Sondage apprentissage ski

Posté en tant qu’invité par Yvan:

Salut,

1: mon papa m’a appris dès l’âge de 4ans. Pour les descente de skirando ben j’me suis lancer et ça vas plutôt bien.

2: + de pratique, il me faut des kilomètres…

3: 50%

Je vais rester modeste disons que je suis assez bon et que j’aime les couloirs à 40-45° !

Bon ski à tous.

Posté en tant qu’invité par Yvan:

Ben de mon coté comme j’ai commencer l’alpinisme deux ans avant je me suis dis que le skirando serai un bmeilleur compromis pour la forme physique que d’aller tout les week-end en station de ski ! Alors je me suis mis au skirando, voilà…

Et franchement c’est 100 fois mieux car tu profite bien plus de la descente en y’a beaucoup moin de monde, en partant tôt, ce qui est mon cas.

Demain par exemple je vais me lever à 3h30-4h du matin.

Bonne glisse à tous pour demain et pas de folie !

Posté en tant qu’invité par jc/d2p:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

ski : 26 ans - Surf : 33 ans ; surf hors piste très rapidement (en ski c’était pas ça…avec le matos d’époque) et surf de rando dans la foulée ;
J’avais dit que je toucherais plus à 1 paire de ski, mais je viens de me mettre au ski de rando…Un peu par contrainte, un peu par raison…Mais pas par passion : la passion, c’est le surf !

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un
    guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

Bon, en surf ça va… :wink:
En ski ça va pas trop…Heureusement, le niveau des skieurs de rando est faible, en général, s’entend…Je vais m’améliorer en FAISANT du ski déjà (avec le matos de rando!), …(ça marcherait, d’ailleurs…)

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?

en surf ?..Entre 80 et 99,9 %…
en ski ? Très variable…mettons que je vise le 50 % : Le pourcentage peut monter en fonction de la qualité de la neige (même pour un mauvais skieur comme moi), jusqu’au stade où le pourcentage se fige du regret de n’avoir pas un surf :wink:
Par contre, le pourcentage peut descendre également…Vous n’avez peut-être pas remarqué qu’il est fatiguant de skier à la descente, chose inconnue en surf (mais proportionnellement inverse à la montée…)

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif

plus que randonneur du dimanche, mais moins que randonneur assidu, (faute d’éloignement…)

Posté en tant qu’invité par Laure:

  1. Ai débuté avec un de mes exs à 25 ans. Belle volonté de son côté, mais une vraie cata du mien! Ensuite reprise à fond seule ou avec des amis très bon skieurs, mais sur piste seulement. Amélioration lente mais régulière. Maîtrise atteinte en 5 bonnes saisons.
    Me suis mise au ski de rando il y a 5 ans, mais pas beaucoup de courses à mon actif (avec interruption de 2 ans pour cause de voyage). En tout une vingtaine. Mais enfin, après cette saison, je descends sans peur avec un peu de style. Il faut s’accrocher, vraiment, quand on apprend à skier adulte.

  2. Ai pris cette année un cours hors-piste avec un guide/moniteur. Ce jour-là, 70cm de poudre extra légère. Un vrai rêve!!! Je referais chaque année un cours.
    Ai découvert la technique du virage par abaissement (au lieu de par extension). Depuis je maîtrise bcp mieux mes skis, ma vitesse et donc ma trajectoire.
    Ai investi dans des skis très lourds (5.9kg skis+fixs) pour le ski de rando, mais hyper rassurants!

  3. Importance énorme, puisqu’avant je n’avais aucun plaisir. J’étais crispée tout du long. A la dernière course, enfin c’est venu.

Posté en tant qu’invité par Lucio:

marmouset a écrit:

  1. Où, quand, comment avez-vous appris à skier ?

Ski de piste à Samoëns (74), vers l’âge de 13 ans (j’en ai 27). Il s’agissait de cours avec un moniteur, pendant 4 petites journées (en fait 5, mais j’avais les pieds en sang au soir du 4e jour). Je me débrouillai plutôt bien, puisque j’ai rapidement changé de groupe. Piste rouge le 4e jour, waouh ! Les noires, c’était l’Everest…

2001-2003, loin des montagnes, je me débrouille pour refaire un peu de piste avec des copains (3 semaines environ). Depuis que je suis à Grenoble, c’est entre 0 et 1 jour de piste par an (tendance 0). Je dois avoir fait un mois de ski de piste tout cumulé.

Débuts en ski de rando par un raid dans le Queyras, fin avril 2002 : pas de neige ou neige croûtée, 25kg à porter… Programme démesuré (organisation maison) => c’est le but. J’aurais pu m’arrêter là. Mars 2003, cime de la Jasse en moquette, servie sur un plateau (avec un groupe) : « Ah ouais, les conditions de neige, tout çaaaaaaaa. » Depuis, je fais de plus en plus de ski de rando, au détriment de l’alpi. 18000 en 2003/2004 (4.1max) ; 44000 en 2004/2005 (4.1max) ; 60000 en 2005/2006 (5.1max) ; 20000 (?) en 2006/2007 (5.2max). Tout ça en autonomie, souvent loin des classiques. J’ai débuté le ski pour pouvoir parcourir la montagne en dehors de l’été ; maintenant, je suis accro au plaisir de la descente.

  1. Que serriez-vous près à faire pour vous améliorer (pour ceux
    qui estiment en avoir besoin) : stage du CAF, stage avec un
    guide, cours de ski avec un moniteur, conseils d’amis … ?

Conseils d’ami (l’idéal) ou journée « hors-piste » avec un guide-moniteur (le truc qui marche en pratique). Une journée doit suffire pour connaître ses défauts et se faire expliquer la bonne méthode. Ensuite, y a plus qu’à bosser.

  1. Quelle importance (en pourcentage) accordez-vous au plaisir
    de la descente ?

Très important. En général, je monte pour descendre. Une rando idéale, c’est : montée alpi facile (AD+), descente raide mais pas trop sinon y a plus de plaisir (<5.3 jusqu’à nouvel ordre), pas trop expo au regard de la difficulté ski (E2max si 5.x, E3max si 4.x), itinéraire esthétique et skiant, en super conditions de neige, pas tracé ni à la montée, ni à la descente, sauvage, en haute-montagne. C’est bien s’il y a quelque chose d’original (itinéraire rarement réalisé, ou ouverture - le top). Trouver les conditions idéales est un jeu auquel j’ai pris goût, c’est pour moi un critère plus important que la couleur du sommet. Pas question d’ouvrir pour ouvrir, ou de faire un sommet coûte que coûte, le jeu consiste aussi à y être le jour idéal.

Il serait évidement intéressant de préciser votre niveau
approximatif (randonneur du dimanche, randonneur assidu,
compétiteur). Les témoiganges de tous m’interessent.

Skieur-alpiniste assidu. Environ 150.000 au compteur. Ai fait des 5.2 au taquet. A l’aise dans le 4.3 mais encore très dépendant de la qualité des neiges rencontrées (déteste les neiges dures et les neiges plaquées). Pense pouvoir m’améliorer dans la poudre dense et dans le raide avec des skis plus larges et plus courts. Ai stagné dans ma progression suite à une petite chute sans conséquence en février 2006. Depuis, je manque d’assurance quand c’est expo ou en neige dure. Je pense être plus à l’aise dans un 5.2E2 que dans un 4.3E4. L’expo est pour moi le critère numéro 1 pour ce qui est du sérieux de la course. Moins c’est expo et mieux je skie.