Visibilité par temps blancs

Posté en tant qu’invité par catherine:

ah voilà cette sortie (merci Bubu !), sur le site de Volopress (mais je croyais qu’elle avait été aussi notée sur C2C) :
http://www.volopress.fr/volo/pop_course.aspx?prmidcourse=05-49

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Tintin:

catherine a écrit:

ah voilà cette sortie (merci Bubu !), sur le site de Volopress
(mais je croyais qu’elle avait été aussi notée sur C2C) :
http://www.volopress.fr/volo/pop_course.aspx?prmidcourse=05-49

A noter que la visibilité était très bonne à ce moment là (j’ai croisé le gars et le chien peu avant la Brèche Arnaud) !
Le chien n’a aucune excuse :wink:

Posté en tant qu’invité par Robert:

mp2 a écrit:

Plus la pente est raide moins on as de problèmes par jour
blanc, conclusion courses TD ces jours là ou ski en forêt
C’est pas tant l’inclinaison (forte ou non) que les variations de pente qui sont traitres parce qu’on ne les voit pas.

Nausées, moi non ,d’autres oui. Par contre pertes d’équilibre alors que j’étais arrêté, en général quand un vent fort accompagne l’absence de visibilité.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

h2o a écrit:

bis repetita…y’a pas de remède au jour blanc , y’a pas de
lunettes miraculeuses…laissé un copain devant ça règle pas
le problème du copain…

Un guide m’a refilé un truc par visibilité très réduite, quand on ne peut pas dire si le prochain pas que l’on va faire va être vers le haut ou vers le bas (et le pire c’est qu’il a servi dès le lendemain)

Celui qui dirige (avec carte, boussole, gps, boule de cristal, etc…) ne peut pas en même temps être devant, il a besoin de quelqu’un pour lui donner une direction et faire la trace.
Le truc est de disposer d’une cordelette de 5 m environ en 7mm ou 8mm et à laquelle on a retiré l’âme (revendue au diable), on fait un noeud à un bout de cette cordelette et on accroche l’autre à la pointe du bâton. Il « suffit » alors pour celui qui fait la trace d’envoyer cette cordelette vers l’avant comme un fouet pour avoir une idée du relief devant soi.

Posté en tant qu’invité par Xtian:

Avec un masque sympa Catherine, quand il y a un mélange de soleil et de brouillard - typique par retour de NE - tu crois mieux voir mais tu n’apprécies pas réellement et le relief, et les distances.
Dans des circonstances de ce type, j’ai gâché un joker de vie en jouant les free-riders extrèmes au dessus de Benevolo, et mon age gardien a eu un gros boulot ce jour là.

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

mon age gardien a eu un gros boulot ce jour là.

ton « age » gardien??? Oh allez Xtian, t’es pas si vieux !!! ;o)

Posté en tant qu’invité par Robert:

J2LH a écrit:

h2o a écrit:

bis repetita…y’a pas de remède au jour blanc , y’a pas de
lunettes miraculeuses…laissé un copain devant ça règle pas
le problème du copain…

Un guide m’a refilé un truc par visibilité très réduite, quand
on ne peut pas dire si le prochain pas que l’on va faire va
être vers le haut ou vers le bas (et le pire c’est qu’il a
servi dès le lendemain)

Celui qui dirige (avec carte, boussole, gps, boule de cristal,
etc…) ne peut pas en même temps être devant, il a besoin de
quelqu’un pour lui donner une direction et faire la trace.
Le truc est de disposer d’une cordelette de 5 m environ en 7mm
ou 8mm et à laquelle on a retiré l’âme (revendue au diable), on
fait un noeud à un bout de cette cordelette et on accroche
l’autre à la pointe du bâton. Il « suffit » alors pour celui qui
fait la trace d’envoyer cette cordelette vers l’avant comme un
fouet pour avoir une idée du relief devant soi.

Oui mais la cordelette a déjà été évoquée hier. Et puis surtout, en raquettes on descend BEAUCOUP moins vite ( voir sujet récent ) et on a le temps de tater le terrain à chaque pas!!!

Posté en tant qu’invité par catherine:

tu devais être mignon Xtian, avec un masque rose :wink:
mais c’est vrai qu’on ne voit quand même pas si bien que ça, et qu’on peut se retrouver dans des pentes bien plus raides que prévues, ou tomber dans un trou alors qu’on croit être sur une zone bien uniforme…
une fois comme ça, je me suis retrouvée à sauter une (petite) corniche à l’insu de mon plein gré : j’ai eu tout d’un coup l’impression de monter à la verticale très vite, en fait je me suis retrouvée 3 bons mètres plus bas, debout sur mes skis dans la poudreuse, en disparaissant de la vue de la copine qui me suivait. Elle n’a pas du tout apprécié que je trouve ça génial comme sensation et que je lui propose d’essayer à son tour !

Posté en tant qu’invité par Francois:

J’ai bien peur que pour le jour blanc, il n’y ait pas trop de solution, sauf à faire attention et à descendre lentement. En ce qui concerne la cordelette, ça peut sembler séduisant en théorie, mais je ne me vois pas trop balancer une cordelette devant moi à longueur de journée, surtout à la descente.

Posté en tant qu’invité par Kai:

Moi non plus, mais peut-être je n’ai jamais experimenté un jour blanc aussi pire que décrit. Ayant une belle cordelette dans mon kit Mc Gyver, je me rappelerai de cette astuce le cas échéant.

Kai

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Francois a écrit:

En
ce qui concerne la cordelette, ça peut sembler séduisant en
théorie, mais je ne me vois pas trop balancer une cordelette
devant moi à longueur de journée…

Je dirais au contraire qu’en théorie ça semble foireux mais qu’en réalité ça marche bien. Il ne s’agit pas de balancer la cordelette toute la journée mais ça aide vraiment quand tu n’as aucun repère sur la neige.

… surtout à la descente

Dans la situation où la cordelette est utile, c’est à dire si tu ne vois pas a quelque cm devant tes skis il est hors de question d’avancer a un rythme supérieur à un rythme de marche, montée ou descente ça ne change rien.

Enfin, le truc vous en faites ce que vous voulez. Pour ma part j’ai constaté que ça marchait bien.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Robert a écrit:

Et puis
surtout, en raquettes on descend BEAUCOUP moins vite

C’est l’avantage de la raquette sur le ski, par jour blanc tu peux plus facilement progresser a un rythme modéré en descente.