Réagir face à un patou

Sur une grande échelle d’espace et de temps, c’est peu probable, car si la nourriture vient à manquer, la population de prédateur décroit par manque de ressource, laissant le prédaté se refaire, et ainsi de suite. Cela revient à obliger le prédateur à changer de ressource, ce qui est possible, mais rare. A ce niveau, c’est plus l’incapacité de l’espèce à s’adapter à son milieu qui peut la faire disparaitre, milieu qui contient les prédateurs, mais pas seulement.

Mais ca peut arriver à petite échelle, principalement à cause de l’homme qui fait des introductions, causant un changement majeur et brutal dans le contexte d’une espèce. Il y a meme un unique chat qui aurait été le majeur contributeur de la disparition de toute un espèce d’oiseau …

En cause aussi le changement climatique. Particulièrement flagrant pour le lièvre variable et les espèces qui changent de pelage au fil des saisons.

Evidemment, à petite échelle (c’est pour ça que j’évoquais l’ile du pacifique) , sans évoquer les faux prédateurs genre chat (cette feignasse n’est pas dépendante à 100% de ses proies)

2 Likes

Moins de 10% des décès de mouton sont dû au loup :

Article intéressant qui remet aussi quelques pendules à l’heure.

Les moutons font concurrence à la faune sauvage…
ils transmettent des maladies (même mortelles parfois) à la faune sauvage…
au dessus de la limite des arbres ils appauvrissent la flore (bon personne n’en doute quand on voit comme c’est massacré après le passage des moutons)

Alors au final ils servent à quoi à part à faire vivre quelques personnes, à vivre grâce à nos impôts et à nous stresser et nous mettre en danger ?

2 Likes

Chez nous du mouton on en mange ,et dans certaines régions ont fait quelque chose avec leur laine

2 Likes

Du mouton de Nouvelle-Zélande ?

Les chutes de pierre, les avalanches, les loups, les ours, les vipères… c’est la nature, c’est la montagne, ce sont des animaux et des risques qui sont liés au milieu montagnard. Ils font partie intégrante de ce milieu.

Les moutons et les chiens de protection sont des éléments introduits par l’homme.
Ils n’ont strictement rien de naturel en montagne.

Et la différence et fondamentale.

J’accepte les risques liés au milieu, beaucoup moins les risques en montagne causés par certains humains.

Merci de ne pas faire d’amalgame entre un milieu naturel et des moutons/chiens de protection qui y sont introduits chaque été par l’homme.

3 Likes

En dessous de l’étage nival, le milieu « naturel » tel que tu le décris a été façonné par l’homme depuis des millénaires.
https://www.echoalp.com/herbe-arbre-hommes.html

Pis quand tu râles sur les moutons introduits par l’homme, c’est bien que tu y es nan ? Tu es un « élément naturel de la montagne » toi ? :smiley:

5 Likes

Non du Français,par exemple

Il ne l’est sûrement pas, mais il ne tue pas les moutons et il ne mord pas les randonneurs.

Bernard

1 Like

Cela reste a prouver …

3 Likes

Il écrase (involontairement) certainement des insectes,…dérange des chamois, téras, marche sur des espèces végétales :wink:

Eh oui ! Les moutons sont bien tués par quelqu’un…

Peut-être essayer le patou-che ?

Ouais comparé aux moutons dans les secteurs de prairie c’est que dalle. Dans certains secteurs plus sensibles (végétation rare, éboulis, zones humides ponctuelles) effectivement ça peut avoir un impact.

1 Like

J’espère qu’il range la téras après qu’on puisse s’asseoir boire un coup.