Posté en tant qu’invité par Sylvain:
On n’a pas dit que T. Margueritat etait nul (on ne le connait pas), on a juste dit que ses 2 bouquins escalades faciles etaient pourris.
C’est pas pareil !
Posté en tant qu’invité par Sylvain:
On n’a pas dit que T. Margueritat etait nul (on ne le connait pas), on a juste dit que ses 2 bouquins escalades faciles etaient pourris.
C’est pas pareil !
Posté en tant qu’invité par Claude:
C’est pas pareil mais ce n’est pas tout a fait indépendant non plus.
Posté en tant qu’invité par Claude:
Truziaud, je ne connais pas (au fait, pourquoi n’as tu pas rentré le topo ? ce serais bien si celui de Margueraitat a vraiment des erreurs).
Pour la Lune rouge, je ne suis pas d’accord. On s’était garé aux Fréaux et on était monté en démarrant par le sentier qui passe devant les couennes. Ca passait très bien et à la descente on arrive pile sur la voiture.
Posté en tant qu’invité par jmb:
Je pense que le problème vient également du format du topo. Il est tout petit et se glisse facilement dans le rabas du sac. C’est pas vraiment pareil avec le 4 sup ! Mais justement comme il est tout petit il y a pas assez de place pour avoir un beau crobar explicite, une description complète de l’itinéraire et une photo.
Posté en tant qu’invité par laurent:
pour ma part, je suis allé faire le pilier gris au dessus de briançon en suivant la description d’un topo sur le val de durance qui ne correspond absolument pas à la voie, si bien que même aprés être sorti, on se demandait si on avait fait la bonne voie.J’ai regardé ensuite la description dans escalades faciles et je la trouve beaucoup plus claire.
Par contre, je me demande ou margueritat a vu 16 longueurs à Palavar-les flots…
Posté en tant qu’invité par Cisou:
Dans un autre bouquin du même auteur, « Randos Insolites » on trouve le Pas de la Branche au Saint Eynard et un itinéraire aux Rochers de Chalves par l’arête Sud. Pour le premier, super mise en garde, « ça craint un max, prendre tout le matos de Ferrata, gaffe… » et j’en passe, on y va : conclusion c’est de la rando, sur ces deux pieds, tranquille, bien expo, mais tranquille sans les mains. Pour l’autre, le topo ranconte que tout va bien, petite barre à passer mais rien de bien méchant, on y va tranquilles sans rien, conclusion un pas de II méga expo: chute mortelle à tout les coups (plus de 100m garantie) et on n’a rien. Ca passe d’accord, mais bon…
Conclusion, c’est pas le même homme qui a fait ces 2 randos du même bouquin ou alors il est amnésique !!!
Posté en tant qu’invité par nico:
je donne mon avis:
pour avoir fait les 2/3 des voies de ces bouquins, je trouve que globalement on a des infos assez bonnes
il ne faut pas se focaliser sur le nombre de longueur de corde qui peut varier sur ce genre de voie
sur des escalades un peu sauvages (par exemple Roc des boeufs) il faut s’attendre à chercher
mais c’est vrai que c’est assez hétérogène : certaines escalades sont des voies en plusieurs longueurs en falaise
(bref de l’école d’escalade)
alors que d’autres sont plus à considérer comme des « courses » dans lesquelles il faut du matos et il faut chercher …
et de toute façon, il faut le plus souvent essayer de completer les infos avec d’autres topos
celui de Coupé, les 100 + belles (dont les descriptions d’itinéraires sont parfois aussi assez succulentes …), le topo des Aravis, celui de la vanoise, ceux de JM Cambon, …
(bon c’est vrai ça fait cher tout ça …)
c’est quand meme le premier bouquin du genre à répertorier des idées d’ « escalades sympas » et pour moi ça m’a permis de découvrir de trés beaux coins de moyenne montagne
et si on cherche, ou meme si on doit faire demi tour ( ça m’est arrivé ) on a fait une belle ballade en montagne !
le 6a max est un peu mieux car le cheminement est visible sur les photos
Posté en tant qu’invité par Brigitte:
Truziaud, je ne connais pas (au fait, pourquoi n’as tu pas rentré le topo ? ce serais bien si celui de Margueritat a vraiment des erreurs).
Je n’ai pas rentré le topo car à l’époque je ne connaissais que skirando, pas camptocamp. Je ne rentre pas mes anciennes courses, surtout plus de trois ans après …
Posté en tant qu’invité par Loic M:
j’ai souvent été décu par les courses proposées dans ce topo en particulier Poussez pas derriere et la diagonale de l’aiguillette du Lauzet (on grimpe un pierrier…). Seules les classiques m’ont interessé (ex: aretes du gerbier, 9 cheminées, Y de gauche à chamechaude). Je galere 1 fois sur 2 soit prour trouver le départ, soit dans la voie. S’il en sort 1 3eme, je ne l’acheterai pas. Autant acheter les topos originaux.
Posté en tant qu’invité par jmb:
Pour info, il en sort un 3ème courant 2004 sur les Ecrins, Cerces. D’accord avec toi, je vais pas l’acheter non plus.
Posté en tant qu’invité par Christophe:
et après on dira encorre que les topos servent à payer l’équipement.
Posté en tant qu’invité par pierre:
C’est vrai, ce bouquin donne des idées sympas, mais il est dommage d’arriver après 4 heures au pied de la voie car le topo ne donne pas le bon départ (Voie du Mirroir par exemple, ou 9 cheminées à la Dent de Crolles). Une fois dans la voie, nous n’avons pas eu de surprise, le problème est avant.
A quand les coordonnées GPS du départ, même sans GPS, au moins en préparant on peut savoir. A certains endroits, à moins d’habiter en face, ou de repérer la veille, une fois le nez contre la paroi, le pilier « caractéristique » ressemble à son voisin, et au croquis.
Quant au IV+, je l’ai, mais les voies en IV+ sont rares, ou alors c’est "voie en IV+, avec un pas de VI dans la 3ème longueur, ce qui n’est pas pareil.
Posté en tant qu’invité par Francois:
Si vous voulez qu’on vous tienne par la main, les gars, faut pas faire de TA.
Bonsoir,
Ho là ça fait un bail que ce post existe et je me fais un réel plaisir de l’exhumer une nouvelle fois :lol:
Et vive Thierry Margueritat !
Merci pour son beau topo qui donne super envie de faire plein de grandes voies typées TA !
On a fait hier l’arête de Truziaud et bien qu’aillant galéré pour garder la pêche et le mental sur un parcours assez long pour les non-initiés que nous sommes, c’est avec un grand plaisir qu’on a fini la traversée sauvage et peu équipée.
Allez, je suis sympa, je rentre la sortie ! bon ptet pas ce soir car j’ai la flemme mais incessamment sous peu lol et oups, on avait oublié l’appareil photo…
… Rien n’est plus désagrable que de se retrouver face à sa propre incompétence! et rien n’est plus facile que de savoir lire une ligne de faiblesse où passe la voie la plus facile! Et rien n’est plus facile, enfin, que de critiquer… Les livres ont trouvé un excellent accueil de la part des guides, c’est dire…
Quant au titre, hélas l’auteur n’en est pas maitre! c’est l’éditeur qui en décide.
C’est sur que c’est moins vendeur " Escalades bouseuses herbeuses"
Je trouve que ces livres ont le mérite de mettre en valeur des itinéraires peu fréquentés, pas durs techniquement, dans de jolis secteurs.
Mais cette facilité est trompeuse : car en général, ces escalades nécéssitent une bonne habitude du terrain « montagne » : mauvais rocher, itinéraire à trouver, équipement à compléter, nécéssité de corde tendue, etc, etc.
Or « escalades faciles » semble laisser croire que sortis de la SAE, on va pouvoir se lancer la dedans avec 12 dégaines et un niveau 5b. (comme c’est le cas pour certaines voies Cambon, par exemple)
je trouve que le topo est pas mal mais en effet il s’agit d’itinéraires montagnes souvent non « classique » donc il y a un peu d’aventure lors du parcours des voies. Mais n’est ce pas ce que l’on cherche …quand on sort des couennes et autres SAE!
Je pense que le titre est trompeur.
Le titre « Escalades Faciles » ne veut pas dire terrains aseptisés, voies faciles à trouver. Il veut dire escalades faciles TECHNIQUEMENT. Ces 3 ouvrages mettent en garde dans l’introduction: « Voies modernes et TERRAIN D’AVENTURE se partagent le sommaire ». Encore faut-t’il savoir improviser et faire face aux imprévus survenant parfois dans ce terrain d’aventure. Il semblerait que la jeune génération ait été un peu déformée par les standards actuels de la grimpe porté sur la sécurisation de la pratique. De l’ancienne génération dont je fais partie, les états d’âmes avaient peu cours et ce que l’on a appelé par la suite « terrain d’aventure » était notre pratique habituelle. Aptes à déchiffrer un itinéraire, à jauger de la solidité d’un rocher, à poser nos pitons, si l’on avait du mal dans une voie (que l’on trouvait toujours) on se remettait avant tout en question.
De nos jours il semble plus facile de critiquer de façon excessive l’auteur d’un topo (au fond souvent par jalousie, je pense) de façon anonyme et avec un pseudo, tout celà n’étant guère recevable.
Posté en tant qu’invité par Marco 3440:
des topos sympa et qui mon jamais poser de probleme bye
Tout à fait d’accord avec votre analyse.
A titre personnel j’avais acheté votre topo à l’age de 20 ans et avec très peu d’expérience.On avait buté sur la traversée de l’aiguillle de la vanoise (oui c’est possible), par une accumulation de bourdes anodines (ma plus grosse terreur en15 ans de pratique assidue).
Et bien loin de se remettre en question on avait pensé bien du mal de votre livre, c’était différant d’espace vertical ou des Vouillants.
Une dizaine d’année après j’apprécie à fonds ses escalades qui sont effectivement des escalades faciles, mais comme mentionné en intro, pas aseptisée…
Bonne grimpe
[quote=« margueritat, id: 1420554, post:38, topic:11499 »]Le titre « Escalades Faciles » ne veut pas dire terrains aseptisés, voies faciles à trouver. Il veut dire escalades faciles TECHNIQUEMENT. Ces 3 ouvrages mettent en garde dans l’introduction: « Voies modernes et TERRAIN D’AVENTURE se partagent le sommaire ». Encore faut-t’il savoir improviser et faire face aux imprévus survenant parfois dans ce terrain d’aventure. Il semblerait que la jeune génération ait été un peu déformée par les standards actuels de la grimpe porté sur la sécurisation de la pratique. De l’ancienne génération dont je fais partie, les états d’âmes avaient peu cours et ce que l’on a appelé par la suite « terrain d’aventure » était notre pratique habituelle. Aptes à déchiffrer un itinéraire, à jauger de la solidité d’un rocher, à poser nos pitons, si l’on avait du mal dans une voie (que l’on trouvait toujours) on se remettait avant tout en question.
De nos jours il semble plus facile de critiquer de façon excessive l’auteur d’un topo (au fond souvent par jalousie, je pense) de façon anonyme et avec un pseudo, tout celà n’étant guère recevable.[/quote]