Posté en tant qu’invité par txom:
quel masque ou lunettes vous mettez pour les " temps blancs ", des oranges ?? J’ai monté 1800m avec une super neige mais impossible d’en profiter en descendant car je ne voyais pas le relief.
Visibilité par temps blancs
Posté en tant qu’invité par Marc:
Des verres jaunes ou oranges augmentant la luminosité par jour blanc, mais souvent quand c’est jour blanc tu ne distingue pas grand chose, voir quedal.
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Posté en tant qu’invité par h20:
qd c est jour blanc c’est jour blanc…rien à faire
Posté en tant qu’invité par Robert:
Tout est dansle titre et ne pas oublier les genoux.
Le truc c’est pour une fois de laisser passer un copain devant; sa trace sert de repère!!
Posté en tant qu’invité par mojo:
Aller faire une course en foret!!! Y a que ça…
Posté en tant qu’invité par Vero:
aller en fôret, trés fort mojo si tu peut prévoir avant de partir et avant la descente que tu auras un temps blanc…dis nous comment tu faits, t’as une boule?
Posté en tant qu’invité par Vero:
et tu faits pas avancer le chmilblik.
Posté en tant qu’invité par Vero:
je disais cela à mojo et pas à txom.
Posté en tant qu’invité par Stephane:
Vero a écrit:
et tu faits pas avancer le chmilblik.
Parce que tu crois que tu le fais avancer?
Posté en tant qu’invité par h2o:
bis repetita…y’a pas de remède au jour blanc , y’a pas de lunettes miraculeuses…laissé un copain devant ça règle pas le problème du copain…
Pour la forêt c’est vrai…si il y a jour blanc et qu’à la descente il y a une forêt pas loin , choisir de descendre en forêt…si on connait les passages !!!
Posté en tant qu’invité par Kai:
D’ou l’intérêt de prévoir un itinéraire B quand cela est possible.
Kai
Posté en tant qu’invité par mojo:
Je choisi une course qui reste en fôret… voilà! Pas plus de commentaire
Quand on habite en région de montagne, on peut prévoir le jour blanc… en regardant par la fenêtre!!!
Merci à toi pour tes propositions constructives!
Posté en tant qu’invité par catherine:
j’ai un masque Briko rose, c’est bien utile par temps de brouillard : non seulement ça aide à voir un peu mieux le relief, mais en plus ça donne bien le moral de vouaaaarrrr la viiiiie en rrrrooooose 
n’empêche que dans certains cas ça peut être dangereux de glisser sans voir où on pose ses spatules : ça m’est arrivé de garder les peaux et le talon libre pour descendre hyper lentement dans de la purée de pois. Je crois que c’est dans le bouquin « sports de neige » que JPZ propose le lancer de cordelette : on accroche un petit truc au bout d’une cordelette que l’on lance devant soi (après avoir attaché l’autre extrémité à son poignet) : ça permet de repérer la pente, et éventuellement un accident de terrain, avant d’avancer prudemment sur le terrain repéré au fur et à mesure.
Posté en tant qu’invité par Nicolas:
Comme catherine :
1 un bon masque, ça aide un peu (moi, je voiiiiis la viiiiiie en oooraaaaangeuuuuuuh, question de goûts surtout), mais bon ça vaut pas un franc rayon de soleil quand même.
2 variante de la méthode JPZ, cette fois ci proposée sur ce site : balancer des boules de neiges pour désuniformiser la couche et se faire des repères… Ca prend juste un peu de temps…
3 la forêt c’est ce qui se fait de mieux, surtout avec ces conditions de neige!
Posté en tant qu’invité par h2o:
attention sur ce sujet on parle de jour blanc…pas de brouillard…parfois ça va ensemble mais pas toujours…tiens une question…par jour blanc vous est il arrivé d’avoir la nausée ?
Posté en tant qu’invité par txom:
…je vois que mon sujet intéresse. Pour ce sommet, il est à deux heures de ma fenêtre et , un peu plus haut que ma maison et pas de foret . Tres juste h2o, on a souvent la nausée avec les temps blancs et parfois on ne sait pas trop si on est à l’arret ou si on continue à gisser. Tout provient justement du manque de repères fixes pour notre… cervelet. ça vous arrive aussi ?
Posté en tant qu’invité par Marc:
Avec jour blanc et brouillard ca m’est arrivé d’avoir la nausée.
Quand on ne distingue plus la neige du ciel et qu’on ne ne voit pas à 10 mètres c’est très très galère. La même en balancant des boulettes ca ne change rien car on le voit pas.
Bonne idée la cordelette.
Une autre solution c’est de trouver un itinéraire avec des pentes régulières et sans trous.
Posté en tant qu’invité par thomas:
Notre vision stéréoscopique participe à notre sens de l’équilibre,.
Lors de jours blancs, celle-ci n’apporte plus sa contribution à celui-ci d’ou l’apparition de nausée qui ressemble plus en fait à du mal de mer.
Les masques colorés permettent d’augmenter un peu le contraste et de mieux distinguer les inégalités du terrain, efficacité médiocre en cas de jour blanc
Solution : comme en photo numérique projetez une mire sur la neige…
Allez courage !
Posté en tant qu’invité par mp2:
Plus la pente est raide moins on as de problèmes par jour blanc, conclusion courses TD ces jours là ou ski en forêt
Posté en tant qu’invité par catherine:
Il y a un truc qui me semblait imparable : c’est d’envoyer en avant son chien, ça fait un bon point de repère ! il faut qu’il soit assez gros quand même pour qu’il soit bien visible, éventuellement on peut le teindre en rose fluo…
Et je croyais qu’ils avaient un sens intuitif de là où il ne faut surtout pas aller… mais à la lecture d’une sortie où un gars raconte que sa chienne est tombée d’une corniche… j’ai des doutes finalement !
PS : j’arrive pas à retrouver la sortie, ce serait sympa de mettre le lien ici : j’avais bien aimé cette histoire qui se termine bien 