C’est uniquement pour l’info! Je ne suis pas partisan de ces méthodes. Dans l’époque j’ai vu d’autres avec Reverso ou autre style ATC. L’auteur fait aussi la référence au système Barnett.
La doc est téléchargeable.
Auto-assurance par le bas : une méthode efficace pour grimper en solo - PDF Free Download
Solo avec la plaquette Gigi de Kong
Ce n’est vraiment pas fluide la progression avec ces appareils (plaquettes, tubes). C’est vraiment pour dépanner, ça reste à connaître « au cas où … ».
C’est un peu ça, ça craint! Récemment quelqu’un a parlé du solo avec le « huit ». Et pourtant l’auteur parle au début du système Barnett.
Le monde n’est pas binaire, ni exclusif.
Pour rester dans le sujet : il est tout à fait possible de parler d’un système et de l’utiliser, puis de parler d’un autre système, sans l’utiliser (ou uniquement à la marge, pour essayer). Tout comme il est possible qu’on ait eu à utiliser différentes techniques de solo pour des raisons très diverses et personnelles, ce n’est pas jugeable d’un point de vue extérieur.
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Certainement, mais pourquoi pas ne pas utiliser un système qui a fait ses preuves? Malgré que dans les années 80 il y avait deux chutes importantes en Yosemite. Le victimes racontaient qu’il ont utilisé Barnett de façon inappropriée.
ps. Dans le Barnett le noeud avec la cordelette de 7mm c’est le danger. Il vaut mieux utiliser la corde de mm, mais « bricolée ». La corde est très souple et freine de suite. Je l’ai testé à la Carrière de Puiselet près de Némours!
Un exemple. Tu grimpes avec quelqu’un en montagne. Ce quelqu’un ne peut plus t’assurer pour diverse raison, et est dans l’impossibilité de redescendre, et par un malheureux concours de circonstances tu ne peux pas contacter de secours. Le sort s’acharne. Comme option tu peux continuer à grimper pour redescendre et contacter un secours. Seul, sans le matos approprié (Barnett ou Silent Partner par ex) donc tu fais avec ce que tu possèdes sur place sur ton baudrier.
C’est assez improbable comme situation à Chamonix, mais ailleurs ça peut s’envisager.
Oui dans ce cas. Mais parfois il faut faire ce qu’on pet faire. En 1978 j’étais sur pilier Gervasutti au Tacul, avec une fille (gui était rapide) et deux moniteurs qui avançaient comme les chars russes en Ukraine. Il nous suivaient à peine. Ils se sont fait dépasser par les autres cordées et ont pris les pierres. Ave deux blessés il y avait une seule solution: laisser la corde pour qui puisent monter avec les jumars. J’ai spidé comme un fou en tête, pratiquement sans assurance. c’était la solution pour éviter un bivouac. Plus tard ils m’ont dénoncé dans le club pour « le solo intégral ».
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Comme quoi les moniteurs
même au ghm
ne sont pas forcément les plus forts !
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Ils on pris de l’âge