Sondage apprentissage ski

Posté en tant qu’invité par marmouset:

Bonjour à tous,
Après le plaisir de l’effort à la monté, la satisfaction d’être arrivée au sommet, la contemplation du paysage, il y a pour moi un moment privilégier en ski de randonnée : descendre et regarder descendre les autres. Tout me plait : ceux qui descendent comme des luges à foin (je sers les dents pour eux à chaque virage), les virtuoses dont l’aisance, quelques soit la neige, me fait pâlir d’envie…
Par curiosité, je lance donc ce petit sondage divisé en 3 questions

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

  2. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

  3. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir de la descente ?

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu, compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

En attendant de vous lire, bonne glisse !

Posté en tant qu’invité par tetof:

  1. en station, petit (6ans), dans un club de ski avec pas mal de stages avec des encadrants d’etats ou federals
  • stage du CAF : bof. Le CAF n’est pas un club de ski. Le niveau de ski est tres faible (a comparer d’un culb de ski).
  • stage avec un guide : bof. Un guide n’est pas un moniteur de ski. Son domaine de competence n’est pas l’apprentissage du ski. Neanmois, certains guides sont egalement moniteur de ski et donc parfaitement a meme de t’apprendre a skier.
  • conseils d’amis : tout depend des amis :slight_smile:
  • cours de ski avec un moniteur : bingo, c’est la solution. Pour reduire les couts, il faut passer par des stages organises en clubs. Le niveau de l’UCPA n’est pas eleve mais c’est bien pour demarrer.
  1. Tout depend de la sortie.

votre niveau approximatif
randonneur assidue ancien pistard qui se remet au ski.

Posté en tant qu’invité par Brigitte:

  1. Avec des copains étudiants, à 20 ans, en station … chamrousse, alpe d’huez, « à la dure » (il fallait suivre et pour le reste on se posait pas de questions)

  2. J’ai fait trois journées de stage pente raide avec un guide : très intéressant.
    Sinon je ne crois pas qu’aujourd’hui je sacrifierais la moindre journée de rando pour des cours classiques quelqu’ils soient (le stage pente raide c’était autre chose)

3)60% … en fait il est rare que je n’aie aucun plaisir dans une descente

Niveau : skieuse genre passe partout (surtout les arcosses) , aucun style , j’aime bien le « un peu pentu » en bonnes conditions.

Posté en tant qu’invité par Ai@ce:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?
    à 6ans en station (La Thuile): semaine blanche (école de ski) et plusieurs weekend (parents) par an
  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) :
    course de ski en pente raide avec un guide à Chamonix ou à Engelberg ou trois Vallées
  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?
    60%

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif
randonneur du dimanche assidu (40-50 sorties par an)

tchao,

Ai@ce

Posté en tant qu’invité par Bubu:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

Intéressante question, j’ai beaucoup à raconter…

Sur les skis à 3 ans. 1er cours/crêche de ski : viré au bout d’1h parce que je chouinais tout le temps.
Mes parents (mauvais ou moyens skieurs) ont essayé de m’apprendre à skier : 4-5 journées par an jusqu’à 7-8 ans. Echec aux Saisies où les perchmen refusaient de m’aider pour prendre leurs téléskis bourrins (ben oui, faut qu’ils avancent vite pour remonter les km de pistes vertes jusqu’à Bisane :-).
Du coup peu de piste, mais pas mal de ski de fond alternatif, souvent en « hors piste », ou sans rail.
Entre 8 et 10 ans, école de ski avec un CE à Crest Volants: 1ère étoile. Puis ça m’a soulé.
De 10 à 15 ans, 10 à 15 journées de pistes par an avec mes parents ou avec des potes, essentiellement à Arêches, Crest Volant et les Contamines (depuis Hauteluce).
Comme j’ai des skis d’occasion et que je ne sais pas skié en parallèle, les pistes dures m’ennuyent vite, et nous allons souvent en bordure de piste.

A 14 ans, un pote me fait découvrir le monoski : ah oui, facile de godiller même dans la pourrie avec ça !
A 15 ans je ne sors plus qu’en mono. Mon frère essaye le surf (le vrai, alpin bien sûr).
Nous sortons au maximum en hors piste, vu que nous skions toujours dans ces 3 stations dont nous connaissons les pistes par coeur.
En hors piste, nous nous trouvons parfois au-dessus de petites barres : il faut parfois faire demi-tour sur place. Avec un mono de 8kg, dans 50cm de peuf, donc sauter avec le mono de 20cm au moins pour pouvoir faire demi tour en l’air en retombant au même endroit, car je suis à 30cm du bord de la barre. C’est dans ces situations que j’ai appris malgré moi à faire des virages sautés.
A 18 ou 19 ans, j’en ai marre du mono, car même en ne visant que du hors piste, il y a pas mal de piste pour les liaisons et le retour : mon frère en surf se fait bien plus plaisir.
J’hésitais depuis qq temps à passer au surf, mais les galères sur les plats ne me faisaient pas envie, ainsi que toute la période d’apprentissage (« tu as mal au cul les 15 premieres sorties »).
Je réfléchis à comment ça marche le surf, puis je tente le coup. Pour tenir debout, tourner en dérapage dans les 2 sens et faire des arrêts controlés, qq soit la piste, j’ai mis 1 jour d’apprentissage : le matin sur les pistes bleus, puis rouges à midi, puis noires l’après midi, et la dernière descente dans un hors piste à 40° avec des barres à éviter :slight_smile: Et pas une seule chute ce jour là. Et voilà, clic clac torché :slight_smile: Euh non, il reste à apprendre le virage coupé, ce qui se fera en 10 journées. Au cours des 60 ou 80 sorties que j’ai fait en surf, j’ai du faire une trentaine de chute. Et je ne suis tombé que 3 ou 4 fois sur les fesses. Comme quoi…

Dès 17 ans, j’ai commencé le ski de rando dans un club, mais je loose bien : pas de bon matos : ski lourd avec fix sans cales, chaussures de piste, … 2-3 sorties par an pendant 2 ans.

1995 (18 ans), je trouve des skis de rando d’occasion, avec des diamir : 3 cales, le rêve ! Mais pas de sortie pour cause d’incompétence et d’études.
1998, je force pour sortir, et donc n’importe où (pas de neige, loose en refuge dans la tempête, …). Début novembre, Etendard depuis la Croix de Fer, et l’Aiguille de Laisse la veille : bonne poudre, je vais essayer les godilles comme en mono. Hé, mais ça marche ! Depuis presque 10 ans que je n’ai pas skié en poudre (mais monoskié ou surfé), alors que je n’ai jamais réussi une godille avec des skis, hop ça marche du premier coup !

Dès lors, comme pour l’apprentissage du surf en 1 jour, j’ai compris que pour s’améliorer, il suffit de réfléchir un peu pour analyser le problème, trouver une solution, la tester dans la minute qui suit, la corriger si besoin, puis de se forcer à faire le geste durant 2 ou 3 jours pour l’acquérir en réflex.
Cela est bien plus rapide que n’importe quelle école de ski, lecture, etc.

J’ai fait de moins en moins de station, puis plus du tout depuis 2002 (1 à 2 sorties par an depuis 99). En rando, 15000m en 98, 50000m en 99, 80000m en 2000 et 2001. L’amélioration de ma technique n’a pas progressé aussi vite qu’elle aurait pu en station, mais j’ai progressé quand même par le dénivellé en rando.
Si j’avais appliqué cela 10 ans plus tôt, lorsque je ne faisais que de la station, j’aurais un bien meilleur niveau aujourd’hui, et je ne serai pas obligé de compenser par des skis de plus en plus gros.

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un
    guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

Conseils d’amis.

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir de la descente ?

100%.
Mais ça ne veut pas dire que je ne prends pas de plaisir à la montée. C’est juste que si je veu me faire plaisir à la descente, je dois non seulement trouver de la bonne neige et de la bonne pente, mais que je suis obligé de monter. Donc pas besoin d’y penser.
D’autant plus que je suis adepte « où qu’on soit, c’est toujours beau » (si on y voit qqch et si ce n’est pas ou peu mécanisé - même sans remontées il y a toujours les inévitables lignes électriques), car, on peut toujours trouver qqch d’intéressant à un paysage : toucher le ciel dans un panorama à perte de vue, ou au contraire se faufiler dans le labyrinthe d’une vallée très encaissée qui daigne nous laisser passer.
Donc je ne recherche pas le plaisir à la montée : il y sera de toute façon.

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu,
compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

Randonneur assidu : 70000m par an sur 50 sorties, autour de 600m/h le plus souvent, mais 400-500m/h avec les pauses photos et itinéraires.
Au niveau difficulté : à l’aise dans le 5.1 (le vrai, pas en poudre), serein dans le 5.2, limite ou taquet dans le 5.3 (le vrai, avec 2cm d’enfoncement). Plutôt du 4.x max ces temps-ci (en tenant compte des conditions : j’ai fait des 5.2 en poudre, donc des 4.2).

Posté en tant qu’invité par Goulotte:

  1. Débuté le ski à 10 ans , Mercredi des neiges en Alsace , au Grand Ballon précisément…maintenant la piste noire y est interdite , car trop dangeureuse !!!C’est incroyable ces histoires de tout sécuriser! Débuté , le ski de rando , toujours en alsace…vallée de Masevaux…vers les 20 ans.

2)Pour m’améliorer , ben déja les sorties à plusieurs…pour les pentes un peu plus raides…mais , j’aimerais bien faire des cours avec un moniteur…car je pêche vraiment dès qu’il faut faire des virages sautés !!! Et , je ne parle même pas de la neige croutée!

3)Plaisir de la descente…ben , je dirais 50 %…beaucoup de fois j’apprécie encore plus la montée…sauf ,quand il y a une super neige de printemps , alors c’est le régal…Du coup j’ai des ski qui privilégient la descente (B2) , histoire de pallier mes manques !

Pratique : entre randonneuse du Dimanche et assidue…

Posté en tant qu’invité par Pave:

marmouset a écrit:

Bonjour à tous,

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?
    Dans un champ en pente… a 5ans, avec mes parents.
    Mes parents n’avaient pas les moyens de nous emmener dans la station de ski… donc c’est mon pere qui faisait le teleski… quand il etait naze on jouait a la luge, et quand la luge ne nous amusait plus, ben on montait a pieds, a ski, … comme ou pouvait. Mes parents ne savent pas skier… pour la technique, c’etait apprentissage par la chute!
    A l’epoque, les skis d’occase qu’on pouvait s’offrir avait des fix a cables, les chaussures etaient basses et en cuir… ideal pour marcher et faire du ski de rando sans le savoir.

  2. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un
    guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?
    Club de ski, et stages cibles en ESF. Competitions (a tout age et niveau). On ne progresse que dans la difficulte, on ameliore en situation « sure », on re-progresse dans le « dur », et ainsi de suite. Sans alternance, pas de progres technique possible.

  3. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?
    Mon truc c’etait le ski de piste… club, compete, BE, compete encore, entraineur, re-compete… et stop a 40 ans. Le peu de ski libre restant, je faisait du hors-piste et en apres-saison (ca existait…) de la rando en attendant la saison de ski nautique et de funboard. Tout ca pour dire que j’etais pratiquement sature de sensations de glisse et que dans la rando, c’est le plaisir de la montee qui prime pour moi (4 heures de plaisir en montee, moins d’1 (en trainant) a la descente… ). Descendre avec du matos « approximatif » … ne peut pas etre toujours le summum du plaisir a ski. Par contre, il y a une satisfaction (peut-etre pretentieuse aussi …) a passer proprement, sans trop d’efforts, sans jamais se faire deborder… maitriser quoi!. Mais on peut le ressentir sans s’etre en plus fait gonfler les cuisses a la monte, non?

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu,
compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.
Je suis un randonneur du dimanche.

En attendant de vous lire, bonne glisse !

Posté en tant qu’invité par Vivagel:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

En stations, à 40 ans largement dépassés, tout seul en regardant les copains qui savaient skier (et qui ne savent - ou ne veulent - jamais expliquer comment ils font). Comme j’ai très vite remarqué que sur les pistes c’était facile et que dès que je me retrouvais hors pistes je ne savais plus rien faire, j’ai très vite pris l’habitude (et mon plaisir) de ne skier qu’entre les pistes ou à côté, d’essayer plusieurs techniques pour découvrir ce qui marche le mieux pour moi. J’avais déjà comme but final le ski de rando.

  1. Que seriez-vous près à faire pour vous améliorer

Je ne serai jamais un bon skieur, j’ai commencé trop tard, sans prendre de cours, et donc en prenant sans doute de mauvaises habitudes. J’aimerais bien maintenant faire un stage de hors-pistes avec un guide et des pentes raides.

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?

C’est aussi important que la montée point de vue plaisir (donc 50%), bien que parfois ce soit seulement utilitaire (pentes dangereuses, neiges merdiques, il faut bien redescendre quand même).

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif

Randonneur du dimanche, 30 journées entre 900 et 1500 m de D+ par an, jusqu’au 4.1 maxi.

Posté en tant qu’invité par SDDDRO:

Débuts poussifs à 15 ans mais j’avais déjà fait du ski de fond (avec les inénarrables virages en épingles en bas d’une grande descente…ça calme mais quand on gère quel plaisir!). Premières descentes sur la glace vive du Mont-Dore, en jurant que c’était la dernière fois qu’on m’y prenait. Et puis j’ai persisté mais toujours dans le genre « ça ne ressemble à rien ». J’ai appris en fait avec la fac, ce sont des fous de ski, on pouvait faire une ou deux sorties par semaine pour rien du tout et avec des gens qui savent appprendre.J’avais mon équipement Emmaüs, skis droits en 185 (moi je fais 1m55) et mes futures chaussures de rando (les raichle blanches et vertes et violettes), on m’a engueulée aux Vallons de la Meige pare que je pensais m’embarquais avec ça, il paraît qu’un ski alpin ne déchausse jamais avec des chaussures de rando. Bref avec tout ça je passe partout, mais dans un style affligeant (d’autant plus que je n’ai jamais vraiment pris la peine de perfectionner le ski, vu que je fais de la rando, et si je vais sur piste c’est en surf alpin ou télémark).
Le plaisir de la descente? Evidemment, mais ça dépend beaucoup de la neige! J’ai des skis orientés « montée », trèèèès légers, en neige lourde ou cartonnée ou équivalente ça peut devenir carrémént inskiable.
Ah, et je cite un de nos profs de ski de la fac (je précise, je n’étais pas en staps, c’était un siuaps): « le ski de rando? Passer des heures à monter, pour une seule descente, dans des neiges inskiables avec des skis qui ne sont pas faits pour ça » ; ). Et une autre du même auteur, sur le télémark (c’est vrai qu’ils commençaient à tous bien s’amuser à me voir arriver avec des engins différents aux pieds à chaque fois, à re-débuter): « Bon, il y a cent ans, on avait des planches en bois avec talon libre. On a nous-même appris sur skis à étriers avec carres vissées. Et puis, il y a des gens qui ont inventé le ski… ».

Posté en tant qu’invité par Greg 7074:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

J’ai appris à skier vers mes 15-16 ans à Métabief ou à le Bresse avec un oncle qui était bon skieur mais pas trop pédagogue. Mais avec 2-3 journée ski par ans, la progression fût lente. J’ai vraiment progressé à partir du moment où je me suis installé en Hte Savoie en skiant beaucoup plus souvent. Me suis mis à la rando depuis 3 ans et ça m’a bien fait progresser également.

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un
    guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

Un bon stage hors piste avec un moniteur pour passer un peu mieux dans les neige type croûte ou carton.

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?

60%

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu,
compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

randonneur assidu cette année, sinon, randonneur du dimanche.

Greg

Posté en tant qu’invité par Septik.:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

Tout d’abord dans le Jura, devant la ferme de mon oncle, sans aucune remontée pendant des journées entières avec des skis comme on en voit maintenant en déco dans les restau. Puis avec le collège le jeudi à l’époque. Puis par moi-même dès que j’ai pu faire des petits boulots ( heureusement à l’époque, cela pouvait se faire tôt …)

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

J’ai tout fait pour m’améliorer ( beaucoup observé les autres, fait des stages, etc …) L’année prochaine, je vais m’inscrire au ski-club où est mon fils et courir en master, juste pour voir avant de ne plus avoir le physique pour ( j’ai bientôt 50 ans)

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir de la descente ?

Y a pas de pourcentage ! Quand je monte, j’ai toujours du plaisir. Par contre, il m’arrive quelquefois de désirer être déjà en bas quand le moment de la descente est venu (très mauvaise neige cartonnée, etc …)

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu, compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

Je suis compétiteur et randonneur assidu ( souvent plus de 100 sorties par an )

Posté en tant qu’invité par Hugues:

  1. Apprentissage en station à 15 ans. Je considère que faire directement de la rando sans avoir appris au préalable à skier sur piste est une mauvaise stratégie.

  2. Je pense que je m’améliore encore (il « suffit » de ne jamais être satisfait de son niveau même quand il devient correct ou même bon) et les skis paraboliques m’ont redonné goût à la piste car ils offrent des sensations différentes et vraiment sympa quand on sait exploiter leur potentiel. Tu comprendras que j’attache de l’importance (énormément même) au plaisir de la descente, mais que c’est plutôt vers les pistes que je me tourne pour ça.

  3. En rando, je n’attache qu’une importance secondaire (mais non nulle) au plaisir à la descente. Je ne fais pas l’ascension d’un sommet avec pour seul objectif de m’éclater à la descente, mais pour le plaisir d’être en montagne en hiver avec un moyen de locomotion efficace aussi bien à la montée qu’à la descente. Si les conditions sont bonnes pour la descente (drepou facile à skier ou neige transfo de printemps juste décaillée comme il faut) et qu’on peut joindre l’agréable à l’utile, tant mieux, c’est la cerise sur le gâteau dont je ne me prive pas de profiter. Et dans ces cas là, il est indéniable qu’avoir un niveau permettant de se faire plaisir renforce grandement l’attrait de la rando à skis.
    En bref, j’attache suffisamment d’importance à la descente pour préférer largement le ski à la raquette (moyen de locomotion à la fois moins efficace et beaucoup moins ludique), mais pas assez pour opter pour des skis typés « freeride ». Des skis traditionnels plus légers, ne nécessitant pas de peaux paraboliques ont ma préférence.

Skieur plutôt assidu: 2/3 rando, 1/3 piste.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par sl:

Bonjour,
4.1 ? 5.1 ? 5.2 ?
qu’est-ce que ça veut dire ?

Posté en tant qu’invité par Bubu:

C’est la cotation toponeige.

Posté en tant qu’invité par laurent 65:

boujour les enfants, signè j-c killy

Posté en tant qu’invité par Toutoune:

Faux, JC.K sait ecrire.

C’est tout bon…

laurent 65 a écrit:

boujour les enfants, signè j-c killy

Posté en tant qu’invité par heron:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

à 3 ans avec mes parents, Mercredi, Samedi , et dimanche. Sur la piste jusqu’a 10 ans et apres de la rando.

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

stage de pente raide

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir de la descente ?

50 %

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu, compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

900 voir 1000 m/h

Posté en tant qu’invité par Jean-Francois:

marmouset a écrit:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

En 1995, a 25ans, en arrivant a Grenoble. Inscription au GUC, direction les 2Alpes seul ou entre amis. J’ai acquis la-bas tous mes defauts: trop en arriere, pas assez face a la pente, … :slight_smile:

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un
    guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

J’ai essaye l’UCPA en station , sans resultats. J’essaie de relever le niveau de mes courses (3.3, 4.1)

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?

Disons 60%. Je privilegie aujourd’hui les courses conviviales entre amis, ainsi que le cadre. Je pense que le plaisir de la descente vient surtout de la qualite de la neige, plus que de ma propre technique. Quitte a faire des progres, je prefererais progresser en nivologie, pour chopper la bonne transfo au bon moment, ou bien sentir ou toucher de la peuf en toute securite, alors que tout le monde skie de la croute…

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu,
compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

Randonneur du dimanche, 20aine de sorties par an, a l’aise dans le 3.x

Posté en tant qu’invité par Lutin:

Compétiteur de 40 balais,
j’ai appris à l’age de 5 ans, je pense que l’on progresse toujours en observant de près les bons, le plaisir à la descente 20% comparé au plaisir de la montée et des longues distances 80%

Posté en tant qu’invité par marmouset:

Bonjour,
Tout d’abord merci de vos réponses, je trouve ça sympa de savoir comment les gens ont débuté, par quelle porte ils sont entrés (ancien skieur de pistes, qui les fréquente encore ou non, randonneur assidu l’été qui s’est dit qu’il prolongerait bien le plaisir l’hiver…)
On croise, me semble-t-il de plus en plus de monde en ski de rando alors j’avais envie de savoir comment chacun en était « arrivé là ». N’hésiter pas à donner des informations qui peuvent sortir un peu mes questions.
Petite précision par rapport à la question 3 : le plaisir de la descente dépend effectivement beaucoup du type de neige, de la météo… Je voulais surtout savoir la place qu’occupe la descente dans votre choix de randonnée, en sachant bien sûre qu’on peut faire des exceptions…
A plus