Un peu comme ça ?
« Allons-y, on verra bien si on peu bidouiller sur place. »
Sortir de sa zone de confort?
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La « zone de confort » veut dire beaucoup de choses différentes selon qu’on parle performance, émotions, style de grimpe, etc.
Est-ce que le choix sémantique est vraiment important pour comprendre comment progresser en escalade ? Pas sûr…
Quelques explications plus précises sur la peur de tomber dans cet article: https://bureauvertical.fr/2020/09/24/progresser-en-escalade-2-depasser-la-peur-de-tomber/
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Exact j’ai aussi suivi des cours avec ma copine… ça fait longtemps que je m’étais senti aussi peu à l’aise! 
La grimpe reste de la grimpe. Si t’es un dalleux, ta zone de confort c’est pas des voies dans le dévers. Avis perso, suivant comment tu appréhendes la montagne.
Ma zone de confort c’est mon canapé. Dès que je m’en lève je sors de ma zone de confort.
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super article, merci!
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en tous cas je suis pas dans ma zone de confort en lisant ce forum où tous les aigris sont de sortie dès qu’un article sort des sentiers battus.
@kevek : c’est l’ironie que je ne perçois pas du tout, ou bien tu as réellement pas vu que ça avait été posté un 1er avril ?
Quoiqu’il en soit, Gaston Rébufat était bien du même avis que l’article :
Et perso, j’ai pratiqué sans vraiment en avoir conscience la philosophie exposée dans l’article cette année, aussi parce qu’à la salle on ne peut pas grimper en tête, eh bah je suis vraiment refait du niveau que j’ai atteint en me faisant toujours super plaisir. Je dis ça en comparaisons à mes années 15 à 24 ans où je grimpais mais dont je garde pas forcément des bon souvenirs à tout le temps flipper et culpabiliser de pas aller trop dans le dur. Là cette année en travaillant la moul j’ai boosté mon niveau technique de ouf, et du coup en tête en falaise je me fait plaisir comme jamais.
Comme un peu évoqué plus haut dans le fil en filigrane, il y a cette injonction à aller dans toujours dans le plus dur. Or l’escalade c’est plein de pratiques différentes, et pas forcément celle là.
J’aurai dû ajouter les 14 smileys pour le signaler 
Mais je pensais que la citation « 20% de reduc pour les trolls » était suffisamment explicite.
Par contre non, je n’avais pas vu que c’était posté un premier avril.
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Je t’avais pourtant donné un indice!!!
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Dans la notion d’« élargir sa zone » de confort aussi.
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pas tout à fait d’accord. je vois ce que tu veux dire quand même, que forcément pour étendre sa zone de confort il faut aller dans le dur. Mais je voulais dire aussi qu’on peut le faire de différentes manières, comme Rébuffat l’écrit mieux que moi en bas à droite de l’extrait photo de « La Montagne est mon domaine ».
Exemple que je prenais c’est que cette année ma zone de confort en falaise s’est bien élargie, sans que je ne me sois vraiment engagé en tête en falaise, ou même en tête en salle ! j’ai pas eu de mauvais souvenirs de grosse galère en tête, et pourtant j’ai atteint et fait des trucs dont je suis bien fier et auxquels je ne m’attendais pas.
Explicitement : sa zone de confort peut grandir en la poussant de l’intérieur, pas seulement en la tirant de l’extérieur, chose qui a tendance à être oubliée ou invisibilisée. L’article du début ne fait rien d’autre que de rappeler cela.
Si le concept te convient et te permet de progresser, c’est très bien
Ce qui m’avait fait réagir, c’est le fait de s’offusquer totalement du « sortir de sa zone de confort » pour le remplacer par « élargir ».
La plupart des sportifs ayant un entraînement un temps soit peu réfléchi* ne s’amusent pas à se mettre dans une difficulté bien au dessus de leurs possibilités.
Généralement, quand ils travaillent la difficulté, ils le font aux alentours de leur limite, que ce soit en intensité (difficulté éprouvée haute) ou en volume (pas forcement éprouvant mais beaucoup d’entraînement).
Donc « élargir » ou « sortir », on s’en fout un peu.
*Edit: Après vérif: Un tant soit peu !
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L’objectif était peut-être de générer du clic, dans ce cas c’est réussi!
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