Oui, merci beaucoup pour les liens et les conseils. Vu en français, avec le VPN en France. Je précise que nous avons fait la même étape en ski l’an dernier.
Reportage très intéressant, très bien fait (au moins sur la partie technique) et très complet qui montre au moins quatre points :
que dans ce genre de traversée on s entête beaucoup trop sur la version « base », sans penser ni à la pause de 24h, ni à la redescende en vallée. Je pense que c est encore plus vrai dans le monde pro avec gestion de groupe, de réservation de refuge d hôtel….perdre 24h est vu comme un échec.
Que l heure d arrivée du mauvais temps est toujours comptée comme exacte alors que dès fois ça foire plus tôt.
Que mieux vaut une trace gps récente et un repérage la veille qu une bonne connaissance de l itinéraire mais des souvenirs d il y a un an.
Que du côté des clients la version : je suis (du verbe suivre) le guide en version « client » en se conformant aux instructions est difficile quand tu disposes de connaissances et/ou d un outillage similaire. Ou tout simplement lorsque à la fin le guide ne peut plus avancer car aveugle.
Bref beaucoup de malchance pour cette expédition 🥹. Bon courage pour les proches.
la phrase la plus juste est bien celle du guide américain : dans ce genre d entreprise, la frontière entre la réussite et l échec se joue sur des petits détails…qui sont quasiment ingérables.
Pour illustrer son propos, De mon côté, je pensais a une fixation qui casse, qui se grippe, un crampon perdu, une boussole qui indique le sud, un téléphone portable ou un gps HS, une carte qui s envole, ici le groupe de français raconte les skis qui s envolent, les sacs à dos, les italien un baudrier perdu, même si ces 3 faits sont sans incidence ou presque, c est quand même impressionnant de ce dire que c est ce genre de « détail » qui peut faire basculer l aventure en drame.