Bonjour,
Une tente à arceaux gonflables, j’en ai utilisé une pendant très longtemps. Mes parents l’avaient achetée quand j’avais à peu près 14 ans, je l’ai encore utilisée pour loger du monde quand je me suis remarié à 49 ans, ça fait 35 ans d’utilisation, et elle pouvait encore servir, je l’ai donnée 5 ans plus tard parce que je me suis rendu compte qu’une tente de bivouac beaucoup plus légère me suffisait toujours.
Bernard
La qualité actuelle a malheureusement en général plus rien à voir avec celle d’il y a 20 ou 30 ans.
Mais là on digresse…
En même temps digresser c’est s’éloigner du sujet, alors encore faut-il qu’il y en ait un, de sujet !
Mieux, voici une définition de la digression : « développement parasite dans un discours structuré ».
Z’avez vu du structuré là-bas au-dessus vous ? Rien à parasiter donc, point d’inquiétudes !
Si sujet il devait y avoir, ce serait similaire à celui du voisin : un peu n’importe quoi… Mais à un bras, et avec beaucoup plus de chocolat 
Ce fil n’est peut-être pas structuré, mais il y a néanmoins quelque chose de cohérent qui en ressort. Une idée conductrice, une atmosphère dominante 
Rien ne t’empêche de rajouter du chocolat au fil du voisin 
?
Dominante ? On est sur un fil qui parle d’un accident grave. Structuré ou pas on sait tous bien de quoi on parle ici. Et si lulu en est la vedette c’est juste normal…
Ai-je parlé de lulu ?
Je dis juste qu’il y a quelque chose de fort qui ressort de cette discussion
L’important ce n’est pas la digression, mais la digression sur la digression.
Pour revenir au thème digressif principal du fil:
« Parasites, parasites ??? Oui on se développe au crochet de nos parents, mais ils sont pleinement consentants ! Et on rend service ! »
— Le grand en son nom et en celui de sa petite soeur
C’est le mot « dominant » qui chatouille à la lecture.
Proposition : fondamental, essentiel, prégnant. Une ligne de vie…
Que tu définirais/nommerait comment ?
Ça m’intéresse vraiment, de « l’intérieur » j’ai forcément un regard biaisé…
Pour moi l’idée conductrice pourrait être « tu peux perdre un bras et continuer à faire de ta vie chaque jour une aventure »,
Et l’atmosphère dominante « regarde comme les gens seront soutenants / solidaires / généreux face à ta galère » (parce que ça débute quand même par des centaines de posts de soutien, c’t’affaire. Je n’en reviens toujours pas de tant de bienveillance…).
Oweuh autant que ça serve le handicap, suis toujours émue de me remémorer les colis d’ovomaltine alors je ne partage pas, na.
T’as des bras pour te consoler toi 
Humpf je viens de parcourir les 1500 ( 
) et qqs posts en diagonale (qu’est-ce qu’on est bavard !!!) et y en a quand même plus de 600 avant la naissance du 1er parasite (pov’ gamin !), et ensuite pas mal branchés davantage techniques du vécu d’un quotidien asymétrique ou de la recherche de verticalité…
Avoir des minots avec un seul bras n’est vraiment pas le plus galère (bien que j’ai été à nouveau confrontée aux questions des naïfs : mais comment vous allez faire pour la porter/ la changer etc…? Ben comme tout le reste, j’vais m’adapter !)
Eh ! C’était pas une critique, bien au contraire !
Ok j’ai mal compris alors.
Ah d’accord donc tu inverses le concept. Des bras, pas de chocolat
Il me semble que tu résumes bien ce qui se dégage de ce dialogue au long cours, même si tu en es l’instigatrice.
J’ai plaisir à venir me plonger de temps à autre au cœur de ce témoignage intimiste. Je n’ai pas le souvenir de quelque chose de similaire ou même d’approchant sur camptocamp.
L’atmosphère qui prédomine ici est chaleureuse et vertueuse. Je n’ose dire exemplaire, mais il y a pourtant de cela. Je ne te connais qu’au travers de ces lignes, mais Il m’arrive pourtant de penser à toi en dehors de c2c, au hasard des épreuves de la vie. Et c’est aidant. Je ne peux que t’en remercier, comme sans doute beaucoup ici.
Le cœur est à l’extrême centre, et non à gauche comme le voudrait l’anatomie. On devine la tendance politique de l’artiste.
Humpf je n’avais pas la référence mais ce que j’ai trouvé ici fait un peu peur :
tous les codes de la représentation religieuse et métamorphosent définitivement la star en sainte. Ce n’est plus la fabrique d’une idole, mais bien d’une icône.
Bien plus proche de ma réalité est la représentation (encadrée dans mon salon…) du si talentueux @janic
Bah, ça semblait coller à quelques posts plus haut 
Les images de Pierre et Gilles sont souvent nettement moins pieuses… Pas des icones En plus des petites larmes toujours présentes, elles sont souvent touchantes, tout en abritant la personne derrière un décorum le plus souvent très kitch… Je dois avouer qu’au premier abord je n’ai pas du tout aimé, et maintenant j’apprécie énormément… Je recommande à ceux qui ne connaissent pas de jeter un coup d’oeil sur le reste.
(désolé pour cette digression de plus)
et la symétrie ?
si l’image n’est pas symétrique, elle est déséquilibrée
ce qui est dans ce cas totalement inconvenant !
