Perso, impossible de mettre un truc synthétique 2 jours de suite.
À la rigueur si t’as dormi avec, le nez s’étant probablement habitué ou fatigué pendant la nuit.
Et lavage avec trempage, car même avec un prélavage ça suffit pas forcément.
Sous vêtement techniques - Alpinisme
Non pour avoir les avantages des deux
En tout cas, lorsqu’on lit les notices de ces vêtements, les moutons sont tranquilles !! je n’ai trouvé qu’un seul modèle dans lequel le « mérinos » entre en ligne de compte et encore juste des empiècements
Bonjour
j’ai synthétique Patagonia, Millet mais le mérinos est plus chaud et pas d’odeur
Il me semble que Patagonia a abandonné le Mérinos
en général, dès qu’il y a un système d’élevage intensif visant une production maximale et à bas coût, la souffrance animale n’est pas loin…
Punaise moi qui pensais qu’on pratiquait une simple tonte !! vive la laine « Merinos »
Finalement le synthétique au pétrole a du bon. C’est déjà mort, et depuis longtemps.
euh ok…merci à tous de vos réponses. Je ne pensais pas que cette question allait susciter autant d’avis. Pour en revenir à nos moutons (…blague…), pour ma part, j’en ai rien à faire de l’odeur… Ce n’est pas du tout un critère de selection (dans un premier temps en tout cas). Je ne veux juste pas revivre ce que j’ai vécu cette année, à savoir, un t-shirt manche longue synthétique trempé…et un vent puissant glacial à 3800m avec une température ressentie à -17°… Je n’ai pas eu froid, mais c’était hyper limite. et des sensations très très désagréables
Si tu transpires beaucoup (c’est mon cas) tu seras mouillé de toute façon. Je n’ai jamais trouvé de solution en presque 60 ans de pratique. Pour limiter les dégâts, en ce qui me concerne, je prends un truc qui sèche vite sur soi, donc synthétique sans hésiter.
Par rapport aux ticheurtes coton des années 70, le synthétique m’a changé la vie.
Synthétique = 1
Merinos = 0
comme expliqué plus haut, la sous-couche ne va pas te sauver par -17°c. Le problème quand il y a du vent, c’est de réussir à s’en proteger tout en évitant de surchauffer (et de transpirer).
Une couche externe coupe-vent est obligatoire. Mais elle est aussi moins respirante. Donc pas de miracle, peu importe la matière, les couches au dessous vont se charger d’humidité. Et si tu as gardé des couches en trop pendant ton effort, la transpiration ne pouvant pas jouer son effort d’évacuer le trop-plein de chaleur, tu vas encore plus transpirer. Et à l’arret, quand tu arrêtes de produire de la chaleur, la sensation de froid est très rapide, et les couches mouillées te gardent moins au chaud.
Il faut donc privilegier une sous couche qui d’une part evacue bien la transpiration, et d’autre part ait un contact réduit avec la peau (genre tricotage intérieur spécifique ou grattage), ce qui évite la sensation de mouillé.
Et après jouer avec les couches du dessus pour ventiler à la limite du froid en ouvrant les écoutilles quand tu bouges, pour évacuer au mieux la transpiration, et fermer les écoutilles dès qu’il y a un arrêt.
Tout à fait d’accord et je rajouterai que je fais très attention de partir en début de course en ayant (légèrement) froid. Auparavant, je partais avec trop de couches et enlevais une couche après 20 min. Le souci c’est que la sous-couche est déjà bien humidifiée à ce moment.
J’utilise la doudoune quasi exclusivement lors de la descente ou de moment statique (assurage). En ayant légèrement froid (et surtout pas trop chaud) durant la course j’ai réussi à limiter ma transpiration et de ce fait limiter le mouillage de mon tshirt technique (qui sèche vite).
réguler son effort pour éviter de trop chauffer. si tu as froid va plus vite, si tu sues ralenti.
exactement perso je passe mon temps à ouvrir et fermer plus ou moins les différentes couches pour éviter d’être dans une étuve.
C’est vrai de manière très générale, et on préfère ne pas le savoir… jusqu’au moment où on sait, et qu’on évacue ça dans un coin reculé de notre cerveau : élevage des poulet, des veaux, …
… et pour ces moutons, impossible d’imaginer tout ça, c’est vraiment atroce.
C’est sûr qu’on ressent beaucoup plus d’empathie pour ces moutons que, disons, pour un élevage d’escargots. Dommage, le merinos c’est très bien, mais ça fait mal au coeur de penser qu’il y a ce genre de pratiques pour produire de la laine.
Je retiens
Nouvelle-Zélande, l’Amérique latine ou la Mongolie: «Pour des raisons climatiques, ces pays ne connaissent pas le problème de l’infestation par les mouches et pratiquent donc peu le mulesing.» Contrairement à l’Australie, la Nouvelle-Zélande a aboli cette pratique en 2007 même si certaines régions le pratiquent encore.
Mais quand on achète un produit en laine, on ne sait généralement pas d’où ça vient… Il y a moyen de savoir ?
Merino très cher, pue moins que le synthé mais dure moins longtemps, moi en première couche j’utilise un synthé car le merino me démange (j’ai essayé le Patagonia 100% et Rab 70% - 30%), après la sueur de chacun est différente car elle dépends de ce que tu manges, par ex. beaucoup de fromage et ça va puer beaucoup et tu vas vite te retrouver tout collant le soir.
Les marques qui sont cher donne l’origine du produit et c’est fiable.
Pour le merinos decathlon s’y est mis ce n’est pas du 100% merinos, c’est donc moins cher pour le moment je trouve que ça tient bien. Aucun soucis de démangeaisons.
Je trouve tout de même que les synthétiques actuels puent bcp moins que ceux des années 90
C’en était.