[Sondage]A Quel age pratique t-on le Terrain D'aventure?

Salut

Un petit sondage juste pour avoir une idée!
Si vous ne pratiquer mais que vous avez envie de pratiquer n’hésitez pas à répondre.
Par contre pas de débat polémique sans queue ni tête sur l’éternel question, merci…
Bye

J’ai voté blanc car on pratique à tout âge.

[quote=« unCplus, id: 984013, post:2, topic:95965 »][/quote]
c’est sur, mais le but de la question c’est de voir en "tres"gros la répartition en tranches d’ages de grimpeur en ta. Donc cette question est individuelle.

Posté en tant qu’invité par expapa:

Je pense qu’on en pratique moins quand on devient papa/maman (donc vers les 30-40ans).

Posté en tant qu’invité par cailloux:

euh…on fait comment pr voter?
désolé, fallait que je la pose

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Mais a contrario, on pratique plus aisément l’alpinisme et le TA l’expérience venant, c’est à dire vers 30 /40ans!

Un citadin commence souvent par la SAE, puis la falaise en couennes sportives…
ensuite, prenant de l’assurance, il grimpe en voies de montagne aux points plus éloignés et progressivement, il prend goût au TA.

J’ai commencé l’escalade quand Maman était enceinte . Puis j’en fait depuis mon plus jeune age jusqu’a 16 ans ( au rythme de 2 à 3 sortie pas ans )
A 16 ans j’ai commencé a beaucoup grimper , ma première voie en terrain d’av c’est le Grand Dièdre au Canigou ( Barbet ) . j’avais 16ans :] , C’est ce que je prefer le terrain d’aventure , j’ai maintenant 19 ans et le Grand Dièdre reste ma plus belle voie ! ( Avec la voie Amédée Mazas au Caroux :stuck_out_tongue: )

[quote=« cailloux, id: 984114, post:5, topic:95965 »]euh…on fait comment pr voter?
désolé, fallait que je la pose[/quote]
C’est toi, donc, 60 ans et+?

21 ans, c’est mon style d’escalade préferé (en second la grande voie et en troisieme… le bloc!)
J’apprécie cette sensation d’autonomie, ce sentiment « d’aventure » de ne pas etre sur un chemin tracé mais sur un itineraire que l’on doit chercher, on doit plus reflechir, aux protections, au passage le plus simple… guetter les arbres au dessus pour d’éventuels relais…

Posté en tant qu’invité par la baltringue:

oui mais à quel age fait on du vrai TA, celui où tout est à faire, où rien n’est en place, où il y a pas d’arbres, pas de bon vieux pitons rouillés ? C’est la question qui interpelle le peuple !! parce que faire du TATA de fiottes, celui des classiques surpitonnées des préalpes, c’est à la portée de n’importe quelle baltringue venue

Posté en tant qu’invité par Riccardo Cassin:

On dirait une question à la antoine2b !

Ouaip, je suis d’accord avec toi pour les pitons, quand il y en a beaucoup, c’est une voie équipée. Je prefere parler de voies équipées, partiellement, equipement vetuse, ou carrement voie où il ne faut surtout pas compter sur l’équipement en place (qui serait à priori le vrai TA!)

Mais pour les arbres, je ne pige pas! Ce n’est pas un arbre faisant office de relais qui caracterise une voie équipée!!

Et faire une voie integralement non équipée n’est pas forcement synonyme d’engagement: par exemple certaines voies en Corse (attention: c’est très loin d’etre systematiquement le cas, surtout là bas!!!) n’ont aucun equipement en place, et se protegent parfaitement grace aux taffonis.

Pour moi le caractere d’une voie « TA » dépend énormément du site. On a fait une voie pas équipée à Riglos,on ne recommencera pas. Là, il vaut mieux avoir une bonne dizaine d’années d’experience derriere soi!!!

On est d’accord, le TA dont on parle, c’est le P4 ou P3, c’est à dire rien ou très peu de chose même dans le difficile.

on est d’accord !

[quote=« fredddo, id: 984023, post:3, topic:95965 »]

[quote=« unCplus, id: 984013, post:2, topic:95965 »][/quote]
c’est sur, mais le but de la question c’est de voir en "tres"gros la répartition en tranches d’ages de grimpeur en ta. Donc cette question est individuelle.[/quote]

Oups, désolé.

Bravo les minots, ne lachez rien et les vieux bougez vous un peu le cul!

J’ai commencé pratiquement en même temps que l’escalade vers 32/33 ans, et je continue toujours à l’occasion à bientôt 65 !
Disons qu’à l’époque la distinction TA/escalade sportive n’était pas tranchée comme aujourd’hui, et que l’apprentissage de l’autonomie en escalade comportait assez naturellement la vérification et le cas échéant le placement des points d’assurance. J’ai du acheter mes premiers pitons pour équiper un « rocher d’escalade » le premier été de grimpe.