Posté en tant qu’invité par Pierrre:
Et bien voila, j'ai, comment dire... un problème. Un gros . Et il n'y a qu'ici que j'ose me confier, l'anonymat - relatif, certes - aidant, oui je sais , c'est lâche.
Bon, je m’explique : ma copine m’a dit, je cite " si tu pars encore grimper pendant une semaine, je te plaque". Ultimatum classique, me direz-vous. Oui, mais là n’est pas le problème. C’est après.
J'ai donc fait le choix de la raison, et j'espère qu'elle ne sentira pas trop seule cette semaine. Egoiste, irresponsable, gningningnin... pas la peine de me le répétez, elle s'en est chargée, merci. Où est le problème alors, me direz-vous, entre adultes consentants, hein, de nos jours, bref... Le problème n'est toujours pas là : c'est encore après. Ca vient.
Je fais mon sac, elle fait ses valises, le tout dans la joie et la bonne humeur, enfin surtout de mon coté, depuis le temps que je voulais grimper dans ce coin-là, chouette ... Toujours pas de problème à l'horizon joyeux d'une bonne semaine en montagne, vive les vacances...
Le problème ce sera au retour.
Nous y sommes. Les enfants, allez jouer, laissez les grands discuter.
Alors voila : après chaque bambée, chaque retour de montagne, systématiquement, sitôt le sac posé dans l'entrée, je suis pris d'une boulimie sexuelle délirante, un truc de dingue, l'urgence absolue, à peine le temps de prendre une douche et hop ... et re-hop... etc. (sans me vanter).
1-Suis-je le seul dans ce cas ? Ca m'étonnerait, vu la tendance suspecte de la plupart de mes potes à vouloir rentrer à toute blinde à la casa, sitôt le parking atteint, sous n'importe quel prétexte bidon.
2- Bon ben vous avez compris, ce coup-ci, au retour je me retrouve en tête à tête avec le vent. Le problème, il est là.
Que faire ? comme disait , je crois,Lénine en d’autres circonstances (sachant que l’amour c’est comme l’escalade : jamais en solo, merci !).
Les forum " partenaires/dispo" ou "médical" auraient peut-être été plus appropriés, quoi qu'il en soit, merci de vos suggestions.