Vos 3 plus beaux souvenirs de montagne pour 2018

#34

Il faut rendre à Cesar ce qui est à Cesar. C’est @Le_Touriste qui a renseigné le topo et m’a donné les infos sur l’itinéraire.

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#35

Bonjour,
Incontestablement, c’est l’ascension du Quayrat (mon sommet préféré) par le pilier WSW pour mes 50 ans, la fête surprise…: Camptocamp.org

Ensuite loin derrière:

  • le beau tour de Pène Blanque en ski de rando: Camptocamp.org
  • ma 1ère incursion dans la tête de Gramusat en cascade de glace: Camptocamp.org
#36
#37

Belle occasion de prendre du recul sur 2018, un sacré cru coté montagne pour moi ! Impossible de choisir un top 3. Merci @Miko d’avoir mis Uloya dans ta liste, du coup j’enlève la Norège de la mienne !

Voici mes moments marquants:

  • La Crowberry Gully au Buachaille Etive Mor - Stob Dearg. Baptème du feu du scottish winter, un condensé du meilleur du pire, riche en « second type fun ». Première sortie d’un bel hiver écossais. Je ne sais pas si le mieux était la recherche de l’itinéraire de descente avec rappel sur des corniches dont on ne voyait pas le bas, ou le Mont d’Or partagé à 2h du mat’.

  • Longland’s climb à Clogwyn Du’r Arddu. Belle Grande Voie dans cette face mythique, partagé en famille. Grand beau exceptionnel au sommet du Snowdon atteind en horarie décalé. 2018 aura été pour moi l’année de la découverte de la grimpe british.

  • Le tour du vallon du Goléon par les arètes, une sortie qui me trottait dans la tête depuis un moment. Une sorte de tour du jardin, que j’ai longtemps cru ne pas faire cette année à cause de la fatigue de mon premier gros ultra trail (112miles quand même).

  • Mera Peak. Panorama grandiose, coup de poker météo pour mon plus haut sommet.

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#38

tu dois pouvoir faire de beaux scores au scrabble avec tes noms de sommets :slight_smile:

#39

La plus belle journée, où j’ai le plus profité : La pointe Dufour, (et en particulier l’arête finale !), au soleil alors que les autres sommets se couvraient / découvraient au gré du vent … et les glaciers sont très sympas à skier. (d’ailleurs, quitte à être dans le coin, faut aller se balader sur les glaciers du côté de Jägerhorn / Weissgrat au lieu d’aller s’empiler sur Castor et Pollux !)

En alpi : la traversée de l’Olan, qui m’a donné envie de rendre visite plus souvent à ce massif :slight_smile:

En grimpe : Visite Obligatoire (ma seule GV marquante de la saison :angry: )

En rando : un bivouac sous rocher lors d’un séjour Aneto-Perdiguère-Posets, avec un peu de crampon, un peu d’arête facile, pas mal de ramasse, des orages de grêle sous la bâche, et beaucoup pierriers branlants parsemés de kerns plus ou moins bienveillants.

Du gros déniv’ : PDG et Mont Blanc (avec une face nord pas géniale du tout à skier) à 3 jours d’intervalle

Deux refuges à conseiller : Saleina (super accueil des bénévoles !) et Fenestral (fonctionnement associatif autogéré et vue *****)

Un regret : ne pas avoir saisi l’occasion de faire la traversée des arêtes de la Meije, faudra voir comment c’est cette saison …

Une idée : partir de chez moi en vélo pour aller voir la barre des Ecrins. En 2019 ?

#40

un peu dans ce style ? https://youtu.be/_xPVx2PwOfA

#41

Trois, juste trois, z’êtes sûrs ? Nan parce que des souvenirs de montagne pas beaux, j’n’en ai pas, moi… ! :relieved:
Pour jouer l’jeu, les premiers qui débarquent à cette idée…

  • La Meije, of course… « La montagne où l’on devient alpiniste », disait Gaston… Sais po bien si suis devenue une alpiniste, 'tout cas j’ai juste vécu des émotions rarement ressenties auparavant !!! Et célébré en beauté la dernière soirée de Frédi au Promontoire !

  • La découverte de la Turquie, d’Aladağlar en Dedegöl… Ahh l’Aladaglar et ses recoins au caillou toujours fou fou fou, ses sommets spectaculaires, son ambiance montagne, ses couchers de soleil à en perdre son nuancier… Et le Dedegöl et ses cannelures, son isolement, sa quiétude…

  • S’il ne faut en garder que trois, comment faire l’impasse sur le re-re-retour à Taghia… Pour l’épilogue de l’Axe du mal, avé la vis dans le plateau tibial fracturé dans la 4ème longueur un an avant… Mais aussi pour partager avec cette famille, ce peuple, ces gens, un nouveau drame. Prendre encore une fois toute la mesure de leur Humanité… Si l’Axe du mal est désormais grimpé, Taghia a encore tant à m’offrir…

Et parce que j’ne sais pas me plier à des règles strictes, faudrait pas oublier ce mythique pic du Bure qui a marqué la rencontre avec un binôme d’enfer, ces mythes offerts par les copains dans le Verdon (ici, ici, ou même là), cette symphonie printanière en Corse inoubliable, ces échappées Vercoriennes à la découverte des voies du copain, et juste pour lui faire de la pub, la rencontre avec un berbère à l’enthousiame communicatif et aux parois imposantes !
Et encore, suis sympa, j’vous passe tout l’reste :grinning: ! Pourtant c’était bôoooo !

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#42

C’est à la Verte qu’on devient alpiniste Lulu, mais on t’accordera que tu bouges bien en haute montagne pour une frileuse :stuck_out_tongue_winking_eye:

#43

J’reste une sudiste sauvage… Alors déjà les Ecrins c’est l’grand Nord, faut pas me demander en plus d’aller me mettre au cœur de l’ultra-urbanisation plus haut ! :slight_smile:

#44

certe :innocent:

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#45

-en alpi : l’aiguille de la République avec bivouac guidé par mon ami David avec une petite variante de départ par république bananière

-en grimpe: la pilier sud de la croix de fer, Croix de fer pilier Sud Ouest - une bonne journée à rigoler entre copains dans une belle ambiance et un temps superbe

-en rando: de belles randos en famille dans les Cerces (c’est beau) & une montée au refuge du glacier blanc avec le petit dans le porte bébé

-la découverte du VTT en montagne, Mole aiguillette des houches, un autre moyen de faire mumuse sur les sentiers quand il y a plus de neige

zut ça fait plus de trois je crois…:sunglasses:

#46

je retiens le récit de l’aiguille de la république pour plus tard :slight_smile:

#47

Ah, eeeuh non, mon vieux vélo pourri, mes skis pas light et moi, on est loin d’être capable de faire ça. Et on habite un peu loin.

En fait, même sur une semaine c’est quand même un défi pour nous.
(je sais me dépêcher mais je suis d’un naturel lent)

Pour l’instant c’est juste une idée.On pourra viser un autre sommet pour raccourcir le trajet vélo ou éviter une vallée accidentogène. On pourrait rester plus longtemps sur place pour rendre visite à d’autres sommets du coin. Bref, on peut tout imaginer. 2019 est là pour ça : nous faire rêver !

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#48

Pas grave :wink:

#49

Une superbe rando à la pointe nord des fours, ou après le col de la croix du bonhomme nous avons pu voir un gypaète sortir de la brume, élégant silencieux.
Une balade au grand cocor sous un temps exécrable ou le paysage lunaire du secteur était encore plus prégnant.Avec en prime le gypaète .
Une rando à la grande sassière par un chemin improbable pour rejoindre le col et ou j’ai croisé un gars d’une gentillesse incroyable et qui m’a mis une sacrée claque dans la montée et qui m’a appris que des lapins sauvages y ont élu domicile

#50

Jolies balades toutes les trois. Avec une petite préférence pour le secteur Cocor, moins fréquenté et magnifique.

#51

tout à fait un lieu magnifique, j’y suis allé 2 fois j’étais tout seul, il dégageait une paix une force.

#52

oue bah si t’avais pas oublié ta pilule aussi. . :stuck_out_tongue:

pour moi mon souvenir marquant sera sans aucun doute mon premier secours par le PGHM. en plus ca ete un peu long : crac le tibia et le fibula vers 13h00, arrivée des secours et de Sister Morphine vers 15h00. Arrivée a hopital Sud a 19h00…

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#53

Ça fait qu’un seul souvenir ça.
Tu dois bien en avoir deux autres même si ce n’est que l’ouverture en solo de la face sud de ton escalier :wink: