Carrément.
C’est toujours facile de prendre les bonnes décisions après coup avec tous les paramètres connus… Sans parler du possible choix (je dis pas que c’était leur état d’esprit) du « sommet à tout prix » (voir le film « On a marché sur la Lune » où Steck parle de ça).
Et facile aussi de comparer des choses pas forcément comparables. Ici, c’est un 8000, en hiver, à deux seulement, très légers, libres d’engagement particulier l’un envers l’autre, etc… C’est un peu différent de la première de l’Annapurna citée avant où il y avait un peu plus de personnes en soutien, de Rob Hall qui est avec un client, de Desmaison à 4000 m, etc…
Pas sûr que ce soit un histoire d’époque. Les polonais ont bien été chercher Eli, Steck est bien resté avec Ochoa, etc… Et à contrario, je sais pas ce que pensait Bonnati de la notion de cordée au K2, etc…