Sondage : niveau de risque BRA et courses

@proto @pasinvite
Comme j’ai dit à Pulse plus haut.
Ce qui m’intéresse est d’avoir une idée du niveau de risque à partir duquel on décide de compléter sa prise décision par une démarche personnel : avant la sortie (calculs à priori) et vérifier sur le terrain aux endroits estimés sensibles (sondages). Peu m’importe de connaitre dans le détail quelle action serait décidée ou pas, séparément.
A cet instant (34 votes) il semble que la décision de compléter se prenne en moyenne entre un risque de 2 et 3.

Effectivement on peut en extrapoler ça en tirant bien par les cheveux et les résultats aux deux autres questions n’ont plus aucun intérêt.
Mais compte tenu du contexte on peut aussi se dire que le résultat est faussé. Sans doute quelques-uns ont dit risque 2 alors qu’ils auraient dit 3 ou 4 une semaine avant.

pas d’accord, il y a :

  • une réflexion à priori (démarche pour affiner le risque à partir du BRA et décider on y va ou pas)
  • une action de vérification sur le terrain qui permet d’affiner à postériori et de valider des hypothèses développées en amont de la sortie.

Résultat faussé : pas forcément, le niveau d’implication sera plus fort.

Bien compris. Mais une fois qu’on a choisi un niveau de risque le oui/non sur les questions suivantes n’a pas de sens.
Et comme bien dit par @proto on peut déclencher l’une ou l’autre des actions à des niveaux de risques différents. Donc ton sondage ne marche pas (c’est pas grave hein mais c’est un fait)

Pas compris. Pour moi risque de résultat faussé à la baisse. Il suffit d’avoir vu une vidéo de l’avalanche pour se dire que risque 2 en fait potentiellement ça craint

Ah :thinking:

??? Alors comme ça un individu déciderait subitement que c’est dans sa pratique courante de faire telle ou telle démarche ensuite de la lecture du BRA… Hmmmmm , j’y crois pas vraiment mais pourquoi pas, je ne suis pas dans la tête de celui qui répond.
On a aussi le risque lorsque les répondants sont cités, qu’ils estiment plus convenable de répondre comme ci ou ça… Au pire cela fera réfléchir :slight_smile:

Enfin une démarche complémentaire, pas seulement au vu du BRA.

Une avalanche, par risque 1 ou par risque 5, ça craint toujours. Une fois l’avalanche déclenchée, le niveau de risque n’a plus aucune importance.

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Du chiffre seul du BERA alors, quoique ça soit déjà une démarche personnelle, parce que dès que tu mets le nez dedans, ça n’a aucun sens de ne pas recouper avec des éléments propres à la course.

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Bah oui, le BERA sert justement à localiser les endroits où ça craint. Le fait est que par risque 2 ces endroits sont moins nombreux que par risque 4, c’est pas pour autant que si tu y vas - dans ces zones là - une avalanche ne te tombera pas sur le coin du nez.

D’accord : connaitre un niveau de risque c’est un peu comme connaitre ses chances de gagner à une loterie. Qualifier le risque, sa nature, sa localisation et ensuite vérifier si on a vu juste, cela me semble plus payant et un apprentissage sur le long terme.

3 c’est déjà relativement courant donc si des gens font ceci ou cela de temps en temps ils peuvent considérer qu’ils l’ont déjà fait une fois dans leur vie par risque 2 et répondent 2.
J’ai quand-même du mal à imaginer que beaucoup de gens fassent systématiquement des sondages par risque 2.

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ben non parceque moi par exemple j’ai mis risque 3 mais l’annalyse a priori je la fait toujours quelque soit le risque.

Et les sondages?
3 donc j’imagine.

tout a fait

A l’évience, mais je reste persuadé que des personnes (novices par exemple) ou d’autres expérimentées peuvent décider juste au vu du niveau annoncé, voire même s’y adonner.

Dans ce cas, retiens le premier niveau : 1
C’est à partir de 1 que tu décides de faire quelque chose en plus et non pas de te fier juste au BRA.

encore une fois le fomulé du sondage n’est pas clair (car je ne fais en principe pas de sondage par risque 1)

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« A partir de ce niveau de risque »… "je fais ceci : O/N " … « je fais cela : O/N »
La réponse peut donc être « a partir de ce niveau » … « je fais ça, ou ça, ça et ça, ou rien »