RIP, Tomek, ô conquérant de l’inutile !
Je ne connaissais pas ton nom avant janvier 2018… Aujourd’hui, tu es seul dans un linceul de glace. Tu étais papa, je le suis aussi.
Et je ne comprendrais jamais ta décision de partir et de les laisser pour prendre de tels risques.
Tu as vécu ta passion à fond, sans doute, mais tu ne t’es pas brûlé les ailes, tu te les es gelées.
Salue Lafaille, Chamoux et tous les autres pour nous !
Courage à toi, Elisabeth, qui vis dans le village où j’ai grandi. Tiens-toi loin des critiques qui vont pleuvoir, des jugements hâtifs et creux de ceux qui se croient au-dessus de toi.
Quoi que tu dises, quoi que tu fasses, tu seras regardée.
Soigne-toi, récupère doucement, sois forte dans le corps et l’esprit.
Et malgré tout, félicitations pour cette première féminine hivernale sur la « Montagne tueuse ». Le prix de la réussite est cher, en valait-ce vraiment la peine ?