Posté en tant qu’invité par gaston:
Nicolas a écrit:
L’appelation « ski de montagne » aurait au moins le mérite de
marquer qu’entre les pylônes d’une station de ski, on n’est pas
vraiment en montagne…
On est en station, mais en station … « de montagne ».
Explique au Maire de Tignes (2100m) que sa station n’est pas en montagne et que le ski à Tignes n’est pas du ski de montagne !
Franchement, ski de montagne, je trouve celà ridicule
Je me souviens d’un bouquin intitulé : SKI SAUVAGE (comme « l’eau sauvage » de Cardin ?)
C’était un peu racoleur quand même.
Celle de « ski de randonnée » me va quand même mieux, car le
terrain - et, au moins en partie, l’objectif de promenade - est
le même que celui de la randonnée à pieds, avec ski-alpinisme
pour les trucs les plus raides.
Je partage ton appréciation. Ce que l’on a nommé « ski-extrême » correspond à de l’alpinisme.
Et il faut reconnaitre que le ski de rando est une activité
minoritaire au sein des skis pratiqués en montagne (ski de
pingouin heuuuu pardon de piste, puis de fond, puis de rando je
pense?).
Là où je m’élèverais un peu plus, c’est contre l’application de
« ski-alpinisme » au ski de rando de compète, au terrain
probablement trop aseptisé pour être qualifié d’alpinisme, même
si ça fait vendre.
Quelques parcours exigent le piolet-crampons, et l’évolution sur mains courantes. Mais ce n’est pas de l’alpinisme, je suis d’accord avec toi.
C’est tout simplement une « course de ski de randonnée ».
Soyons objectifs : on devrait parler de « ski-rando de compétition ». Point-barre.