L’intérêt de concentrer, ou de diluer, dépendra surtout de la capacité du milieu à « traiter », épurer les déchets. Si la capacité du milieu est proche de zéro, c’est souvent le cas à ces altitudes en France, la merde ne bougera pas (descendra à la vitesse du glacier), qu’elle soit concentrée ou diluée ne changera pas grand chose. Après, on pourrait faire comme ds certains parcs US : sac à caca obligatoire, avec contrôle et verbalisation si caca en dehors des règles. L’urine pose moins de problèmes car stérile, encore que pour les prétendants au graal du Mont-Blanc, l’urine doit être bien chargée de molécules magiques. Ca doit pisser sévère du médoc.
Si c’est vrai, c’est tout de même bien déplorable que le club alpin n’arrive pas à gérer les toilettes d’un refuge.
Un refuge propre est un refuge qui a brûlé. L’hôtellerie de montagne, avec ses marchands du temple et de soupes, ne sont pas les derniers des pollueurs.