Ben je l’ai dit: tu fais un rappel.
.[quote=« jp68, post:61, topic:244378 »]
ou se botter le cul pour aller chercher le relais 10 à 15 m plus haut!
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Ben si tu arrives au relais, c’est plus une réchappe.
Au fait, j’ai encore trouvé plus court:
Réchappe: rappel ou moul sur skif sacrifié.
9 syllabes au lieu de 14 sur la précédente version. Comme quoi de grands problèmes peuvent engendrer de simples et courtes solutions.
Oui mais « À tout problème complexe, il existe des solutions simples, évidentes, et fausses » Henry Louis Mencken.
Ou encore, « À chaque problème il existe une solution simple mais fausse et une solution compliquée mais inutilisable. » Paul Valéry.
Sans ça il n’y aurait pas de débat sur le sacrifice d’un mousqueton vs une cordelette vs autre truc au prorata de son prix / temps passé à grimper etc…
Et personne n’a dit qu’à chaque problème simple il y avait une solution complexe ?
Einstein ?
Tu déclippes un brin et tu moulines sur l’autre.
Je ne vois pas l’intérêt par rapport à descendre en rappel. Ton assureur a intérêt à avoir 4 mains pour donner du mou sur 1 brin et reprendre le mou sur le deuxième…
Et avec une corde de 50m, si tu as dépassé 25m dans ta longueur, tu auras du mal à rejoindre le relais.
Même si ça pignole un peu loin, dans le cas d’une descente obligatoire sur un relai ou un point foireux en rappel demander au second de s’accrocher la corde au baudar en laissant quelques mètres de mou puis installer le rappel en se sécurisant quand même au niveau de la corde (queue de vache + mousquif).
Pendant le rappel en tant que tel le second reste attaché à la corde. En cas de rupture du point sur lequel on fait le rappel ça va faire bizarre mais normalement en va pas en bas.
Après à titre perso dans ma vie de grimpeur j’ai eu à faire une seule fois la manip, la plupart du temps tu fais une réchappe classique pépère ou au pire tu laisse un peu de matos.
Mais beaucoup, pour un problème simple, aime proposer des solutions complexes 
L’essentiel étant que ce soit efficace et sécu ! A chacun de faire comme il…peut 
C’est très rapide, tu restes assuré en permanence par le deuxième brin, tu t’auto moulines et ton assureur gère la différence sur les deux cordes. Ca ne permet pas d’aller en bas, juste rejoindre un point en dessous du milieu de corde où tu récupères le brin du haut. Si tu t’es trompé dans le cheminement ou que tu as posé un point foireux, ou que le second veut tenter de sortir la longueur.
Avec un peu plus d’explications, c’est mieux compréhensible.
Ca doit être plus rapide au global si tu dois descendre moins de la moitié de ta corde, mais s’il faut que tu refasses la manip pour récupérer le brin sur lequel tu moulines, tu doubles le temps de manip.
En posant le rappel, tu peux tout à fait rester assuré en permanence, suffit de prendre du mou, faire un noeud de huit que tu mets au pontet avec un mousqueton.
Un autre avantage du rappel (en plus du fait que les efforts appliqués sur le point de la réchappe sont quasiment 2 fois moins importants), c’est que tu peux le faire même si tu n’arrives pas à communiquer avec ton second, et ça n’empêche pas le second de tenter la longueur : si tu laisses tout le matos en place, le second peut faire une remontée sur la corde pour rejoindre le dernier point atteint (ou alors tu récupères la corde et il y va en tête avec les dégaines posées).
Les 2 sont à connaître à mon avis, suivant les conditions qu’on rencontre.
Bien sur que les deux sont à connaître. En s’auto moulinant y’a pas le double du poids sur le point. C’est pas une préconisation hein, juste une solution autre que le rappel.
Effectivement, et déjà dit…!
Sinon on ne descend pas sur le point, ni en moul, ni en rappel…
Il suffit de prendre tous les plombs jusqu’en bas et arrivé au premier désescalader 