Posté en tant qu’invité par Etienne:
Merci. Tu as les e-dresses de ces contacts?
Pour ce qui est de la voie, j’ai trouvé la première partie plutôt suréquipée dans les passages les plus techniques, quoique en vieux clous, rouillés mais solides et bien plantés ( ça me change du Caroux ). J’ai réussi à vider mon porte-matériel en enchaînant les deux longueurs centrales. 12 dégaines en 40m, c’est pas courant à la Sainte! Un seul spit, totalement inutile, au relais de sortie de ce passage.
Les grandes sangles sont plus utiles que les coinceurs, essentiellement pour monter des relais.
Par contre, la fin est expo dans les conditions de vent violent et irrégulier (+ ondées ) qu’on a rencontrées. Les arêtes sont très étroites, lisses ou parfois péteuses, pas moyen de mettre de bons points intermédiaires, ce qui fait qu’on a dû tirer des longueurs de 20-30m plutôt que progresser à corde tendue. Ca rend la course fastidieuse.
Je me suis fait piéger par la ligne de spits inachevée à droite du départ normal. Du coup nous avons été dépassés par Philippe Légier qui avait l’air de reconnaître l’équipement en vue de le renouveler un peu…
Le caillou n’est absolument pas patiné, et rarement cassant ( casque utile tout de même ). Il y a moyen de ne quasiment jamais marcher, ni de traverser de végétation sur les 250m de la voie. C’est rarissime dans les longues voies du coin. La marche d’approche depuis le parking est la plus courte après celle du Grand Parcours: 30 mn. La descente est assez courte et moins galère qu’elle n’en a l’air de loin.
Bref, très recommandable… par temps calme! Les autochtones nous avaient promis-juré que le vent ne se lèverait pas, et qu’on aurait trop chaud. Sans doute que dans le coin on ne parle de vent qu’au-delà de 100 km/h… 