
Posté en tant qu’invité par Emmanuel:
Je suis d’accord, en plus le Mt Blanc et le Beaufortain sont géographiquement faciles à délimiter ! Vraiment, 2 massifs au caractère très différent.
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
Je suis d’accord, en plus le Mt Blanc et le Beaufortain sont
géographiquement faciles à délimiter !
Comment?
Tu proposerais quoi?
Posté en tant qu’invité par Hydra:
Merci pour votre aide
C’est vrai que ces cartes sont sublimes.
C’est trop la classe ce site ! 
Posté en tant qu’invité par Bertrand:
Alors Michel, déjà revenu de la Transpyrénéenne ? C’est pas tout ça, au boulot maintenant, on attend un récit complet histoire de rêver un peu au soleil du bureau entre les WE de pluie. On te racontera le Garwahl ensuite, si t’es sage !
Posté en tant qu’invité par Yann:
j’espere aussi que tu me raconteras le Garwahl !!!
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
t’as apparement pas reçu mon email de dimanche… Je l’ai renvoyé sous une forme moins lourde, sans l’attachment.
Posté en tant qu’invité par Emmanuel:
Les deux massifs donnent une impression bien distincte, bien qu’il n’y ait pas de vallée entre les deux.
L’aiguille des Glaciers fait partie du massif du Mont Blanc, de même que le Mont Tondu. La Tête N des Fours fait partie du Beaufortain. Il y a un col entre le Mt Tondu et la Tête N des Fours : la séparation doit se faire là.
Selon moi
Posté en tant qu’invité par strider:
Emmanuel a écrit:
Les deux massifs donnent une impression bien distincte, bien
qu’il n’y ait pas de vallée entre les deux.L’aiguille des Glaciers fait partie du massif du Mont Blanc, de
même que le Mont Tondu. La Tête N des Fours fait partie du
Beaufortain. Il y a un col entre le Mt Tondu et la Tête N des
Fours : la séparation doit se faire là.Selon moi
bon ok je suis d’accord je vais simplifier la liste (petit edit qui va bien):
je pense qu’on aura fini les problèmes de délimitations…
d’autres avis sur les massifs ?
Posté en tant qu’invité par strider:
Mic’hel a écrit:
quand on monte au bivouac rainetto ou quand on va au bivouac
de
l’Estelette, ou encore quand on va vers l’éperon de la
tournette, je crois qu’on peut se passer de la définition,
face
au pouvoir de l’évidence.Manque de bol, je connais pas ces coins, donc la definition
reste indispensable! allez lance toi. Je promets, je rigolerai
pas ;o)
bon voilà tu l’as donné la définition de « sauvage » : c 'est ce qui est pas connu et qui demande à définir le mot « sauvage »…
en gros il n’y a pratiquement pas de sauvage dans l’absolu, puisque le sauvage se réduit en même temps que les limites de l’ecoumène!
Posté en tant qu’invité par xave:
Et le massif Armoricain ? tu y penses toi au massif armoricain?
Avec ses irreductibles gaulois.Bref,le cap de LA HAGUE qui est geologiquement
parlant un <> de ce massif ,possede les plus hautes falaises cotieres
d’europe…!!! Gildas a écrit:
et l’Auvergne !!! ??? bordel de …m…
ah oui c’est vrai qu’c’est pas dans les alpes …dommage
Posté en tant qu’invité par eau de vie:
ah je pensais qu’elles étaient en irlande les plus hautes falaises d’europe
Posté en tant qu’invité par eau de vie:
ah yes le devoluy et ses pierriers, super à l’automne
Posté en tant qu’invité par Hydra:
C’est marrant, car dans les topos de la Vanoise, ils mettent l’aiguille des glaciers en Vanoise…
C’est quoi ce bordel ? 
Posté en tant qu’invité par Nico:
Hydra a écrit:
C’est marrant, car dans les topos de la Vanoise, ils mettent
l’aiguille des glaciers en Vanoise…C’est quoi ce bordel ?
« Le topo de la Vanoise » de deslandes et Merrel devrait plutôt s’appeler "le topo de la Tarentaise, il comporte toutes les courses accessibles par la vallée de la Tarentaise : Vanoise, beaufortain, Haute Tarentaise (fait partie de la vanoise ?) et Mt Blanc côté Chapieux (accès par Bg St Maurice)
Posté en tant qu’invité par OlivierC:
1.LE MASSIF DU MONT-BLANC
C’est un massif impressionnant de beauté qui attire comme un aimant la population alpinistique ou non de la planète entière.
Les quelques remontées qui le parcourent, lui attirent toutes les critiques de la part des amoureux de solitude qui vont assurément dans d’autres massifs plus « Sauvages » et le disent, ça fait bien.
Les lieux peu visités vous tendent les bras, mais demandent à savoir marcher longtemps, trop fatiguant, faut faire la trace…
Dans ces lieux, le portable (français) à beaucoup de mal à passer la crête frontière, sauf si on a pris l’option internationale.
Dans ces contrés, ça engage pas mal la viande, d’où l’appellation de « petit Himalaya », rien que ça.
Et si le Massif du Mont-blanc n’existait pas, toute la planète serait scotchée à la Bérarde ou à Ailefroide et c’en serait définitivement fini des appellations trompeuses du genre, Hautes-Alpes : les « Alpes Vraies » ou « l’Oisans Sauvage ».
Sans rancune, ici on a les nôtres, avec « La Montagne à l’Etat Pure ». (J’ai mis un E à état, c’est voulu)
Et comme dis un guide bien connu dans une vallée concurrentielle de ChamoniX (comme l’on prononce sur TF1, à la capital), « le Mont-blanc si y’avait que moi, je le raserais et je planterais de la vigne ».
11.LE MASSIF DES ECRINS
C’est un massif impressionnant de beauté qui attire comme un aimant la population alpinistique ou non de la planète entière, enfin celle qui n’a pu réserver suffisamment à l’avance dans les lieux très fréquentés du massif cité ci dessus.
Les quelques routes qui le parcourent en profondeur, montent tout de même au alentour de 1800m pour y finir en malheureux cul-de-sac, où l’on peut admirer tout le génie créatif qui s’en dégage pour y faire stationner (gratuitement ou presque) quelques milliers d’amoureux des espaces « Sauvages ».
Mais seulement 3 mois par an, l’honneur est sauf, OUF ! Le restant de l’année, c’est en travaux.
Dans ces lieux, le portable (français) ne passe pas même si on a pris l’option internationale, et ça fait bien de le dire, même si on a caché la radio dans le sac.
Dans ces contrés, ça engage pas mal la viande, d’où l’appellation de « Oisans Sauvage », rien que ça. Mais plus on va vers le sud et plus la population y voit son « petit Himalaya », rien que ça.
Et si le Massif des Ecrins n’existait pas, toute la planète « Grenobloise » et « Chambérienne » serait scotchée dans Belledonne et c’en serait définitivement fini des appellations « Bella Donna ».
Comme dis un guide bien connu dans la station village de La Ghoråve (comme l’on prononce en suédois), « les remontées, si elles n’étaient pas là, on y skierait pas ».