Ce n’était pas du tout le cas vendredi dernier, bien sûr un accident pouvait se produire, le risque n’était pas nul et certains seraient tombés à bras raccourcis sur les randonneurs, mais ce que je dis c’est que le BRA indiquait justement les conditions favorables qu’on a trouvées.
C’est ce qu’on peut comprendre en lisant rapidement ce que j’ai écrit mais non, le bon coup était clairement indiqué dans le BRA : risque 2 évoluant en risque 3, c’était le bon coup parce que c’était un risque modéré et de bonnes conditions pour le ski, rien à voir avec un hold-up. Sans un BRA favorable je n’y allais pas. C’était un exemple pour montrer que le BRA étant plus précis que les règles empiriques, qu’il fallait s’y fier en priorité.