C’est surtout le nombre d’ascensions victorieuses qui me paraît bas. 298?
Retour en Himalaya pour Marc Batard
En même temps, c’est l’Annapurna… pas l’Everest aux chiffres autrement plus importants à mon avis…
Ah oups oui j’ai lu trop vite je faisais la confusion avec l’Everest 
uniquement pour l’ascension , pour le Trek du CB face nord cela ne se bouscule pas à contrario du CB face sud
La tentative à l’Everest a démarré !
Deux fils de discussion pour cet illustre personnage de l’alpinisme ! Faut ce qu’il faut !
J’espère qu’il n’aura pas à doubler 50 personnes sans oxygène sous le sommet ! 
Si ça peut parfois servir la motiv d’avoir la rage dedans, pas sûr dans ce cas-là…
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Un article réservé aux abonnés, mais on peut lire l’essentiel de l’info en introduction :
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Il a jeté l’éponge, encore une expression à la con de journaliste …
Il vaut mieux un piton de plus qu’un homme en moins surtout si cet homme c’est moi … disait Livanos …
C’est toujours plus difficile d’abandonner que d’aller au sommet …
Et puis peut être qu’à 80 ans, il aura autant la patate …
Cyniquement, quand j’ai su que Marc Bâtard retentais un 8000 à son âge, j’ai tout de suite pensé : encore une légende qui mourra là-haut. C’était sans penser à son expérience et son intelligence, et je m’excuse à qui de droit qui me lira d’avoir eu cette pensée.
Je pense que ce journaliste au ton moqueur devrait plutôt le remercier d’avoir su et pu faire demi-tour. Combien de légendes sont encore en vie ?
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pour avoir une fois pris l’avion avec une dent abimée en cours de traitement, je ressens assez vivement ce que ça peut être… un vol durant quelques heures ce n’est rien comparé à un séjour aussi long et intense…
après est-ce aussi peut-être une façon de renoncer ? mais renoncer n’est jamais une erreur. Par contre, se tuer ou mettre en danger des compagnons de cordée en serait une.
sauf si c’est un souhait de terminer en faisant sa vie et sa passion plutôt que infirme grabataire dans un EHPAD. ça serait tout à fait respectable, si les autres personnes de l’équipe ne se retrouvent ni en danger ni en situation « légale » compliquée
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Ben comme je dis toujours, s’il revient vivant, c’est qu’il a pris la bonne décision. On dit souvent qu’il est plus difficile de renoncer que de continuer. Personnellement, renoncer ne m’a jamais posé de problème. J’ai toujours préféré renoncer que d’avoir la foudre aux fesses ou la perspective d’une galère innommable.
C’était ma leçon de philosophie alpine du soir. Merci d’avoir apprécié ma prose et bonne nuit.
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Bon Carlos Soria est bien en train de tenter le Daulaghiri à 83 ans, Marc a encore quelques belles années devant lui !
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C’est moi ou l’article est très à charge, parfois moqueur ?
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N’étant pas abonné, je n’ai pas pu lire l’intégralité de l’article, mais j’ai cru sentir effectivement dès l’intro un ton manquant pour le moins d’empathie ou de cette compréhension du renoncement qu’heureusement nombre de C2cistes ont affirmé !
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Lu dans l’article : « Marc Batard n’a pas dépassé les 6 000 mètres d’altitude ce printemps dans l’itinéraire alternatif présumé plus sûr pour rejoindre la combe ouest et la voie normale de l’Everest. Une route qui, pour l’heure, reste encore une vue de l’esprit. »
Sans parler de monter à 8000 l’ouverture et l’équipement de son itinéraire de contournement de l’Ice-fall, qui était aussi un objectif important et médiatiquement mis en avant , c’est en carafe ?
Ouille .
Il en causait ici :
quelques explications
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« The issue on Everest is — complicated. »
Ça résume bien la situation et je crois que c’est tout ce qu’on peut dire en attendant que Batard s’exprime.
Mais l’article est intéressant.
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Merci !
Marc Batard said he will write about all these matters in a few days. But the underlying question is, what if the Nepalis don’t need (or even want) his route? Helicopters now transport the ropes to fix the route up Everest — as well as oxygen bottles, tents, and other items — above the Icefall. Air transportation has become one of the most thriving businesses related to the mountain.
In addition, the widespread use of oxygen from as low as Camp 2, and ample pre-acclimatization — either at home or on trekking peaks — means that climbers don’t need to pass up and down through the Icefall as often as before. According to a few courageous whistleblowers, we even hear how some climbers may fly to Camp 2 to avoid the Khumbu Icefall entirely.
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Voici un article à la fin duquel il est proposé le podcast(15min) du dauphiné avec le journaliste qui a accompagné Marc Batard ce printemps dans sa tentative à l’everest :
Pour résumé :
C’est la critique d’un homme qui, a 70 ans, aurait rêvé trop haut, trop grand, trop dur et qui a eu tord de se rajouter des difficultés pour son dernier grand projet.
Qui n’a jamais espéré réaliser quelque chose en montagne de finalement trop difficile pour finalement renoncer?
Qui, a 70 ans, aurait encore la force et le courage de ne serait-ce qu’essayer un dernier gros projet de cette envergure?
Mais non, dans ce podcast tout ce resume à : il n’a pas réussi donc c’est un échec + toute l’analyse psychologique à charge.
Bref faites vous plaisir!
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