C’est un drôle de débat, certaines fois, on n’a juste pas le choix de laisser du matos. Quand vous faites une approche à ski pour aller grimper en cascade par exemple, vous ne grimpez pas avec les skis sur le dos j’imagine. Donc même si il y a autant de « connards » en montagne qu’ailleurs, on pourrait s’attendre à ce qu’un accord tacite faisant qu’on ne touche pas au matos des autres persiste, que ce matos soit planqué ou pas, car ce n’est pas toujours possible. Si c’est là l’évolution de la pratique de la montagne, c’est à condamner fermement car cela rendra la réalisation de certains projets impossible.
"Trouvé" en montagne ?
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J’en connais…
Il m’arrive de laisser le sac à dos (sans les objets de valeur) quand je pars ravitailler en aller-retour express.
Deux conditions : que ce soit hors de zones trop accessibles/fréquentées ; et en laissant systématiquement une note « parti ravitailler - le xx/xx/xxxx - tél. 06 xx xx xx xx :) ». C’est un pari (risqué ? jamais eu de souci) sur le fait que l’éventuel passant dans ce coin perdu connu des seuls locaux/initiés sera nécessairement un « montagnard », un peu plus sensé/respectueux que la moyenne.
Lorsque je trouve du matériel « abandonné » (bâtons, corde… et même chaussures de marche) je l’arrange proprement si besoin, et laisse également un message « trouvé ici le xx/xx/xxxx » (visée psychologique : l’objet a été vu, il y a eu un témoin de sa présence en ce lieu, cela aidera peut-être à dissuader de l’emporter/voler).
J’ai « trouvé » une fois des chaussons et un baudrier au pied d’une GV.
J’ai failli les redescendre « pensant bien faire ».
Heureusement que je ne l’ai pas fait, j’ai eu l’explication le lendemain : ils appartenaient à un célèbre grimpeur suisse qui rééquipait une voie et les avait laissés pour le lendemain.
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Merci pour ton message, ça me fait penser qu’il serait malin de noter le numéro de téléphone de mon contact en cas d’urgence sur/dans mon sac de montagne.
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L’odeur peut-être …
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