Relai à double

Posté en tant qu’invité par Bitoune:

Je rejoins le point de vue de Val : on m’a toujours dit qu’il fallait répartir équitablement la contrainte sur les différents points d’amarrage du relais et pas tout mettre sur un seul point…
Autre remarque : la méthode de la « sangle vrillée » est à éviter (de nombreux organismes de formation ne l’enseigne d’ailleurs plus…) et à remplacer par un gros noeud sur la sangle. En effet, si le relais vient à être tranché pour une raison qcq (chute de pierre…), vous pouvez dire au revoir à votre second… Ce qui n’est pas le cas avec un noeud sur la sangle !

J’en entends déjà qui me dise : "ouais mais bon qd même, la probabilité pour que le relais soit tranché… " :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par Arno:

En réponse au post initial , il ne faut pas confondre les relais TA ( points limites) et les relais « aseptisés » ( style Verdon ou voies Cambon ).
Dans le premier cas, il faut que le poids de l’assureur soit réparti sur tous les points du relais (sangle/corde plus gros noeud) et que la corde de l’assuré passe dans un point de renvoi ( le premier point au dessus du relais c’est le top)
Dans le deuxième cas, tant que tes deux points sont reliés d’une manière ou d’une autre il ne peut pas se passer grand chose.
Après il faut savoir bien estimer la qualité d’un relais et ne pas se laisser pendouiller sur deux spits de huit rouillés ni flipper sa race quand on est sur deux coinceurs bétons.