Sondage pour un mémoire sur les pratiquants d'escalade

Bonjour à tous !
Dans le cadre de mon mémoire de master, je vous propose de répondre à un rapide sondage à l’adresse suivante : www.tanguy-heitzmann.com .
N’hésitez pas à faire tourner à vos amis !
Ce sondage s’adresse aux pratiquants d’escalade, alpinisme etc.
Merci !

Je rendrais prochainement disponible les résultats statistiques de ce sondage sur le même site.

Ma pratiquen’est pas proposée : les grandes voies sportives.

Merci de t’intéresser au sondage. Pour la grande/longue voie, tu peux répondre dans la section difficulté/couenne.
Encore merci.

salut
à mon avis il n’y a pas assez de gradation pour la frequence des pratiques. autant on peut dire, je grimpe 1à 5 fois par semaine en salle, autant l’alpinisme sera plus un nombre de jour par an. à mon avis, tes informations seront eronnés…
après ce n’est que mon avis. Ne t’intéresse tu pas au niveau dans les disciplines telle que l’alpinisme, le TA la glace et le dry tooling? ils peuvent être très differents du niveau en sportif non ? bon courage.

Je suis du genre pénible quand je réponds à un sondage (qui a dit que ce n’était pas la seule situation où j’étais pénible ?) mais j’ai 2-3 questions :
Type de pratique « Associative » entre « Autonome » et « Professionnelle » ça veut dire qu’on ne pratique qu’avec un encadrement en club ? ou alors qu’on est cadre fédéral ? Parce qu’on peut aussi ne pas être autonome sans grimper en club.
Je ne comprends pas trop la notion de risque symbolique parce qu’avant d’être symbolique le risque réel de blessure est presque toujours là. Parfois oui le risque c’est juste une chute de quelques mètres sans risque de rencontrer le cailloux, on peut le qualifié de symbolique si on est bien assuré, mais sinon le risque physique existe bien.

Je vais essayer de répondre à vos questions :

  • pour le risque, seul l’aspect symbolique m’intéresse. Je sais bien que le risque réel existe mais il ne rentre pas dans le cadre de ma réflexion. Pour redéfinir le risque symbolique, il peut être perçu comme « je sais que je vais pas mourrir ou me blesser mais je vais échouer dans ma tentative d’enchainement ou je vais me prendre un plomb. »

  • pour le type de pratique : si tu es membre d’une association ou d’un club d’escalade, tu as une pratique associative. Si tu vas à Fontainebleau avec 2 potes le weekend tu as une pratique autonome. Ce n’est pas la question de ta capacité à grimper en autonome en sécurité. Si tu pratique en club ET seul, tu peux choisir pratique associative. Pour la pratique professionnelle, tu es rémunéré régulièrement pour ta pratique sportive.

  • Pour le niveau en alpi, dry tooling etc, je ne m’y intéresse pas. J’ai mis ces pratiques dans mon formulaire afin d’avoir une vision large de l’état des pratiques liées à l’escalade sportive qui elle est au cœur de mon sujet.

  • pour la fréquence de pratique, je considère que si la fréquence est de 0 ou 1, ce sera une pratique occasionnelle. En effet, pour certaines disciplines (comme l’alpi), ce chiffrage n’est pas très significatif. Je vais réfléchir à comment l’optimiser.

Si vous avez d’autres remarques/questions/suggestions, j’y répondrais avec plaisir.
Merci beaucoup de prendre le temps de vous intéresser à mon travail.

Au vu des divers retours, j’ai ajouté des réponses possibles pour les fréquences de pratique.
Merci pour tous vos avis constructifs.

Pour ma part, je n’ai pas fait de compétition d’artif depuis un moment. :smiley: