Vache ou longe?

Posté en tant qu’invité par BlackList:

Modération!

Posté en tant qu’invité par Marcel Demont:

Vache ou longe?

Longe… de veau aux noix.
Boisson conseillée, en accompagnement: un bon Bourgogne.

Ingrédients (pour 6 personnes)

  • 1 rôti de veau dans la longe de 1,2kg

  • 2 carottes

  • 2 oignons

  • 1 échalote

  • 40g de beurre

  • huile

  • 15cl de vin blanc sec

  • 100g de cerneaux de noix

  • 12cl de crème fraîche

  • sel et poivre blanc au moulin.

:slight_smile: :slight_smile: :slight_smile: Miam!

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Damien:

Et un vin jaune, ça ne conviendrait pas également ?

Marcel Demont a écrit:

Vache ou longe?

Longe… de veau aux noix.
Boisson conseillée, en accompagnement: un bon Bourgogne.

Ingrédients (pour 6 personnes)

  • 1 rôti de veau dans la longe de 1,2kg

  • 2 carottes

  • 2 oignons

  • 1 échalote

  • 40g de beurre

  • huile

  • 15cl de vin blanc sec

  • 100g de cerneaux de noix

  • 12cl de crème fraîche

  • sel et poivre blanc au moulin.

:slight_smile: :slight_smile: :slight_smile: Miam!

Posté en tant qu’invité par catherine:

elle a l’air vachement bonne ta recette de longe, Marcel !
et cette recette « aux noix », c’est pas une recette « à la noix » !

Posté en tant qu’invité par Marcel Demont:

catherine a écrit:

elle a l’air vachement bonne ta recette de longe, Marcel
!
et cette recette « aux noix », c’est pas une recette « à la noix »

Meuh! oui qu’elle est bonne. Bonne à en pleurer comme un veau (de bonheur).
:slight_smile: :slight_smile: :slight_smile:

[%sig%]

Pour moi: vaché est toujours en grande voie. Tu fais deux queues de vache ou cabestan sur deux points differents afin d’être en totale sécurité. Puis tu cries « vaché » à celui qui t’assurait, afin que celui ci enleve son systeme d’assurage pour se preparer à grimper à son tour.
Longe: en couenne, tu dis « longé » mais l’assureur n’enleve pas son systeme d’assurage, car il sait que tu fais la manip pour redescendre sans laisser de matos à la chaine.
Pour moi, en couenne, on ne devrait pas dire « vaché » mais « longé », afin de bien differencier la couenne de la grande voie, donc le fait dans un cas d’enlever l’assureur, et dans l’autre cas nan.

Comme l’assureur n’enlève pas le système d’assurage et comme il sait que tu fais la manip, il n’y a pas besoin de lui dire quoi que ce soit. Un geste de la main quand il doit reprendre le mou avant de te descendre est suffisant.
Ca évite de gueuler dans les falaises.

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Pour moi le vocabulaire doit être minime :

  • En grande voie : « relais ! » pour le leader qui vient de se vacher au relais. Cela donne signe au second de retirer son appareil d’assurage.
  • En couenne : On se vache, on dit rien. On fait la manip. On a besoin que l’assureur tende la corde : « Prends-moi » : On vérifie que tout est ok, on se dévache : « Descends-moi ».

Si il y a du monde, on préfixe chacun de ces trois consignes par le prénom de celui qui en est destinataire.

Le grimpeur a besoin d’au moins 2m de mou pour faire la manip, en indiquant à son assureur qu’on est vaché celui-ci doit comprendre qu’il doit donner ce mou.

Par ailleurs avec des grimpeurs peu expérimentés il est toujours bon qu’ils signalent à leur assureur qu’ils sont vachés, ça leur évite de sauter une étape essentielle

J’ai eu une mauvaise expérience à cause d’un « relais ! » lorsque j’ai un jour retiré mon système d’assurage alors que mon coéquipier m’a dit « je vois le relais » et que je n’ai compris que « relais ». Depuis c’est « vaché ! » obligatoire dans tous les cas.

Ne pas utiliser le même vocabulaire en couenne et en grande voie ne peut être qu’une source d’erreurs.

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A la base on se « vachait » avec la corde (via cabestan) et par la suite beaucoup ont adopté une vache amovible reliée par un noeud de vache. Plus pratique et plus polyvalente.
Mais l’expression « se vacher » est propre à l’escalade. Dans les autres activités sur corde, canyoning, tree climbing, spéléo, élagage, travaux accro, etc… on dira « se longer » car dans la majorité des cas on utilise une longe « spéciale », adaptée. A l’heure actuelle on parle d’ailleurs de « longe réglable » et non de « vache réglable ».

Et quand tu ne vois pas ton assureur, j’espère bien qu’il te donne du mou si tu tires sur la corde sans avoir besoin de le demander… 50cm par 50cm ou 2m d’un coup, ça ne fait pas grande différence.

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Bien sûr mais quand tu es au relais tu préfères quand même ne pas avoir à demander 3 fois du mou et ayant quelques dizaines de cm à chaque fois.

Je m’en fiche, je suis vachée. Je regarde le paysage, je défais mes scratch de chaussons, etc…
De toute façon, si tu ne veux pas que ton assureur lâche son système d’assurage, tu n’auras pas tes 2m en une seule fois. Alors 2 ou 3…

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Tout à fait, et même on en profite pour boire un coup !
D’où encore une fois l’intérêt (s’il fallait le redire) de la longe indépendante… oups, pardon, de la « vache » indépendante :smile:
Après, pour beaucoup on fonctionne aussi avec la VHF en GV, donc cela rend la com plus facile et rapide !

ce qui va à l’encontre des habitudes (anciennes?)

  • Relais!
  • Vaché !
  • Libre !
  • Bout de corde !
  • Départ !
    Il me semble que l’idée était d’échanger au maximum, même si ça parait évident.
    Certes, ça fait beaucoup de bruit…

Et si jamais Luc attend une réponse depuis 2006, il me semble qu’en escalade, on parle surtout de vache.
Sauf sur les catalogues des fabricants, qui parlent de longe

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Si tu regardes le paysage la corde ne va pas monter toute seule, si tu ne dis pas à ton assureur que tu es vaché il va bien falloir que tu tires de nombreuses fois sur la corde

Quasiment, 2 ou 3 brassées et c’est bon.

Dit plus haut…!

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C’est vrai, j’avais oublié que tu es un mec, donc tu ne peux pas faire 2 choses en même temps…

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Bien sûr que si.
On peut découper sa viande tout en continuant à mâcher le morceau précédent.
Ah ! Ces stéréotypes genrés …
:smile:

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Non, au contraire : Deux vocabulaire différents, pour deux contextes différents : En grande voie, arrivé au relais, ton second doit retirer son appareil d’assurage. Si par mégarde il fait de même en couenne, c’est la porte ouverte au drame.

L’utilisation d’un vocabulaire spécifique pour chaque situation permet de prévenir ce genre de situation.