Trois, juste trois, z’êtes sûrs ? Nan parce que des souvenirs de montagne pas beaux, j’n’en ai pas, moi… !
Pour jouer l’jeu, les premiers qui débarquent à cette idée…
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La Meije, of course… « La montagne où l’on devient alpiniste », disait Gaston… Sais po bien si suis devenue une alpiniste, 'tout cas j’ai juste vécu des émotions rarement ressenties auparavant !!! Et célébré en beauté la dernière soirée de Frédi au Promontoire !
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La découverte de la Turquie, d’Aladağlar en Dedegöl… Ahh l’Aladaglar et ses recoins au caillou toujours fou fou fou, ses sommets spectaculaires, son ambiance montagne, ses couchers de soleil à en perdre son nuancier… Et le Dedegöl et ses cannelures, son isolement, sa quiétude…
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S’il ne faut en garder que trois, comment faire l’impasse sur le re-re-retour à Taghia… Pour l’épilogue de l’Axe du mal, avé la vis dans le plateau tibial fracturé dans la 4ème longueur un an avant… Mais aussi pour partager avec cette famille, ce peuple, ces gens, un nouveau drame. Prendre encore une fois toute la mesure de leur Humanité… Si l’Axe du mal est désormais grimpé, Taghia a encore tant à m’offrir…
Et parce que j’ne sais pas me plier à des règles strictes, faudrait pas oublier ce mythique pic du Bure qui a marqué la rencontre avec un binôme d’enfer, ces mythes offerts par les copains dans le Verdon (ici, ici, ou même là), cette symphonie printanière en Corse inoubliable, ces échappées Vercoriennes à la découverte des voies du copain, et juste pour lui faire de la pub, la rencontre avec un berbère à l’enthousiame communicatif et aux parois imposantes !
Et encore, suis sympa, j’vous passe tout l’reste ! Pourtant c’était bôoooo !