Sauf que l’assureur est relié au relais par l’intermédiaire de sa corde ou d’une vache ce qui fait que lors d’une chutte, l’assureur peut assurer dynamiquement grâce à son poids en remontant de 2 fois la hauteur de sa vache/corde même si le relai est « bridé vers le bas ». 
+1 pour martina k même si j’alimente moi aussi le débat 
Si je comprends bien tu considères que le relais en lui-même, et non seulement la vache ou le brin de corde qui te relie au relais, doit permettre un liberté de mouvement importante pour un assurage dynamique. Ca me semble très bizarre ton truc.
[quote=« J2LH, id: 850536, post:22, topic:84271 »]
Si je comprends bien tu considères que le relais en lui-même, et non seulement la vache ou le brin de corde qui te relie au relais, doit permettre un liberté de mouvement importante pour un assurage dynamique. Ca me semble très bizarre ton truc.[/quote]
Pour un fois on est d’accord 
Posté en tant qu’invité par Larangus:
Vous faites bien tous les deux de souligner ce point, j’ai considéré -à tort- dans mon raisonnement que l’assureur est directement relié par son bodar au 3eme point du bas, ce qui est une bêtise puisque ce point est censé être relié directement au relais.
wahouh !! vaste sujet que les relais !
je dirais que la première des choses en terrain d’aventure, c’est de déjà savoir dynamiser autrement qu’en falaise sur du ring.
savoir dés fois lâcher « proprement » plusieurs mètres de mou progressivement pour ne pas trop solliciter les points est primordial.
ensuite, il serait peut être opportun de dire que le relais que l’on va poser dépendra immédiatement de la suite de la voie (en tous cas de ce que l’on constate).
si l’on voit que l’on risque de ne pas pouvoir poser de point pendant un bon moment, on va se chercher un coin où l’on pourra poser un relais digne de ce nom.
si l’on constate que l’on peut poser tout un tas de point facilement et rapidement « sans risque », ce n’est pas la peine de perdre du temps à poser le « super relais ».
car dans ce cas là, au cas ou le copain tombe, et si l’on ne dynamise pas activement et que l’on se retrouve à « monter » plus haut que le relais, c’est que le point qui a enrayé la chute est costaud, qui plus est, il y en a d’autres en dessous.
il y a une infinité de configurations possibles. le tout, c’est d’adapter la bonne config au terrain pour rester en « sécurité » sans perdre trop de temps.
cela n’enlève rien à l’utilité du point inversé suivant le cas (par exemple: impossibilité de dynamiser activement car pas la place à cause d’une vire ou autre, gros facteurs…).