Recettes savoyardes

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Arrêtez de vous énerver avec cette histoire : aline (alias tonio, antoine, arnaud…) nous fait une petite plaisanterie… Et son e-mail est celui d’une école d’ingénieurs, pas d’un restaurant ou d’une école hotellière…

Posté en tant qu’invité par poil de gris le modéré:

Je tiens à remettre les choses dans l’ordre car il y a un problème de sémantique car
dans mon propos il n’y a point d’attaques ou de modération à avoir sauf à vraiment mal interpréter la chose voire le « ton » qui bien entendu est difficile à percevoir à travers un écrit…Pour preuve on nous a fait une bonne blague que j’avais deviné…un gros bisouille à Aline (bordel j’vais la mordre)…Alexis prends du recul même sous la pression de certains vaindicatifs.
un loup qui baille aux cornettes

Posté en tant qu’invité par poil de gris le modéré:

Faut le reconnaître c’est bien mené…j’avais dès doute sur saucière…enfin des oignons à l’huile d’olive déglacé au vinaigre de framboise.

Un loup qui ne sera jamais ingénieur (bigre de corniaud!)
Gaffe à tes fesse le tonio
Profondement loup

Posté en tant qu’invité par Gnome:

« Comme je suis un chômeur longue durée impossible d’aller en 3 étoiles »

Bizarre, tu trouves cependant les fonds nécessaire pour de longs séjours de randonnées à l’étranger… La vie de chômeur en recherche active oblige parfois à faire des choix pénibles… ;0)

J’espère sincèrement que tu puisses retrouver très rapidement un boulot.

Posté en tant qu’invité par Gnome:

Bonjour,

J’ai mangé récemment un farcement. C’est une sorte de terrine composée de pommes de terre et de chou rapés, de pruneaux et de marrons, le tout bardé de lard et cuit à l’étouffée au bain marie pendant des heures. C’était délicieux, accompagné de diots. Fais une recherche sur google, tu auras surement la recette en deux coups de cuillère à pot

Posté en tant qu’invité par poil de gris le modéré:

J’aimerai bien te répondre sur le Chômage en france voire l’état de chômeur dans notre pays car je pense maîtriser relativement bien la chose …mais sincèrement je ne pense pas que cela passerait sur le site et certainement , à juste titre car pour le coup cela tournerait au pujilat et à la discussion stérile…je pense que c’est encore un sujet tabou ou les personnes privé de job se retrouvent en général exposées à la vindicte populaire, ce que je regrette fortement .Néanmoins, Je suis bien un chômeur sans ressource…qui voyage encore mais pour combien de temps? …
Je reprends tes mots : ‹  ›…Bizarre???.. recherche active???..même cela je ne peux pas y répondre.

Un loup qui à gouté aux 3 étoiles que tout le monde devrait pouvoir avoir accès normallemnt parfois ( heim! que de souvenirs dans mes babines…par contre c’était pénible le costume/cravate)

Le loup croimoisi

Posté en tant qu’invité par aline:

Marc, si vous aviez suivi le forum dans son ensemble vous auriez sans doute compris que je ne suis pas Tonio, puisque celui çi est mon fils. les autres noms étant peut être de ses pseudonymes. d’autre part l’adresse internet qui est affichée est effectivement une adresse d’école d’ingénieur… celle de mon fils qui effectue le tri des messages reçus pour sa mère ( et par gourmandise). je tiendrai par la suite à ne pas être dérangé, comme j’en ai fait la demande précedemment, par des commentateurs inutiles.
je tiens par contre à remercier Gnome pour son intervention (culinaire). si par hazard vous en possedez d’autres cela me ferais plaisir de les connaître. dans la cas, évidemment, où vous avez vous même plaisir à les partager.
merci.

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

aline a écrit:

Marc, si vous aviez suivi le forum

J.Marc, merci. Moi c’est facile, je ne change jamais de pseudo.

Bon, Madame Aline, j’ai le regret de vous dire que votre fils est un polisson, et signe des posts ridicules avec votre pseudo.

http://alpinisme.camptocamp.com/forums/read.php?f=9&i=35506&t=35503

Je pense qu’il mérite d’être privé de dessert.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par aline:

je souhaite rapidement répondre à yannus que tous les restaurants *** ne présentent pas toujours des assiettes « diétiques » à leurs clients. d’autre part vos propos sont hors sujet pour la bonne et simple raison que ces recettes seront avant tout réunies dans un recueil dont j’ai évoqué la création dans l’un des précédents messages.
merci de ne pas enrayer les discussions.

Posté en tant qu’invité par tini:

la tartiflette (vachement bon) : des patates, du lard, des oignons et du robloch.

Voilà pour la recette. Après la manière de la préparer, y’a 1000 façons, trouve la tienne.
Bon courage

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par lilian:

Aline,

Je suis maitre d’hotel au restaurant Le Pastel a Toulouse. Quelle surprise j’ai eu ce matin en recevant un coup de telephone de la part d’une dame souhaitant organiser un repas dans notre etablissement. Cette dame m’a dit que vous etiez maitre saucier chez nous et qu’il ne fallait pas qu’elle vienne car elle serait mal recue!!! Etant persuade qu’il s’agit d’une erreur, je souhaiterai avoir une explication de votre part. Merci de me contacter a cette l’adresse : l.beissel@tiscali.fr
Salutations
L.BEISSEL

Posté en tant qu’invité par POIL DE GRIS:

Le 07/05/2005 , j’aurai 41 ans qui veut m’inviter dans ce charmant restaurant pour manger et parler trekking .Rergarder les deux menus…heim! en digestif comme je ne bois pas d’alcool je veux mordre le c.l de Aline aux pieds!
Aller j’attends un mécène, je suis un fin gourmet autant que je suis pénible.
Un loup la bave au lève et d’humeur joyeuse.

Posté en tant qu’invité par aline:

Monsieur,
Si effectivement un client vous a contacté pour les raisons mentionnées par vous même, je tiens à m’en excuser. Mais vous constaterez que je ne fait pas mention à votre restaurant dans les discussions. Puisque celui dont je parle est un *** qui se trouverait dans Toulouse.
La plaisanterie a assez durée.
Je tiens également a rétablir l’image (que je ne souhaitais pas détériorer), du restaurant Le Pastel, qui à ce que j’ai pu constater sur Internet à l’air très agréable. Je vous communique son adresse internet : http://www.lepastel.com/.

Posté en tant qu’invité par POIL DE GRIS:

Aline arrête tu es entrain de croire à ton mensonge. Relis toi tu n’as rien à voir avec le Pastel…Ok tu es aussi névrosée que le Loup …mais lui il en convient…MOi je veux bien y aller avec toi là bas…j’ai encore de beau costume quand j’étais un cadre Manager…ho! bordel ça commence à dater.
Bon Aline quand tu veus pour aller casser une petite graine.
Un loup qui se sent d’attaque

Posté en tant qu’invité par aline:

j’aimerai juste savoir sur quels points je ne le suis pas???

Posté en tant qu’invité par Julien:

Le lupus carnassius a encore frappé je vois …
laisse tomber Aline, c’est un fouteur de m…
il s’incruste dans toutes les conversations de C2C…

Posté en tant qu’invité par aline:

oh tu sais moi je l’aime bien et ça ne me déplairais pas de manger un fois au Pastel avec lui.
mais j’attends toujours des recettes…à bon entendeur!!

Posté en tant qu’invité par c.l:

POIL DE GRIS a écrit:

en digestif comme je ne bois pas d’alcool je veux mordre le c.l de Aline aux pieds!

Non mais ca va pas non ?

Posté en tant qu’invité par Julien:

je vous dis qu’il est barge ce type

Posté en tant qu’invité par POIL DE GRIS:

Le restau le Pastel n’ai pas un 3 étoiles mais 1 étoile au Michelin…
Vive la savoie avec Marc Veyrat toujours 3 étoiles avec deux retaurants.
Aline contact Veyrat en plus un excellent pédagogue, il te donnera des recettes le petit au chapeau noir.
Néanmoins, Julien ou Julius fallait vraiment pas arrêter le traitement…maintenant tu me vois partout.
Un loup à table qui attend la mise en bouche

Le « Guide Michelin » a décerné ses étoiles pour 2005
LEMONDE.FR | 23.02.05

Le « Guide Michelin 2005 », sorti en librairie mercredi, a décerné une troisième étoile à Régis Marcon, du Clos des cimes, à Saint-Bonnet-le-Froid, et confirmé Paul Bocuse en doyen des trois étoiles. Une nouvelle catégorie « espoirs » a été créée.

Le Guide Michelin 2005 a donné sa troisième étoile à Régis Marcon, du Clos des cimes (Saint-Bonnet-le-Froid, Haute-Loire), récompensant un chef qui cultive avec raffinement ses racines auvergnates, dans son édition 2005 rendue publique mercredi 23 février. Il a, par contre, rétrogradé à deux étoiles les frères Pourcel, du Jardin des sens, à Montpellier, et Jacques Lameloise, du Lameloise, à Chagny (Saône-et Loire).

Le « guide rouge », qui en est à sa 96e édition, compte désormais 26 établissements classés 3 étoiles, dont le doyen reste Paul Bocuse à Lyon, triplement étoilé depuis 1965, 70 deux étoiles (dont 11 nouvelles) et 402 une étoile.

Le guide devait sortir le 3 mars mais la direction a anticipé la sortie, constatant que l’ouvrage était déjà en vente dans quelques librairies, notamment en Corse et dans la Manche, « à la suite d’erreurs du transporteur », a indiqué le service de presse.

Le club des trois étoiles compte désormais 26 établissements, mais seulement 24 chefs puisque Alain Ducasse est deux fois décoré (à Paris et à Monaco), de même que Marc Veyrat (à Megève et à Veyrier-du-Lac).

Ces jugements sont accueillis sans trop de surprise par le petit monde de la gastronomie. « On parlait de Marcon pour la troisième étoile depuis plusieurs années, Lameloise vit sur sa lancée, même si la sanction est un peu injuste, quant aux frères Pourcel, ils risquaient déjà le déclassement l’an dernier et étaient quelque peu surcotés avec trois étoiles », résume un bon connaisseur du sujet.

Le Michelin a également enrichi sa carte des deux étoiles en récompensant notamment la jeune garde de chefs confirmés. C’est le cas de deux anciens de chez Ducasse, à La Réserve de Beaulieu-sur-Mer et aussi aux Ambassadeurs du Crillon à Paris, où Jean-François Piège, ex-chef des cuisines du Plaza, a été embauché spécialement pour conquérir à terme une troisième étoile.

Le Guide salue aussi la relève de Roger Vergé à Moulins et la réussite, à L’Astrance à Paris (25 couverts seulement), d’un talentueux élève d’Alain Passard, Pascal Barbot, chez qui il faut réserver trois mois à l’avance. D’un même élan, il a retiré sa deuxième étoile au Divellec, le très connu restaurant de fruits de mer de Paris, fort de sa réputation mais qui ne se renouvelle pas, selon la profession. En revanche, La table de Robuchon, à Paris, dont la qualité est saluée par ses pairs, ne gagne pas sa deuxième étoile.

« ESPOIRS »

Le Guide 2005 a innové avec une nouvelle catégorie pour les restaurants, les « espoirs », qui font « l’objet d’un suivi particulier ». Ils sont mentionnés en rouge « et pourront accéder à la distinction supérieure lorsqu’ils auront prouvé la régularité de leurs prestations dans le temps et sur l’ensemble de la carte », indique la direction du guide.

Car la reconnaissance du Guide Michelin, si elle satisfait l’ego des chefs et de leurs troupes, est aussi un label économique, à l’heure où les établissements étoilés font des petits à l’étranger ou se déclinent en bistrots et produits labellisés. « Gagner une étoile, c’est être assuré de la bienveillance de son banquier », s’amuse un critique gastronomique, qui ne veut pas être cité.

Le même remarque que 26 trois étoiles en France, « c’est peut-être trop ». Mais, ajoute-t-il, beaucoup de deux étoiles sont au niveau des trois étoiles et inversement certains trois étoiles mériteraient moins. Quoi qu’il en soit, même critiqué, le Michelin reste une référence. Régis Marcon, le promu de l’année, ne cachait pas sa joie mercredi : « Cela fait quatre ans qu’on m’en parle… Maintenant, elle tombe, c’est un grand bonheur, c’est le fruit du travail depuis vingt-cinq ans avec mon épouse et toute une équipe ».

Quant aux frères Pourcel, ils ont pris la nouvelle de leur rétrogradation avec philosophie. Dans un communiqué, ils disent n’avoir pas l’intention de « changer de route » et rappellent que leur cuisine est « reconnue et appréciée à travers le monde » et qu’elle a « l’adhésion du public ».

Le Guide Michelin, destiné à l’origine à fournir aux automobilistes la liste des garages et des auberges et hôtels proches du lieu de leurs pannes éventuelles, est devenu un événement très attendu dans le monde de la gastronomie.

Avec AFP


Vingt-six « trois étoiles »

Après la promotion à trois étoiles du Clos des cimes à Saint-Bonnet-le-Froid (Haute-Loire) et la rétrogradation à deux étoiles du Jardin des sens (les frères Pourcel) à Montpellier et Lameloise (Jacques Lameloise) à Chagny (Saône-et Loire), la France compte 26 « trois étoiles ».

Dix restaurants trois étoiles sont situés à Paris. (Figure, entre parenthèses, l’année d’attribution des étoiles) :

  • Le Cinq, 8e arrondissement (2003)
  • Ledoyen, 8e (2002)
  • Guy Savoy, 17e (2002)
  • Le grand Véfour (Guy Martin), 1er (2000)
  • Pierre Gagnaire, 8e (1998)
  • Alain Ducasse (1997, 16e, puis 2001 au Plaza Athénée 8e)
  • L’Arpège (Alain Passard), 7e (1996)
  • L’Ambroisie (Bernard Pacaud), 4e (1988)
  • Lucas Carton (Alain Senderens), 8e (1986)
  • Taillevent (Jean-Claude Vrinat), 8e (1973)

Quinze sont situés en province :

  • Le clos des cimes à Saint-Bonnet-le-Froid (Haute-Loire) (2005)
  • La Côte Saint-Jacques à Joigny (Yonne), 2004
  • L’Espérance à Saint-Père-sous-Vézelay (Yonne), 2004
  • Les Loges de l’aubergade, à Puymerol (Lot-et-Garonne), 2004
  • L’Arnsbourg à Untermuhlthal (Moselle) (2002)
  • La Ferme de mon père (Marc Veyrat) à Megève (Haute-Savoie) (2001)
  • Michel Bras à Laguiole (Aveyron) (1999)
  • La Maison de Marc Veyrat à Veyrier-du-Lac (Haute-Savoie) (1995)
  • Le Buerehiesel (Antoine Westermann) à Strasbourg (1994)
  • Le Relais Bernard Loiseau à Saulieu (1991)
  • La Mère Blanc (Georges Blanc) à Vonnas (Ain) (1981)
  • Les Prés d’Eugénie (Michel Guérard) à Eugénie-les-Bains (Landes) (1977)
  • Troisgros (Pierre et Michel Troisgros) à Roanne (Loire) (1968)
  • L’Auberge de l’Ill (Marc et Paul Haeberlin) à Illhaeusern (Haut-Rhin) 1967)
  • Paul Bocuse à Collonges-au-Mont-d’Or (Rhône) (1965)

Et un à Monaco :

  • Le Louis XV (Alain Ducasse) (2003)