Ski de rando avec approche vélo

Ça, ce sont les cadors. Sans compter tous les anonymes, les petits, les obscurs, les sans-grades.

Sais tu au moins de quoi tu parles ? :roll_eyes:

:hear_no_evil: :see_no_evil: :speaking_head:

[modéré : agressivité inutile]

Open your mind : « mobilité : faut-il ralentir pour être heureux ? »

[Edit modération : allusion à une phrase modérée]

Je pense qu’il faut faire preuve de mesure en toutes choses et ne jamais jeter le bébé avec l’eau du bain.
Il y aura toujours un écart important entre ce que peuvent faire quelques personnes dans des conditions bien particulières (expé lointaine, semaine de congés par ex. ) et les possibilités offertes au plus grand nombre ; ni les unes ni les autres ne reflètent les conditions ordinaires.
Pour la majorité d’entre-nous, se rendre sur son lieu de loisir le plus rapidement et le plus commodément selon les moyens accessibles, reste la règle tout comme la mobilité douce l’exception (pour le moment seulement).

De mon point de vue l’exemple montre effectivement « qu’il est possible de » !
Ce serait dommage et contre productif de stigmatiser les uns ou les autres au nom d’une doctrine en particulier et pareil pour la consommation de produits et de biens d’équipement. D’où ma remarque « balayer devant sa porte » avant de critiquer un vol de 2157 km pour rejoindre Clyde River.

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Ben pour l’avoir pratiqué (par obligation il y a longtemps en tant qu’étudiant et aussi pour le fun plus récemment), il y a n’y pas que le mental qui joue -))) On peut même se programmer un parcours ensemble vélo+ski si tu le souhaites (histoire de voir si les barrières ne sont que mentales), l’expérience est géniale, mais restera anecdotique.

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C’est jouable avec des TC conçus pour, et des voitures électriques en autopartage, surtout si le façon de travailler devient encore plus flexible (histoire d’étaler la frequentation sur la semaine).

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et donc la liste de @Robertin te semble juste ? Je n’ai pas dit que tout était faux (il a fallu ramer pour revenir sur le fond) mais il charge la barque.

logistique, flexibilité du travail… c’est dans la liste. No Way. 2, 3 sorties par an :wink:

==> Pour être clair, la façon dont ça a été présenter, en stigmatisant le vélo-ski, tend surtout à dire qu’il ne faut/ qu’on ne peut rien changer puisque tout devient une barrière. Ca, ça me fait bondir.

Ben c’est pas déconnant, un peu comme quand je relis mes 2 lieux de vie à vélo, la logistique fait que c’est anecdotique, …
Tu peux me MP si tu veux faire une sortie de ski de rando (voire GV) avec ces conditions genre 200km A/R velo + 1200m ski. Tu verras qu’il va falloir sacrément aligner les planètes, mais je persiste à dire que l’expérience est géniale, et c’est pas si simple de convaincre de le faire en vrai et pas que sur C2C !

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Très pessimiste je pense. Même avec les TC françaises qui sont vraiment pas géniales, tu peux en faire beaucoup plus, c’est juste un peu dur de changer de destination.

Tu est libre de bondir, mais le sous-entendu de ce que tu dis, c’est qu’il faut effectivement arrêter de pratiquer la montagne. Pas étonnant que ça déplaise sur un forum de… euh… montagne.

BRA, météo, gardiennage me semble largement fantasmé.
Condition physique, forcément, mais pour le ski aussi un minimum de condition est nécessaire
Hébergement, très vrai, mais parait que l’accueil en montagne doit se réinventer
Congés, oui, c’est bien de décoller le vendredi après midi mais pourquoi posé nécessairement au dernier moment.

Je pratique en utilisant au mieux les TC donc les 200km A/R c’est pas vraiment le cas. 6500m de D+ en ski sur janvier/février réalisé avec approche en vélo depuis une gare :man_shrugging:

Non, ce que je dis c’est qu’il faut pratiquer autrement en réduisant l’usage de la voiture. Donc oui les séjours plus longs en voiture : avec problème d’hébergement, problèmes de météo nivo apparemment, ça joue aussi. Et en TC : la logistique.
Si on ne veut pas être confronté à tout ça, c’est un argumentaire TINA « drill drill baby drill ». Rien ne remplacera le confort qu’apporte la voiture.

Seule la voiture depuis la maison permet de s’affranchir de cette contrainte.

Enfin bon, pratiquer en limitant l’usage de la voiture te semble plus dans tes cordes ?

(message supprimé par son auteur, sera supprimé automatiquement dans 100 heures à moins qu’il ne soit signalé)

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Tu me permettras donc de penser que je n’étais pas tant que ça hors cadre quant à la portée de ta réponse, et que tes drivers méritent également d’être interrogés :wink:

Y’a des pays où ça marche très bien. C’est pas le même confort, mais ça permet de faire des itinéraires linéaires, et de boire des bières au retour. Quelques petites navettes, avec une remorque ou similaire pour le matériel, qui partent vers les départs les plus populaires le weekend (où même toute la semaine), ça serait très populaire, pas particulièrement cher, et assez pratique. Faut juste des horaires adaptés, c.a.d. tôt le matin, et retour assez tard le soir, et on pourrait même emménager un peu les parkings pour ceux qui rentrent plus tôt que prévu de leur balade.

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(message supprimé par son auteur, sera supprimé automatiquement dans 100 heures à moins qu’il ne soit signalé)

[modéré : agressivité inutile]

La critique du vol pour rejoindre Clyde River n’est restée qu’au stade de l’hypothèse… pas celle du veloski dont pourtant personne n’a invoqué l’aspect généralisable.

et moi pas davantage, comme je l’ai écrit : (ci-dessous)

Enfin le fait de pratiquer le véloski ne te donne aucune légitimité pour critiquer de manière aussi péremptoire et irrespectueuse l’avis d’autres pratiquants, simplement au motif qu’ils soulèvent à juste raison des éléments réalistes qui constituent pour eux des freins quant à leurs situations ou leurs possibilités. Si u veux être prosélyte, ce n’est pas en proférant à tes interlocuteurs qu’ils ont des barrières que tu feras la promotion de cette pratique.
Chacun dans son pré et les vaches seront bien gardées.

Sauf que la majorité des freins que tu soulèves ne sont pas propres au véloski mais présents dès qu’on envisage de réduire l’usage de la voiture.

D’autre part inutile de me prêter de quelconque intention de prosélytisme (je n’ai rien dit de tel). Quand à mon expérience, il me semble quand même que ça me donne une petite légitimité quant aux éléments réalistes de la pratique par rapport à quelqu’un qui n’a jamais essayé.

Précisément :wink:


A bon, ça ne fait pas parti de tes attaques - pour le coup sur le fond - par rapport à la pratique ? J’ai du mal lire. L’extrémisme rend aveugle :wink:

J’ai quand même l’impression que le vélo ski est un peu particulier non ? (fort dénivelé + charge, contrainte horaire pour la sécurité vis à vis de la neige, nuit, état de la route…) Je vois un grand nombre de personnes qui ont abandonné la voiture pour aller au boulot, faire ses courses, emmener les enfants en carioles…et qui ont donc levé ces freins et réduis l’usage de la voiture , mais qui prennent la voiture pour aller skier (sauf cas anecdotique).

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Parce que tu veux substituer un usage « classique » de la voiture pour la pratique du ski par le vélo. Si tu envisages l’étape intermédiaire de réduction de l’usage de la voiture, il me semble que les réponses font que tes remarques liées à l’horaire n’existent plus.

C’est peut être d’autant plus prégnant que tu habites « loin ». Réduire la voiture, c’est partir pour le WE et pas pour la journée.
L’étape au refuge, c’est ce qu’on fait tous en alpi, c’est donc pas inimaginable.

Après oui, l’idéal serait un réseau d’hébergements et de tc développés. J’ai peur qu’en France ça relève du rêve.

Ok tu as raison -)
Un poil d’organisation et peu de sophrologie et l’approche vélo avec matos de bivouac (hiver) + matos de ski ça va passer crème…en tout cas de beaux projets en perspectives ! Je ne doute pas que ce sont de belles expériences/aventures, mais je doute que cela devienne la norme chez les pratiquants réguliers.
Qui vivra verra !

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