Sous vêtement techniques - Alpinisme

Je n’ai pas plus froid avec mes vêtements en mérinos qu’avec les synthétiques.
Et pour l’odeur, quand tu sors plusieurs fois par semaine, a moins de les laver à chaque fois, le synthétique ça pue.
Pi ça pollue (microplastiques chaque fois que tu le laves) et c’est du pétrole acheté à daesh/poutine/Qatar.
Le mérinos sèche assez vite aussi (lavé dans la douche le soir en rentrant, le lendemain c’est sec).

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Le meilleur c’est quand même le mélange mérinos synthétique

Pour avoir le mélange humide malodorant.
(Blague …)

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Si on fait une acv, pas sûr que le mérinos d’Australie tricoté au Bengladesh ou en Chine pas des Ouïgour soit bien meilleur.
Et puis en 5 sorties de ski en voiture, je pense que je brûle plus de pétrole que ce qu’il y a dans l’ensemble de ma garde robe.

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Been oui !! comme moi, pour ne pas incomodé les nez sensibles

Perso, impossible de mettre un truc synthétique 2 jours de suite.
À la rigueur si t’as dormi avec, le nez s’étant probablement habitué ou fatigué pendant la nuit.
Et lavage avec trempage, car même avec un prélavage ça suffit pas forcément.

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Non pour avoir les avantages des deux

En tout cas, lorsqu’on lit les notices de ces vêtements, les moutons sont tranquilles !! je n’ai trouvé qu’un seul modèle dans lequel le « mérinos » entre en ligne de compte et encore juste des empiècements

Bonjour
j’ai synthétique Patagonia, Millet mais le mérinos est plus chaud et pas d’odeur

Il me semble que Patagonia a abandonné le Mérinos

en général, dès qu’il y a un système d’élevage intensif visant une production maximale et à bas coût, la souffrance animale n’est pas loin…

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Punaise moi qui pensais qu’on pratiquait une simple tonte :nauseated_face: :face_vomiting:!! vive la laine « Merinos »

Finalement le synthétique au pétrole a du bon. C’est déjà mort, et depuis longtemps.

euh ok…merci à tous de vos réponses. Je ne pensais pas que cette question allait susciter autant d’avis. Pour en revenir à nos moutons (…blague…), pour ma part, j’en ai rien à faire de l’odeur… Ce n’est pas du tout un critère de selection (dans un premier temps en tout cas). Je ne veux juste pas revivre ce que j’ai vécu cette année, à savoir, un t-shirt manche longue synthétique trempé…et un vent puissant glacial à 3800m avec une température ressentie à -17°… Je n’ai pas eu froid, mais c’était hyper limite. et des sensations très très désagréables

Si tu transpires beaucoup (c’est mon cas) tu seras mouillé de toute façon. Je n’ai jamais trouvé de solution en presque 60 ans de pratique. Pour limiter les dégâts, en ce qui me concerne, je prends un truc qui sèche vite sur soi, donc synthétique sans hésiter.
Par rapport aux ticheurtes coton des années 70, le synthétique m’a changé la vie.

Synthétique = 1
Merinos = 0

comme expliqué plus haut, la sous-couche ne va pas te sauver par -17°c. Le problème quand il y a du vent, c’est de réussir à s’en proteger tout en évitant de surchauffer (et de transpirer).
Une couche externe coupe-vent est obligatoire. Mais elle est aussi moins respirante. Donc pas de miracle, peu importe la matière, les couches au dessous vont se charger d’humidité. Et si tu as gardé des couches en trop pendant ton effort, la transpiration ne pouvant pas jouer son effort d’évacuer le trop-plein de chaleur, tu vas encore plus transpirer. Et à l’arret, quand tu arrêtes de produire de la chaleur, la sensation de froid est très rapide, et les couches mouillées te gardent moins au chaud.
Il faut donc privilegier une sous couche qui d’une part evacue bien la transpiration, et d’autre part ait un contact réduit avec la peau (genre tricotage intérieur spécifique ou grattage), ce qui évite la sensation de mouillé.
Et après jouer avec les couches du dessus pour ventiler à la limite du froid en ouvrant les écoutilles quand tu bouges, pour évacuer au mieux la transpiration, et fermer les écoutilles dès qu’il y a un arrêt.

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Tout à fait d’accord et je rajouterai que je fais très attention de partir en début de course en ayant (légèrement) froid. Auparavant, je partais avec trop de couches et enlevais une couche après 20 min. Le souci c’est que la sous-couche est déjà bien humidifiée à ce moment.
J’utilise la doudoune quasi exclusivement lors de la descente ou de moment statique (assurage). En ayant légèrement froid (et surtout pas trop chaud) durant la course j’ai réussi à limiter ma transpiration et de ce fait limiter le mouillage de mon tshirt technique (qui sèche vite).

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réguler son effort pour éviter de trop chauffer. si tu as froid va plus vite, si tu sues ralenti.

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exactement perso je passe mon temps à ouvrir et fermer plus ou moins les différentes couches pour éviter d’être dans une étuve.