Posté en tant qu’invité par Leon:
Bonjour.
Qui possède des infos sur l’etat du deneigement et jusqu’ou on peut monter?
Merci.
Posté en tant qu’invité par Leon:
Bonjour.
Qui possède des infos sur l’etat du deneigement et jusqu’ou on peut monter?
Merci.
Posté en tant qu’invité par thomas:
En gros, c’est la même question que celle que j’ai posé précédemment.
A priori, les topo neige volopresse indiquent que la route est dégagé à partir de mi avril jusqu’au pont des sauces…
Mais pas d’info de skieurs ayant randonné dans le coin récemment.
Posté en tant qu’invité par l’Urbain:
Juste pour corriger la faute…
Le WE dernier, le beaufortain était encore bien enneigé (pas loin au dessus d’Arêche). Dans ce cas là, le plus rapide est peut-être de passer par la route du col du pré, déneigée jusqu’à Boudin.
Posté en tant qu’invité par thomas:
Je confirme. La route est enneigée.
Par contre, EDF fait dégager la route jusqu’au barrage cette semaine.
Idem côté St guerin, la route est encore bloquée au Mappa
Posté en tant qu’invité par dahu:
ça s’ecrit ARÊCHES!!!
Posté en tant qu’invité par davideuf:
a ce jour la route est toujours fermée à partir de 1300 m,mais ils sont entrain de l’ouvrir.
peut etre pour ce week end
Posté en tant qu’invité par Anne-Sophie:
Si c’est depuis Bourg st Maurice ,
j’y suis allée vendredi dernier route fermée depuis Bonneval-sur-arc , malgré tout , j’ai continué avec mon véhicule , pas bien loin…car chute d’énormes blocs de rochers…je me suis rabattue sur col du grand fond , secteur refuge Presset , Pierra-menta…comme tu as pu le lire excellentes conditions ds le beaufortain , à condition de savoir y trouver l’accés…
Bonne course
Posté en tant qu’invité par Stephanie:
La route sera dégagée le 12 mai (message de la dde savoie), jusqu’aux Chapieux, voire plus loin selon l’enneigement
Posté en tant qu’invité par J-P:
Anne-Sophie a écrit:
Si c’est depuis Bourg st Maurice ,
j’y suis allée vendredi dernier route fermée depuis
Bonneval-sur-arc ,
Il s’agit de BONNEVAL tout court, sans arc et ans flèches!!!
Posté en tant qu’invité par pma:
J’étais aux Grandes Aiguilles depuis Versoye aujourdhui, du sommet on voit bien la route du cormet de Roselend: c’est encore bien enneigé, pas de trace de déneigement!!!
Posté en tant qu’invité par henneger:
J’étais aux Grandes Aiguilles depuis Versoye aujourdhui, du
sommet on voit bien la route du cormet de Roselend: c’est
encore bien enneigé, pas de trace de déneigement!!!
bonjour.
Pourrais-tu me dire s’il y a beaucoup de portage pour les grandes aiguilles depuis versoye ?
Merci d’avance.
Nic
Posté en tant qu’invité par Rat des pâquerettes:
Attention : trop de voitures = pollution. Trop de vitesse = pollution.
Inutile de passer plus de 2 heures en voiture (aller-retour) pour marcher 4 heures. Faire plus près de chez soi, c’est le bon sens.
Cordialement.
Posté en tant qu’invité par hiatus:
Et faire toujours la même chose, on appel ça comment?
Ne parlons pas de ceux qui habitent à plus d’une heure des montagnes; ceux la n’ont pas le droit de la pratiquer.
très cordialement.
Posté en tant qu’invité par Paul G:
D’accord avec toi que la voiture pollue, Rat des Paquerettes.
Mais si on aime la montagne, et qu’on habite à 1h30 de celle-ci, on fait comment ?
Nous, on choisit le covoiturage, en essayant d’être 3, 4 ou 5 dans la voiture. Mais je ne me vois pas renoncer à ma passion.
Posté en tant qu’invité par pma:
On a porté jusque 1760m environ et on a garé la voiture à 1650m
(désolé pour le retard!)
Posté en tant qu’invité par pma:
C’est n’importe quoi!
A côté de chez moi(en Chartreuse) il n’ ya plus de neige, alors je n’ai plus le droit de faire du ski?
Posté en tant qu’invité par Rat des Pâquerettes:
Oui, les rats des villes ont tout à fait raison, la montagne c’est comme les routes : c’est pas fait pour les chiens. Liberté : laissez-nous circuler, nous avons le DROIT. Le droit de payer nos impôts pour déneiger les routes et les enrober ; le droit de brûler des énergies fossiles avec nos belles voitures (à la montée, nous ne l’avons pas volé le carburant ), lâcher de l’amiante à chaque virage (à la descente, où il faut bien freiner, nous les avons payées les plaquettes), toute cette dépense vaut bien quelques calories en moins dans un décor sublime. Nous avons le droit pour nous, puisque nous avons l’argent.
Le réchauffement de la planète ? C’est bon pour les colloques. Qu’est-ce que ça pèse par rapport à moi, ma passion, mon plaisir de glisser sur la neige avec ma voiture pas trop loin sur la route ?
Si je signalais que la route était dangereuse, c’était parce que je suis monté là-haut l’autre jour avec mon 4X4 urbain, plein pot sur l’autoroute, et le temps de faire ma randonnée chérie, des crétins n’avait rien trouvé de mieux que de crever mes 4 pneus. Signé : les dégonflés.
Donc un conseil : planquez vos voitures quand vous dépassez le Méraillet, ou prenez les avec vos portables.
Posté en tant qu’invité par Rat des Pâquerettes:
« Si on aime la montagne, et qu’on habite à 1h30 de celle-ci, on fait comment ? »
C’est la bonne question, Paul, et vous avez eu la politesse de la poser.
À ma connaissance, une des moins mauvaises solutions est celle que vous avez mise en oeuvre par le co-voiturage. Mais je reste convaincu du principe : « penser globalement, agir localement ». S’il n’y a pas de neige dans les parages, on peut la chercher ensemble, ou y renoncer. Si j’avais la passion de la mer, je n’habiterais pas en montagne. Et si j’habite en montagne, c’est un choix - que je ne recommande à personne : c’est un choix. Mais je ne vais pas chercher midi à quatorze heures : j’adore les Ecrins, mais deux heures de route aller, deux heures retour, c’est idiot - sauf exception. On ne peut pas demander chaque semaine, ni même chaque mois, une sortie exceptionnelle. Le luxe, quoi.
Sur ce, je vous souhaite la bonne montagne !
Paul avait écrit:
D’accord avec toi que la voiture pollue, Rat des Paquerettes.
Mais si on aime la montagne, et qu’on habite à 1h30 de
celle-ci, on fait comment ?Nous, on choisit le covoiturage, en essayant d’être 3, 4 ou 5
dans la voiture. Mais je ne me vois pas renoncer à ma passion.
Posté en tant qu’invité par Rat des Pâquerettes:
Il y a effectivement un hiatus à « pratiquer » la montagne si on n’y habite pas. Sauf exception. Le beurre, l’argent du beurre et la fermière, c’est trois délices qu’on aimerait avoir ensemble dans son lit, seulement le ski de randonnée dans son lit, c’est comme le voyage autour de ma chambre du brave Savoyard de Maistre : une rareté.
Quant à faire toujours la même chose, je n’y crois que dans les « Temps modernes » de Chaplin, parce que le reste du temps (je ne parle pas des 35 heures), il suffit de prendre le vert près de chez soi pour comprendre Héraclite : « on ne se baigne pas deux fois dans le même fleuve ». D’une journée à l’autre, d’une saison l’autre, tout change. La routine est n’est qu’un sentiment, lié à l’ennui, mais le sentiment même de ceux qui ne ressentent rien. Sentir, sentir, tout est là. Le reste sent à plein nez l’égoïsme des enfants gâtés.
Cela dit, Hiatus, je comprends votre colère.
Posté en tant qu’invité par Miréio:
ah oui, c’est vrai ça : et toi, qu’est-ce que tu fais encore avec le beurre dans le lit ?