Les fora sont géniaux… On parle du volume du sac a dos POUR UNE COURSE A LA JOURNEE, et on en est à gloser sur les besoins physiologiques d’une personne de 100 kilos vs 50.
Allez, je remets une pièce dans le nourin
Pas forcément. Si un basketteur pro de 2m10 et 100 kilos a moins de réserves de gras qu’un enfant de 1m20 et 50 kilos …
Pour en revenir au sac, penses-tu que le gore-tex de ce basketteur pro prend la même place que celui de l’enfant ? Est ce que le basketteur pro pourra prendre la même taille de sac à dos que l’enfant ?
A nuancer, ouiki évoque ceci :
Mais c’est la formule de Black et al. (1996) qui est actuellement la référence, en particulier dans le cas des sujets en surpoids et des personnes âgées (de plus de 60 ans) :
Soit un besoin métabolique de base TTEPA de 12% supérieur pour les bonzommes. Ca fait environ 10 tranches de sauc’ pour madame et 11 pour monsieur, ça reste quelque chose de peu influent sur le contenu du sac.
Sur le métabolisme des souris et des hommes, voir (enfin écouter) :
A poids et tailles identiques. Compte tenu du dimorphisme sexuel, l’homme sera généralement plus grand et plus lourd, ce qui augmente d’autant les dépenses énergétiques.
Compte tenu des réserves de la plupart des personnes, l’organisme n’aura de toutes façons pas besoin de taper dans le saucisson mangé durant la course. Sur une journée, ce saucisson ne sert à rien d’un point de vue énergétique, hormis pour le plaisir gustatif.
Que dire!! je ne vais pas forcément te donner tort, je mets le casque à la descente en cas chute (tronche dans les cailloux, blocs de neige dure, skis dans la tronche, etc: etc:)
Pour la montée, si je passe dans un endroit exposé aux chutes de pierres ou glaçons, oui je vais le mettre, bien sûr; pour les crevasses, chez nous, on gère ça assez facilement et si une avalanche est la cause de ma disparition il y a tout de même peu de chance que ce soit du uniquement au non port du casque.
Pour le vélo il y a tout de même plein d’autres facteurs qui entre en ligne de compte.
Dans la vie de tous les jours il faudrait l’avoir en permanence sur la tête (voiture, escalier, branche ou tuiles qui tombent, un collègue de boulot me parler d’un ami à lui, qui c’est tué en vacance suite à la rupture du hamac dans lequel il faisait la sieste (mais pourquoi donc, n’avez-t-il pas son casque !!)
ah ouais, c’est pas de chance quand même…
Perso je prend des casques légers et confortables, du coup je l’ai toujours sur la tête c’est pas gênant.
S’il fait trop chaud je prends un casque d’alpi ça va très bien.
La prochaine fois, je demanderai ce que les gens amènent dans leurs vivres de course 
Je n’ai plus les chiffres en tête, mais le nombre des décès d’avalanchés suite à une rencontre avec un obstacle est loin d’être négligeable.
Mais on pinaille, les porte-casques sont hyper efficaces (pi tu peux clisper la mentoniére quelque part sur le sac pour pas le perdre), donc le casque ne compte pas dans le volume du sac…
Et puis mettre le casque sur la tête plutôt que dans ou sûr le sac, ça permet de gagner du poids au niveau du sac 
Il faudrait effectivement dormir avec le casque. En effet, si tu te lèves la nuit pour aller pisser et que tu glisses sur un objet par terre dans la pénombre, il faut un casque pour te protéger la tête.
Idem pour les dernières chutes de neiges : un casque pour marcher sur les trottoirs non déneigés.
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Oui mais ce n’est pas forcément la tête qui rencontre l’obstacle (je ne vais pas rentrer dans des détails morbides)
Mais rassurez-vous, je fais partie des privilégiés avec trois sacs que je choisis en fonction de leur volume et de la sortie, j’ai même deux « porte casque » (que j’utilise ou pas, selon l’envie du jour)
L’hiver, 8 petits gâteaux Gerblé sésame (2 paquets de 4) et une thermos de thé sucré au miel avec un chlouc de rhum.
Y’a plus Jean-Claude… 
La meilleure émission de radio de l’univers.
Au delà du poids, j’apprécie les petits sac à dos type compétition pour l’aspect pratique au niveau du portage des skis et de l’accessoirisation.
Ca le fait bien pour les courses peu techniques et à un rythme ne trainant pas trop. Par contre, il est préférable d’avoir travaillé l’encombrement de l’ensemble de son matériel, de ses vêtements et de son alimentation. Il faut également avancer, connaitre et accepter les limites de sa stratégie.
La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer. Antoine de Saint - Exupéry
A oui mais je parlais de ceux que j’utilises pour le ski, je ne parle pas des 6 autres (trop gros volume ou plus adaptés) que je devrais d’ailleurs vendre pour faire de la place ou bien les porter chez Hémmaüs
J’ai vérifié et les besoins hydriques dépendent bien évidement également de la masse corporelle.
Je laisse le soin à ceux et celles « refusant » les grandes règles (cf le Manuel de l’OMS expliquant que la masse corporelle agit sur la dépense énergétique) de préciser la différence de besoin hydrique entre un homme de 50 kg et un homme de 100 kg, à effort donné, à caca/pipi/transpiration donnés, à composition corporelle donné (notamment le taux de muscle) … grosso-modo toutes choses étant égales par ailleurs. Bien évidement, en fct de la température extérieure, de la quantité de vêtements …
il doit pas y en avoir beaucoup qui font de l’alpi avec ces mensurations.
j’en ait encore 14 de 11 à 70 litres