Retour proba AMM Ain 2006

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Agnès a écrit:

car encore peu
d’AMM font des sorties raquettes en hiver (ou du moins, ce
n’est pas forcément leur activité principale, contrairement à
l’été).

Là je pense que tu te trompes.

Posté en tant qu’invité par Agnès:

Je précise alors : dans les Hautes-Alpes, là où nous avaons eu des données chiffrées sur ces questions au mois de décembre dernier, au cours de notre formation.
Tu peux ne pas être d’accord (histoire de débattre interminablement) mais c’est comme ça dans le 05. Je n’y peux rien !

Posté en tant qu’invité par steph09:

En tout cas, en Ariège, je peux te dire que nous avons plus de facilité à trouver des clients en hiver. Ils recherchent avant tout la sécurité car la neige fait peur… Et l’on fait très peu de raids (peut-être qu’on est pas bon pour trouver ces clients…) et beaucoup de sorties « découverte » à la 1/2 journée.
En été, la demande est effectivement plus axée sur des connaissances spécifiques liées au milieu montagnard (pas seulement naturalistes d’ailleurs). Les séjours sont plus nombreux et c’est alors la sécurité et la logistique qui sont mis en avant pour partir avec un AMM…
Quant au proba, la CO est devenue très importante car les candidats ont (en tout cas dans les Pyrénées) de moins en moins d’expérience de la montagne. Gestion du stress et orientation sont donc deux critères fondamentaux. Les connaissances viennent après. On apprend d’ailleurs ce métier (comme pour la majorité des métiers) avec le temps et les encadrements. Et puis ce qui est primordial est si peu enseigné, c’est ce qui représente 90% du temps de l’AMM (comme pour un intermittent!) : gestion, mise en réseau, connaissance des institutionnels et des autres professionnels du tourisme en montagne, gestion de la pluriactivité…

En tout cas, bon courage aux nouveaux et aux futurs AMM. Les meilleurs s’en sortiront… comme ailleurs!

Stéphane

Posté en tant qu’invité par pascal:

t’as comparé les AMM à des intermittent??? honte à toi!! :-)))

Posté en tant qu’invité par altitude:

moi, je pense que plus encore les connaissances naturalistes, ce qui compte c’est la manière de les transmettre, de sensibiliser le public. de toute façon, pour les connaissances, on en apprendra toute notre vie.